• Dr. Deepti Gurdasani sur Twitter :

    An important study from the UK Biobank that showed that ’mild #COVID-19' increased the risk of all-cause death by 10-fold. And COVID that results in hospitalisation increases this 100 fold.

    No form of COVID is harmless or trivial.

    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1614150260678619136

    Source :
    Cardiovascular disease and mortality sequelae of COVID-19 in the UK Biobank https://heart.bmj.com/content/heartjnl/109/2/119.full.pdf

    Cox proportional hazards regression was used to estimate associations of COVID-19 with each outcome over an average of 141 days (range 32–395) of prospective follow-up.

    […]

    The associated risks were greatest in the first 30 days after infection but remained higher than controls even after this period.

  • Dr. Deepti Gurdasani sur Twitter :

    For the MSM and ’experts’ widely blaming the NHS collapse on mainly flu and RSV, please do explain why this is happening now, when flu and RSV positivity & hospitalisation rates are all very similar to those seen in pre-pandemic seasons. 🧵

    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1610583678035591169

    [..,]

    Yup, you guessed it- if you look at acute respiratory illness in care homes, hospitals, educational settings, prisons, where testing has happened, #SARS-CoV-2 is responsible for the majority of outbreaks.

  • At a time we have the tools & knowledge to prevent infection with SARS-CoV-2 - most of the Western world has given up – Dr. Deepti Gurdasani sur Twitter @dgurdasani1

    Thread by dgurdasani1 on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1551459091754762240.html
    (intégralité du fil)
    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1551459091754762240

    At a time we have the tools & knowledge to prevent infection with SARS-CoV-2 - most of the Western world has given up, the result being death rates in some countries in the vaccine era are higher than any point in the pandemic, simply because they’ve let it spread unmitigated.

    It looks like so many countries (including now Australia) bought into the ’living with it’ ideology, without actually putting in the measures needed to protect public health. The impact will be devastating- not just in terms of death, but also long-term disability.

    Even in countries like the UK, where vaccine uptake in vulnerable populations has been high, so death rates have dropped, long COVID is affecting 2 million people - with numbers having increased substantially in the vaccine era- because of unprecedented levels of transmission.

    Before the anti-vaxxers jump on this- it’s not because of vaccination- it’s despite vaccination - because these countries have used their over-reliance on vaccinations to tolerate much higher levels of infection, rather than use a vaccine plus multilayered approach to reduce it

    Most people don’t realise this- but current infection rates in England are 140 times higher than the rates at the same time in July 2020. At those rates, a vaccine only strategy isn’t going to be enough. By any stretch of the imagination

  • Dr. Deepti Gurdasani sur Twitter :
    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1545485595257995269

    L’argument de l’#incertitude pour justifier une inaction criminelle

    Of course if you’re going to take an abelist approach that sacrifices the lives of thousands & the health of millions (disproprotionately poor, ethnic minorities, and clinically vulnerable) & worsens health inequalities then you need to justify this by invoking ’uncertainty’.

    #covid_long #post_covid

  • WHO says global rise in COVID cases is ’tip of the iceberg’ | Reuters
    https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/who-says-global-rise-covid-cases-is-tip-iceberg-2022-03-16

    “These increase are occurring despite reductions in testing in some countries, which means the cases we’re seeing are just the tip of the iceberg,” WHO’s head Tedros Adhanom Ghebreyesus told reporters.

    Au Canada par exemple…

    Peter Cowan sur Twitter : “NL is restricting who is able to get a PCR test for COVID If you have symptoms you’ll only get a COVID test if you’re: - Over 60 - Child <2 - Indigenous - Front line healthcare worker - Pregnant - Work in seniors home or shelter - Immunocompromised #covid19nfld” / Twitter
    https://twitter.com/PeterCBC/status/1504534809217060868

    … et ailleurs

    Dr. Deepti Gurdasani sur Twitter : “This is happening in many countries now - and it’s seriously concerning. UK headed this way too. And Ireland has already restricted testing.” / Twitter
    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1504730998495404041

    #effarant

  • #Covid-19 : le #sous-variant BA.2 bien plus contagieux qu’Omicron, selon le Danemark - Capital.fr
    https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-le-sous-variant-ba2-bien-plus-contagieux-quomicron-selon-le-danemar

    Peut-il réinfecter ceux qui ont déjà été infectés par le BA.1 ?

    « Les scientifiques s’efforcent de déterminer si ces mutations affectent la capacité du sous-variant BA.2 à échapper à l’immunité existante, le rendent plus infectieux ou réinfectent les personnes qui ont eu le BA.1 », a déclaré le SSI.

    On va très vite le savoir…

    La nouvelle a été annoncée alors que le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande et les Pays-Bas ont commencé à lever la plupart des restrictions liées à la Covid-19

    #sars-cov2 #sous-variants #assassins

    • En début de semaine, ils avaient trouvé, dans un journal télé, un spécialiste Danois, qui expliquait qu’ils avaient déjà la réponse : « On n’a pas constaté de réinfection par le BA.2 ». Je le trouvais bien affirmatif... mais pourquoi pas. S’ils constatent que tout va bien, alors oui, continuons. Mais... Comment pouvaient-ils déjà être aussi affirmatifs ? Comment savent-ils ce que tant d’autres ne savent pas ?

