• ACTUALITÉS : LE CAP D’AGDE - Le superbe spectacle offert par la grande bleue déchainée ! : Hérault Tribune
    https://www.herault-tribune.com/articles/1564316/le-cap-d-agde-le-superbe-spectacle-offert-par-la-grande-bleue-decha

    Ça a tapé sur les bords de Méditerranée ce samedi. Sur le littoral héraultais, la mer était déchainée, portée par un vent de Sud, Sud Est qui a formé des vagues assez impressionnantes. La mer avait avalé la plage au Grau d’Agde pendant qu’elle tapait généreusement sur les rochers de la falaise volcanique du Cap d’Agde. Un spectacle qui n’aura pas échappé au photographe naturaliste Renaud Dupuy de la Grandrive.


    Alors bon, d’accord, c’est à peu près le niveau de violence de ce que les bretons qualifieraient de mer d’huile, mais ici, normalement, c’est ambiance Brice de Nice.

  • Montpellier : 21 décès dus au Covid dans un Ehpad, 54 résidents sur 70 testés positifs - midilibre.fr
    https://www.midilibre.fr/2020/11/13/montpellier-21-deces-dus-au-covid-dans-un-ehpad-9198796.php

    L’Ehpad des Glycines, situé près de la gare Saint-Roch à Montpellier, a été durement touché par cette seconde vague. 54 résidents et 26 membres du personnel ont déjà été testés positifs.

    21 résidents de l’Ehpad des Glycines sont décédés du Covid lors de cette seconde vague. 54 résidents (sur un total de 70 en temps normal) et 26 membres du personnel ont été touchés par le virus, dans cet établissement du groupe Oc Santé, situé près de la gare Saint-Roch, à Montpellier.

    Voilà pour le thème « protéger uniquement des plus vulnérables » : les résidents d’un Ehpad vivent avec les membres du personnel qui s’occupent d’eux, lesquels sont dans la société. Et quand le virus frappe un Ehpad, c’est presque un tiers de décès.

    J’essaie de ne pas imaginer la terreur de ces gens quand ça commence, alors qu’on a entre un quart et un tiers de chance d’y passer.

    • Mon anecdote. J’ai une tata jeune retraitée et veuve qui se morfond de devoir continuer de s’occuper de sa vieille belle maman en ehpad qui vient de passer au travers du covid comme si c’était une grippette en trotinette. On dira ce qu’on veut, mais parfois, les stats, elles se plantent graves.

  • Montpellier : ils fêtent leur mariage comme si le confinement n’existait pas, les PV pleuvent - midilibre.fr
    https://www.midilibre.fr/2020/11/13/montpellier-ils-fetent-leur-mariage-comme-si-le-confinement-nexistait-pas-

    Pétards, tirs de mortiers, feux d’artifice, absence de masque, défaut d’attestation, excès de vitesse... une vingtaine de contraventions ont été dressées par les services de police, ce vendredi 13 novembre, lors d’un mariage célébré en grande pompe à La Paillade à Montpellier.

    […]

    Mais à l’arrivée des policiers sur site, entre la rue de Cambridge et le Grand-Mail, point de fusillade mais un mariage en grande pompe avec une vingtaine de voitures de luxe (Lamborghini, Ferrari, Audi coupée, Mercedes...) garées en double file, cris de joie, coups de klaxon, musique à fond mais aussi et surtout pétards mammouth, tirs de mortiers et feux d’artifice dignes d’un 14 juillet.

    Une vingtaine de contraventions ont été dressées pour non-port du masque et défaut d’attestation. Certains automobilistes ont même été sanctionnés pour des excès de vitesse. Dont un, âgé de 20 ans, circulant sans permis, et contrôlé à 104 km/h au lieu de 50 sur l’avenue de l’Europe. Il a été placé en garde à vue pour délit de grande vitesse et mise en danger délibérée de la vie d’autrui.

    #RESTECP

  • Le chef de service de réanimations au CHU de Montpellier : « On est sous l’eau ! »
    https://www.midilibre.fr/2020/11/10/le-chef-de-service-de-reanimations-au-chu-de-montpellier-on-est-sous-leau-

    Pr Capdevila, vous êtes le patron du service de réanimation au CHU de Montpellier. Comment ça se passe dans votre service, et plus généralement au CHU ?

