Ici on parle d’un virus qui ne donne aucun symptôme à 98% des personnes atteintes, qui ne donne que de légers symptômes à 98% des 2 % restants et qui dont le taux de survie des malades en réanimation est de 98%.
Ce que Vittoria Colizza, Giulia Pullano et Laura Di Domenico proposent c’est une idée entre l’inutile, le ridicule et le fascisme médical.
Covid-19 : « Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme »
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Dans une autre étude que nous avions mené lors du premier confinement, nous avions montré qu’il faut trouver au moins une infection sur deux (ce qui permet de mettre la personne à l’isolement, de trouver ses contacts) pour éviter d’avoir une résurgence de cas et pour éviter d’être obligé de mettre en place des mesures de distanciation sociale très strictes, comme le confinement.
C’est pourquoi il faut vraiment que les tests deviennent une habitude. On peut imaginer que, dans les semaines ou les mois à venir, d’autres technologies permettront d’améliorer encore la situation, comme le prélèvement salivaire, actuellement à l’étude. Au début cette approche a été mise de côté, car trop peu sensible, mais les protocoles ont été améliorés. On peut imaginer que dans quelques temps, les gens pourront se tester eux-mêmes.
Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme.