Retraite ou confinement, s’élever par les arbres

Monsieur Monolecte confirme. La lecture de philosophes (des vrais, pas de plateaux TV) l’a beaucoup aidé à remonter le pente.
Le souci, c’est dans les gros creux, tu ne peux pas lire du tout.

J’ai jamais lu Houellebecq et même pas écouté le lien avec Alain Veinstein. C’est rediffusé à 2h00 dans les nuits de france cul.
Quand ça veut pas, ça veut pas... j’en suis réduit, moi même, parfois
à regarder le philosophe à la télé dans les années malheur. Quel malheur !
Découvrez l’instant bonheur de Michel Houellebecq...
▻https://twitter.com/CestCanteloup/status/1318842602402308096
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un peu irresponsable quand même - mais qu’attendre de cette sombre crapule- parce que le psy, aussi, c’est des fois pas si pire.

Édouard Cortès a passé 3 mois dans un arbre
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/retraite-ou-confinement-selever-par-les-arbres

Michel Houellebecq né de parents militants communistes est devenu après quelques errances dans la vie « active » une sorte de dandy littéraire nihiliste. J’ai lu quelques uns de ces premiers romans il y a une bonne vingtaine d’années et je me suis même fadé le très controversé « Soumission », publié en janvier 2015 le jour même de l’attentat contre Charlie Hebdo et que j’ai téléchargé sur T411 (j’allais quand même pas payer pour lire cette daube). Je confirme : ce digne rejeton de la petite bourgeoisie névrotique est complètement cramé.

un peu irresponsable quand même - mais qu’attendre de cette sombre crapule- parce que le psy, aussi, c’est des fois pas si pire

@tintin il dit à peu près la même chose au micro d’alain Veinstein. Je l’ai écouté cette nuit dans mon lit, il préconise aussi l’utilisation des anti-dépresseurs. C’est vrai, moi aussi ça m’a aidé surtout après ma dératisation. Le plus dur a décrocher c’est les anxiolytiques, enfin moins dur que l’alcool quand même. J’ai des copains qui mélange les deux et là, c’est fatal. Une pensée à un autre Alain, ce cher copain, mort en bas de son escalier il y a 15 ans maintenant.

Et il doit bien en avoir qui mélange les trois, les pilules, l’alcool et les livres de Houellebecq. Là je crains que ce soit sans retour.