    On est complètement sous l’eau  ! On avait eu un petit frémissement en fin de semaine dernière, l’augmentation des cas était moins importante. Mais ce week-end, on a repris une baffe, on est plein. Au CHU, nous avons 46 places de réa Covid et 9 places en soins intensifs Covid. On vient d’avoir une sortie, il nous reste deux places. L’hôpital est archi saturé. Nîmes continue de transférer des patients à la clinique Saint-Jean ou à Perpignan. Sète aussi est plein et Béziers pas loin.

    Sans parler des patients non-Covid. Encore aujourd’hui, on a eu deux polytraumatisés. Les gens n’arrêtent pas de rouler. En pourcentage, on est à 53 % de déprogrammation de chirurgie programmée, ce qui est énorme. Nous, on ne voit pas vraiment le ralentissement mentionné en Ile-de-France ou en Auvergne-Rhônes-Alpes. La seule chose qui baisse un peu, c’est le taux d’infection. On est à 18-19 % de taux de positivité, on était à 20-21%.

  • « Le confinement allégé ne sera pas suffisant pour casser rapidement la courbe épidémique »
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/11/05/william-dab-il-faut-des-maintenant-travailler-a-eviter-un-troisieme-confinem
    William Dab, médecin, épidémiologiste, professeur émérite au CNAM, a été directeur général de la santé de 2003 à 2005. Il analyse la stratégie de lutte contre l’épidémie de Covid-19. Propos recueillis par Pascale Santi.

    Les écoles, collèges et lycées ont rouvert lundi 2 novembre, qu’en pensez-vous ?

    La situation n’est pas simple. Le retour à l’école est une bonne décision du point de vue éducatif. Mais du strict point de vue de l’épidémie, il vaudrait mieux les fermer pour réduire la circulation virale. C’est un choix politique, un arbitrage entre l’impératif pédagogique et l’impératif sanitaire.

    Fermer les écoles, surtout durant le premier semestre, accentue les inégalités. Or, on sait que l’épidémie touche plus les populations les plus précaires. En ce moment, on ne cherche pas la bonne solution, on cherche la moins mauvaise.

    Quel est le rôle des enfants dans la circulation virale ?

    Les enfants semblent moins contaminés et moins contagieux. Les adolescents aussi, mais ils ont plus de contacts sociaux. A l’instar des jeunes adultes, ils sont le plus souvent asymptomatiques. Cependant, il faut être prudent avec les études disponibles. Elles ne sont pour la plupart pas françaises, et elles ont été réalisées au moment où la circulation virale était moins forte qu’aujourd’hui, et à des moments où des écoles pouvaient être fermées.

    Vous avez estimé que les enfants devraient porter un masque à la maison, pour quelles raisons ?

    Cette position a suscité beaucoup de réactions. La représentation dominante est qu’il n’y a pas de problème à la maison, où on a le sentiment d’être protégé. Ce n’est pas vrai. Ma position n’est pas le port du masque systématique à la maison. Ce qu’il faut, c’est inciter les familles à évaluer le risque. Actuellement, la circulation du virus est intense et il faut éviter d’être malade. Le temps médical et le temps soignant, déjà diminué, va se réduire tout au long du mois de novembre. Dans ce contexte, les enfants peuvent ramener le virus à la maison sans le savoir et contaminer leurs proches.

    Plusieurs éléments sont à prendre en compte. Vivre dans un grand appartement chacun ayant sa chambre ou à cinq dans 50 mètres carrés, ce n’est pas le même risque. De même, s’il y a dans la famille des gens à risque élevé de complications. Dans ce cas-là, les enfants et les adolescents doivent se considérer contagieux jusqu’à preuve du contraire. Quoi qu’il en soit, il faut être irréprochable sur l’hygiène des mains et veiller à une aération régulière. Il faut aussi réfléchir aux repas, être vigilant sur les ustensiles, les surfaces, etc.

    Le masque à la maison est-il acceptable ? C’est à chaque famille de décider, c’est un choix délicat entre le besoin affectif et le besoin sanitaire. Rappelons que les personnes fragiles ne sont pas que les personnes les plus âgées ; 40 % des personnes actuellement en réanimation ont moins de 65 ans et 90 % des personnes en réanimation ont des facteurs de risque, qui, outre l’âge, sont le surpoids, le diabète et les antécédents cardiovasculaires ou pulmonaires.

    Pensez-vous que ce confinement allégé sera suffisant ?

