• Malgré les risques de Covid, les États rechignent à arrêter l’élevage de visons | Yann Faure
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    Devant le risque sanitaire posé par les élevages de visons, qui peuvent transmettre le coronavirus aux humains, les pays qui en accueillent sur leur sol ont agi de façon contrastée. Du Danemark à la Chine, en passant par la Grèce et les États-Unis, Reporterre fait le tour des grands producteurs mondiaux de fourrure. Source : Reporterre

    • Devine qui sont les responsables de la mutation et de la perpétuation du coronavirus qui portent sur leur dos des cadavres de visons qui coûtent une blinde.

    • https://www.nationalgeographic.fr/animaux/2020/12/la-france-abat-1000-visons-porteurs-de-la-covid-19

      Aujourd’hui, près de 2 500 emplois sont directement ou indirectement liés à la filière fourrure et le domaine engendre près de 300 000 millions d’euros de chiffre d’affaire. Dans le monde, environ 60 millions de visons sont élevés dans des fermes à fourrure. L’Europe est aujourd’hui en tête de la production mondiale de visons avec vingt-et-un pays abritant des fermes à fourrure de vison. Mais c’est la Chine qui s’impose dans le marché de la fourrure : selon une enquête de 2017, les élevages s’y sont multipliés, les chiffres de la consommation aussi. Certaines des fermes présentes en Chine disposent d’un cheptel de 15 000 renards et 6 000 visons. Elles prennent en charge l’insémination artificielle, élevage, l’abattage, la transformation de la peau, le tannage puis exportent les peaux à 80 % pour le marché intérieur.

      #luxe #fourrure