Toutes les petites filles ne veulent pas être des princesses
Je souligne en premier lieu la force de la construction littéraire, la répétition et ses variations du « Je m’appelle Fatima », la coloration progressive et toujours inachevée du puzzle de la personnalité. Un tableau animé par des éclairages adjacents à l’instar du « Je me souviens » de Georges Pérec.
Note sur : Fatima Daas : La petite dernière
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