    Suffisant pour casser rapidement la courbe épidémique, non. Les mesures prises ne peuvent donner des effets que deux semaines après leur instauration. Je serais étonné que l’on parvienne fin novembre à 5 000 contaminations par jour, objectif fixé par le président Macron. Je l’espère, mais obtenir ce résultat alors que les écoles sont ouvertes semble une gageure. Je m’attends plutôt à ce que ce confinement dure jusqu’au mois de janvier.

    Au printemps, un confinement strict a démarré le 17 mars, l’épidémie n’a cessé de gagner du terrain jusqu’au 7 avril. Mais c’était différent, car nous n’avions ni masques, ni gel, ni tests et le taux de reproduction effectif du virus, le « R », était de 3, le nombre de personnes hospitalisées doublait tous les trois jours.

    Depuis la mi-août, nous avons une croissance exponentielle, avec un doublement des cas tous les quatorze jours. Au début du mois de septembre, 5 000 cas de contaminations étaient recensés chaque jour, ce qui a conduit à environ 100 000 contaminations quotidiennes aujourd’hui. C’est le grand piège d’un modèle exponentiel à latence longue, pendant longtemps on a l’impression que c’est maîtrisable et à un moment donné, lorsqu’on passe de 20 000 à 40 000 cas, on perd le contrôle de la pandémie, même avec un taux de reproduction « R » de l’ordre de 1,3 (c’est-à-dire que 10 personnes en contaminent en moyenne 13 autres).

    Qu’est-ce qui a failli ?

    Comme l’a dit le maréchal Foch, les défaites s’expliquent souvent par deux mots : trop tard. Au printemps, nous avons payé la faiblesse de notre préparation face aux pandémies. Les commissions d’enquête parlementaires sont en train d’investiguer cela. Cet automne, nous avions les tests, les masques et le gel hydroalcoolique. Mais nous n’aurions pas dû nous trouver dans cette situation si on avait agi résolument dès la fin août.

    Lors du déconfinement, en mai, les vannes n’ont pas été ouvertes d’un seul coup, mais progressivement. En revanche, fin août, alors que la circulation virale et le nombre de personnes infectées étaient repartis à la hausse, les écoles ont été ouvertes, puis les universités, et on a demandé aux salariés de revenir dans les entreprises, tout cela en même temps, sans stratégie sur l’utilisation des tests, sur l’isolement. Dès lors, le scénario actuel était écrit.

    Que fallait-il faire ?

    L’isolement est la pièce maîtresse de la lutte contre l’épidémie. Ce n’est pas nouveau. On le sait depuis Robert Koch et sa gestion d’une épidémie de fièvre typhoïde. Cela fait des mois que plusieurs instances le recommandent, mais le mot « isoler » a disparu du discours officiel.
    Il ne suffit pas de dire « restez chez vous ». Le dispositif des hôtels avait été évoqué mais n’a jamais fonctionné. Pour cela, il faut mettre en place un accompagnement sur le terrain, personne par personne. Il ne suffit pas non plus de faire 1 million de tests par semaine. Leur usage doit poursuivre un objectif prioritaire qui est de repérer les malades contagieux et de les isoler.

    On s’attendait le 15 septembre à ce que le premier ministre, Jean Castex, annonce des mesures de ralentissement de la circulation virale, mais il s’est contenté de recommandations. Encore une fois, c’est le problème d’un modèle exponentiel avec un temps de doublement des cas qui est long. Il faut prendre des décisions fortes alors qu’il y a encore peu de cas. Le conseil scientifique l’a dit, mais ce n’est pas facile politiquement.

    A-t-on manqué de pédagogie en France ?

    Oui, je le crois. Les gens ont un sentiment d’incohérence, on ne peut pas acheter des livres mais des cigarettes, pourquoi ? Par ailleurs, les incertitudes ne sont pas suffisamment expliquées : mutations, durée de l’immunité, etc.

    Dans ces situations, la confiance sociale est une question absolument clé. Pour l’obtenir, les décisions doivent s’appuyer sur une évaluation scientifique du risque, ce qui veut dire notamment connaître la contribution des différentes sources de contaminations, ce que l’on pourrait faire sur des échantillons, par des enquêtes téléphoniques et chez les personnes admises à l’hôpital. On nous dit que la plupart des contaminations sont dans le cercle familial. Je ne sais pas où sont les données à l’appui de cette affirmation.

