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  • Sept militants de l’ultragauche mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste », Samuel Laurent et parquet national antiterroriste
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/11/sept-militants-de-l-ultragauche-deferes-devant-un-juge-antiterroriste_606310

    Arrêtés en début de semaine, ces militants sont soupçonnés de projets d’actions violentes ciblant éventuellement des policiers, sans qu’un projet précis de passage à l’acte ait été identifié à ce stade.

    Sept personnes soupçonnées d’avoir voulu préparer une action violente ont été mis en examen, vendredi 11 décembre, pour « association de malfaiteurs terroriste » criminelle a indiqué une source judiciaire à l’Agence France-Presse (AFP). Le parquet national antiterroriste (PNAT) a requis le placement en détention provisoire pour six de ces personnes, qui étaient en cours de présentation vendredi soir à un juge des libertés et de la détention.
    Ces sept personnes avaient été présentées vendredi à un juge d’instruction antiterroriste, selon les informations du Monde de source judiciaire, confirmant celles de BFMTV.

    Lire aussi « Gilets jaunes » : la crainte d’une convergence avec des militants adeptes de la stratégie du black bloc [avril 2020]
    https://seenthis.net/messages/844871

    Ces militants de gauche radicale, six hommes et une femme, âgés de 30 à 36 ans, sont soupçonnés d’avoir envisagé des actions violentes, ciblant éventuellement des policiers, sans qu’un projet précis de passage à l’acte ait été identifié à ce stade.

    Information judiciaire ouverte en avril

    Mardi, neuf personnes avaient été arrêtées dans plusieurs lieux en France : à Toulouse (Haute-Garonne), en Dordogne, dans le Val-de-Marne, ou encore à Rennes (Ille-et-Vilaine). Une opération de police a ciblé un squat toulousain fréquenté par les mouvances de gauche radicale [https://seenthis.net/messages/890522]. Les perquisitions ont permis de saisir des éléments pouvant être utilisés pour la fabrication d’explosifs, ainsi que des armes blanches et des armes à feu.

    Ce coup de filet a eu lieu dans le cadre d’une information judiciaire ouverte en avril par le Parquet national antiterroriste (PNAT) et menée par la direction générale de la sûreté intérieure (DGSI). Deux des personnes mises en cause ont été remises en liberté à l’issue de leur garde à vue. La détention provisoire a été requise pour six des sept personnes présentées au juge d’instruction.
    Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, s’est félicité sur Twitter de cette « action contre ces activistes violents de l’ultragauche ».

    Pas de saisine connue depuis l’affaire de Tarnac

    La dernière saisine connue de la justice antiterroriste pour des faits liés à l’ultragauche remonte à l’affaire de Tarnac en 2008, pour des soupçons de sabotage de lignes de TGV. Mais les qualifications terroristes, objet d’un âpre débat, avaient été abandonnées par la justice avant le procès.
    Lire aussi Comprendre l’affaire Tarnac, désormais sans « terrorisme »
    A la fin de 2017, la revendication par des groupes d’ultragauche de trois incendies de casernes de gendarmerie avait suscité des déclarations inquiètes de la part de l’exécutif quant à une possible résurgence de velléités terroristes de cette mouvance.

    Au début de 2020, le procureur de Grenoble avait demandé, en vain, au parquet antiterroriste de se saisir des actions revendiquées par l’ultragauche : une quinzaine d’incendies dans sa région commis en trois ans visant la gendarmerie et différentes institutions (mairie, église, services publics).

    Il y a quelques jours on lisait en presse "Macron ordonne à Darmanin de « régler le problème [Black blocs] par tous les moyens ».

    Edit ces propos de Macron suite aux manifestations du 5 décembre ont été rapportées par le Canard enchainé https://seenthis.net/messages/891037#message891103

    #association_de_malfaiteurs_terroriste #police #justice