    Les dégâts sociaux, économiques et sanitaires liés au confinement ne seront-ils pas supérieurs aux dégâts sanitaires du Covid-19 ?

    Oui c’est possible. J’ai évoqué cela dans vos colonnes dès le mois d’avril. C’est pour cela que la réactivité de la prévention est fondamentale. Si on agit vite et tôt, on limite l’impact sanitaire et l’impact économique. Plus généralement, la question qui se pose à nos sociétés est celle d’un arbitrage entre le court et le long terme. Pour sauver des vies maintenant, faut-il fragiliser les générations futures ? Si notre santé publique était efficace, on n’aurait pas à se poser cette question.

    Etes-vous pessimiste ?

    Par nature, je suis optimiste, mais à court terme, cela va être douloureux. L’optimisme serait que l’on se mette dès maintenant à préparer le déconfinement et de faire ce qu’il faut pour éviter un troisième confinement au printemps, ce qu’évoque le conseil scientifique. Ce serait socialement trop destructeur, on sent déjà le désarroi et la lassitude.

    #covid-19 #prévention #santé_publique

  • Protocole sanitaire à #Montpellier : des professeurs votent la grève pour alerter sur le danger dans les classes - midilibre.fr
    https://www.midilibre.fr/2020/11/04/protocole-sanitaire-a-montpellier-nous-sommes-en-danger-dans-nos-classes-a

    Au cours d’une assemblée générale concernant l’application du protocole sanitaire renforcé, 42 professeurs du lycée Pierre Mendès-France ont voté la grève ce mardi 3 novembre.
    « Assez des collègues qui arrivent au lycée avec les yeux cernés, la peur au ventre. Pourquoi attendre ? Devons-nous subir tout cela ? Ça suffit, » s’est exclamée une enseignante, la rage au ventre, lors d’une assemblée générale d’une cinquantaine de professeurs qui a eu lieu mardi matin au lycée professionnel Pierre Mendès- France, proche d’Odysseum.

    En cause, la mauvaise gestion, à leurs yeux, de la mise en application du nouveau protocole sanitaire renforcé, à instaurer dans l’établissement scolaire avant lundi 9 novembre, date butoir.

  • #Montpellier : l’impressionnante vidéo de la fusillade à la Paillade au pied de la tour d’Assas - midilibre.fr
    https://www.midilibre.fr/2020/11/01/montpellier-une-fusillade-a-eclate-a-la-paillade-au-niveau-de-la-tour-dass

    Je me souviens que @marclaime avait écrit, dès le début du premier confinement, que ça allait provoquer des tensions pour le contrôle des territoires de vente de drogue.

  • « Fabre dans mon canapé » : la nouvelle plateforme du musée de Montpellier destinée à valoriser ses ressources numériques
    http://www.club-innovation-culture.fr/musee-fabre-dans-mon-canape

    Comme l’explique Anne Le Cabec, Chargée de projet multimédia – Communication numérique, au Musée Fabre : « Il nous semble que cette interface a sa raison de vivre en parallèle du site institutionnel. Et nous sommes assez fiers de son look ergonomique et attractif. L’intention (qui s’est révélée encore plus pertinente depuis le confinement), serait de faire coexister un site estampillé communication, dédié à la présentation du musée, au flux de l’actualité et à événementiel, avec un réceptacle de contenus numériques riches, produits par le musée au fil des événements et vite enterrés dans la sédimentation du site ».

    • Le premier billet signalant le site, c’est le blog de Hyacinthe Rigaud:
      http://hyacinthe-rigaud.over-blog.com/2020/06/fabre-dans-mon-canape.html

      En ces débuts de déconfinement, et bien qu’il ait rouvert depuis le 2 juin, le musée Fabre de Montpellier propose au public toujours plus de contenu dédié à ses collections et en phase avec son temps.

      Ainsi, avec son tout nouveau module « Fabre dans mon canapé » optimisé aussi bien pour les écrans domestiques que pour les téléphones portables, vous pouvez vous plonger dans les expositions en cours mais aussi dans toutes les salles et sections du musée, pour y découvrir une sélection d’œuvres parmi les plus belles.

    • Musées, patrimoine et expositions autrement | FNCC | Fédération Nationale des Collectivités territoriales pour la Culture
      https://www.fncc.fr/blog/musees-patrimoine-et-expositions-autrement-2

      “Fabre dans mon canapé”, Montpellier. Dans le sillage des nombreuses visites virtuelles qu’ont expérimentées les musées pendant la période de confinement, le musée Fabre transpose ce même principe pour les visiteurs qui ne peuvent pas se rendre à Montpellier mais aussi pour les scolaires qui ne peuvent se déplacer et, plus largement, toutes celles et ceux empêchés de venir au musée. Version numérique d’un musée “hors les murs”, le site “Fabre dans mon canapé” offre des visites complètes des collections et des expositions, mais aussi des récits, des documentaires, des supports pédagogiques, ou encore des jeux et des activités pour les plus jeunes.

      #shameless_autopromo

    • Montpellier : « Fabre dans mon canapé », un musée « hors les murs » - le mouvement
      https://lemouvement.info/2020/07/10/montpellier-fabre-dans-mon-canape-un-musee-hors-les-murs

      Face au confinement lié à la pandémie de Covid-19, les équipes du musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole se sont mobilisées pour produire la nouvelle plateforme numérique « Fabre dans mon canapé ».

      Accélérée par la crise sanitaire, l’élaboration de cette plateforme permet de renforcer le lien avec les visiteurs, elle peut être retrouvée sur : https://fabre.montpellier3m.fr.

      En pratique, à toute heure et « depuis leur canapé », les visiteurs peuvent désormais avoir accès aux œuvres présentes dans les collections permanentes et expositions temporaires, via des visites et expositions en 360°. Ce site internet, un peu particulier, a été conçu et développé par Arnaud Martin et Diala Aschkar de 23FORWARD à Montpellier, et Emmanuel Rouillier de MOSQUITO à Paris.

      Le smartphone des visiteurs évolue aussi pour devenir audioguide. En pratique, pour ceux qui ne souhaitent pas emprunter les appareils audioguides prêtés sur place, le musée Fabre leur propose d’utiliser leur propre téléphone comme guide de visite et audioguide. Le contenu des audioguides est en accès libre sur la plateforme : https://fabre.montpellier3m.fr/audioguide et consultable directement dans les salles.

    • « Fabre dans mon canapé » : accédez en un clic aux collections du musée Fabre | Montpellier Méditerranée Métropole
      https://www.montpellier3m.fr/actualite/fabre-dans-mon-canape-accedez-en-un-clic-aux-collections-du-musee-fabr

      Virtuellement, à toute heure et « depuis leur canapé », les visiteurs peuvent désormais avoir accès aux œuvres présentes dans les collections permanentes et expositions temporaires. "Fabre dans mon canapé" offre des visites complètes des collections et des expositions en 360°, mais aussi des récits de conservateurs autour de thématiques liées aux collections, des rencontres avec des artistes, des documentaires et autres découvertes interactives.

      Parce que la médiation est au cœur des préoccupations du musée, les supports pédagogiques, les tutos, jeux et activités à destination des familles sont, par ailleurs, accessibles à tous. Avec ces contenus ludiques, le musée Fabre propose aux internautes une nouvelle manière de vivre l’expérience muséale.

    • Montpellier : (re)visitez le musée Fabre en quelques clics avec « Fabre dans mon canapé »
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-revisitez-musee-fabre-quelques-clics-fabre-

      Avec ce nouveau mode de consommation de l’art, ce n’est plus vous qui allez à la culture, c’est la culture qui s’invite chez vous. En plus, vous avez des récits ou des commentaires sur les oeuvres photographiées mais aussi des visites virtuelles d’expositions… présentes ou passées. Comme la rétrospective Jean Ranc, un Montpelliérain à la cour des rois. Terminée le 28 juin et amputée par la crise sanitaire, elle est intégralement disponible sur la plateforme numérique, “Fabre dans mon canapé”.

      “C’est aussi l’outil idéal pour préparer ses visites, notamment avec des scolaires. Mais il permet aussi de se replonger dans d’anciennes expositions ou d’en découvrir de nouveaux aspects” recommande le directeur du musée.

      Les conservateurs du musée, très actifs pendant le confinement n’ont cessé de proposer des contenus inédits sur Facebook. Fabre dans mon canapé en est la suite logique. “On n’anticipe pas une seconde vague. Le projet était déjà envisagé avant la crise mais la fermeture au public a accélérer le processus.”.

    • FABRE DANS MON CANAPÉ - My Mag Montpellier
      https://mymagmontpellier.fr/fabre-dans-mon-canape

      Ce site Internet a pour vocation de réunir l’ensemble des contenus consultables « hors les murs ». Accélérée par la crise sanitaire, l’élaboration de cette plateforme marque une volonté prégnante : celle de renforcer le lien avec les visiteurs et de continuer à leur offrir un accès toujours plus important aux collections du musée.

    • Montpellier : aller au musée Fabre sans bouger de son canapé | Métropolitain
      https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/montpellier-aller-au-musee-fabre-sans-bouger-de-son-canape_34975859.html

      Le musée montpelliérain est resté très actif durant le confinement et propose désormais un site internet pour être au musée sans bouger de chez soi. Une réussite totale.

      […]

      Ce site est complet, pratique et facile d’utilisation. Une vraie réussite pour celles et ceux qui s’intéressent à l’art et qui en sont privés. D’autant, que par soucis d’anticipation d’une seconde vague, Michel Hilaire et ses équipes ont préféré ne pas proposer d’exposition cet été, et ont préféré préparer déjà la rentrée, synonyme de possible reconfinement… Avec cette fois-ci des trésors à découvrir de son canapé !

    • Confinement à Montpellier : Expositions, sport et animaux... Cinq événements virtuels pour s’occuper
      https://www.20minutes.fr/montpellier/2904659-20201109-confinement-montpellier-expositions-sport-animaux-cinq-ev

      Le musée Fabre n’a pas laissé les amoureux de l’art orphelins. Avec son nouveau dispositif « Fabre dans mon canapé », il propose aux confinés des visites complètes de ses collections, en 360° ou en vidéo, des documentaires ou des jeux, pour les plus jeunes. Il est par exemple possible de découvrir l’étonnante exposition de l’artiste contemporaine Jeanne Susplugas, en se baladant à coups de clics au cœur de l’hôtel Sabatier d’Espeyran. Ou de bénéficier d’une visite privée des collections du musée, en vidéo, avec son directeur, Michel Hilaire. Ou encore, de plonger à la découverte d’œuvres, décortiquées sur Facebook par les conservateurs du musée. « Comme nous sommes à nouveau fermés, cette plate-forme est une façon de garder le lien avec nos visiteurs, pour ne pas disparaître des écrans », confie Michel Hilaire.

    • Confinement : et si on en profitait pour visiter les musées du monde entier ? - RTS La radio du Sud
      https://www.rtsfm.com/news/confinement-et-si-on-en-profitait-pour-visiter-les-musees-du-monde-entier-229

      Plus proche, dans la région, les équipes du musée Fabre, à Montpellier, ont conçu le site « Fabre dans mon canapé » qui comme son nom l’indique est destiné à visiter le musée sans se déplacer. Cette version numérique vous offre des visites complètes des collections et des expositions, mais aussi des récits, des documentaires, des supports pédagogiques, des jeux et des activités pour les plus jeunes.

    • Une nuit muséale en mode virtuel - midilibre.fr
      https://www.midilibre.fr/2020/11/13/une-nuit-museale-en-mode-virtuel-9197251.php

      Plus localement, le musée Fabre de Montpellier est à la pointe, qui possède un site spécifiquement à l’attention de ceux qui ne peuvent se déplacer ("Fabre dans mon canapé") et propose aussi de se mettre dans la peau d’un chercheur pour analyser des œuvres : observation à la lumière naturelle ou rasante, infrarouge, ultraviolet, avant et après restauration.

    • Crise sanitaire et culture, comment le musée Fabre de Montpellier reste-il en lien avec son public ? – Questions d’Éduc
      https://questionsdeduc.wordpress.com/2021/03/12/crise-sanitaire-et-culture-comment-le-musee-fabre-de-montp

      La fermeture des lieux culturels en raison de la crise du Covid 19 a privé ces derniers de leur public. A Montpellier, le musée Fabre, comme beaucoup d’autres établissements culturels de la ville, a mis en place de nombreux dispositifs visant à ne pas rompre le lien avec ses visiteurs.

      Le musée a créé une rubrique à l’intérieur de son site officiel qu’il a nommé « Fabre dans mon canapé » destiné aux personnes ne pouvant plus voyager jusqu’aux collections ou aux élèves ne pouvant plus visiter le musée… Le site propose des visites complètes virtuelles des collections et des expositions mais aussi pléthores d’autres supports innovants.