    • pendant ce temps, TAC la voix de son maître disait hier :

      Point de situation sur le sous-variant BA.2

      [TAC | jeu. 27 janv. 2022 | 22:30]

      À ce jour, le nombre de cas infectés par le sous-variant BA.2 reste très limité. Toutefois, “il faut être extrêmement prudent”, a affirmé Olivier Véran dans une interview donnée le 25 janvier. En s’appuyant sur les données venues du Danemark, le ministre de la Santé a fait un point sur les connaissances actuelles. Son origine provient d’une mutation sur une protéine, ce qui permet d’avancer que : “les cellules humaines pourraient ne pas reconnaître ce variant alors même qu’elles auraient été exposées à Omicron”, a expliqué le ministre de la Santé. “On pourrait se recontaminer potentiellement au BA.2 même lorsqu’on aurait été contaminé au variant Omicron”. En France, “sur 10 000 séquençages en vie réelle la semaine dernière, il y avait 60 cas de ce variant BA.2. “Nous n’avons pas encore assez de recul pour savoir s’il est moins ou aussi dangereux qu’Omicron”, a précisé Olivier Véran.

      DON’T PANIC. CIRCULEZ, Y A RIEN À VOIR. Mais méfiez vous quand même.

    • Dans la famille omicron
      Covid : le sous-variant BA.2 arrive en France et « il a l’air de prendre le pouvoir », 25 janvier 2022
      https://www.liberation.fr/societe/sante/covid-le-sous-variant-ba-2-arrive-en-france-et-il-a-lair-de-prendre-le-pouvoir-20220125_R2V64NQTDFFSTKHMWIRAEVNXRU/?redirected=1
      La pandémie de Covid-19 en Francedossier

      Le ministre de la Santé et le président du Conseil scientifique ont confirmé mardi l’émergence du sous-variant BA.2 en France. Mais les 60 cas officiellement détectés ne semblent pas compromettre leurs prévisions optimistes d’une décrue progressive de l’épidémie au printemps.

      Son nom ne vous dit peut-être encore rien mais il faut probablement vous préparer à l’entendre de plus en plus souvent. Le sous-variant BA.2, qui reprend le schéma d’omicron (BA.1) mais présente plusieurs nouvelles mutations, se propage désormais en France, après être devenu majoritaire au Danemark et en Inde. [avec nos yeux crevés et nos lunettes noires] « On a repéré 60 cas » sur le territoire, a indiqué ce mardi le ministre de la Santé, Olivier Véran, interrogé sur LCI. « Ce variant, il a la couleur, l’odeur, le goût d’omicron, mais ce n’est pas exactement omicron, c’est omicron qui a muté, c’est ce qu’on appelle un sous-lignage du variant omicron », a-t-il précisé. Selon lui, les autorités danoises rapportent qu’on « pourrait potentiellement se recontaminer avec le sous-variant BA.2 après avoir contracté omicron ».

      « La vague omicron n’est pas terminée mais elle est différente », a déclaré de son côté le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, sur France Info. Sur le sous-variant BA.2, il reconnaît qu’il « a l’air de prendre le pouvoir ». « S’il prend le pouvoir au Danemark et qu’il explique la situation au Danemark, cela veut dire qu’il est plus transmissible encore », souligne-t-il [finaud].

      Beaucoup d’inconnues subsistent autour de ce sous-variant. « Pourquoi serait-il plus transmissible ? Qu’est-ce qui lui arrive de plus ? Je ne le sais pas. Personne ne le sait actuellement », reconnaît le médecin [du pestilent]. Et d’ajouter : « Quel est son niveau de gravité ? Si on a un variant qui n’est pas grave, somme toute, le problème est différent. Eh bien, je ne le sais pas sur le BA.2. »

      Même si l’évolution du BA.2 est scrutée « avec une grande attention », Delfraissy se range dans le clan des optimistes. Alors qu’il estime que « les choses vont atterrir plutôt vers la mi-mars avec une baisse progressive, très lente, en termes d’hospitalisations », [anticipant de manière exceptionnelle sur le monde d’après] il est apparu pour la première fois sans masque sur le plateau télévisé. Présage de jours meilleurs, et surtout « signe qu’il faut commencer à anticiper ce qui nous attend » pour le printemps.

      une prévision de baisse lente (un mois et demi) qui va croiser une montée imprévue par les augures

      ça fait comme si l’immunité conférée par Omicron tenait la route alors que
      https://seenthis.net/messages/946922

      on aura vérifié que, quoi qu’on en dise, pendant que la téloche nous postillonne à la tronche, l’école reste le coeur de la société

      #sous-variant_BA.2 #BA.2 #protocole_tous_infectés #société_d'abandon #aupaysdeslumièreséteintes #sans_vergogne

    • Au Royaume-Uni, le sous-variant BA.2 reste très minoritaire (de l’ordre de 3 %), mais il aurait, depuis quelques jours, commencé à grignoter la part de son aîné. D’où cette interrogation légitime : la diffusion accélérée de BA.2 au Danemark, où les nouvelles contaminations flambent, serait-elle un signe de sa transmissibilité accrue ?

      En France, une interrogation similaire a vu le jour. Pourquoi le pic de la vague Omicron, dont l’arrivée était annoncée vers la mi-janvier, tarde-t-il tant ? Si la vague reprend une nouvelle vigueur, son accélération peut-elle être liée, en partie du moins, à l’arrivée de BA.2 ? Impossible à ce stade de répondre.
      D’une part, nos systèmes de détection des variants ne sont pas adaptés à un suivi de ce sous-variant. « La détection des mutations du SARS-CoV-2 par criblage ne permet pas, dans la plupart des laboratoires, de distinguer BA.1 de BA.2 », explique Florence Débarre. Pour faire ce distinguo, il faudra modifier les cibles de criblage. L’autre méthode est de séquencer la totalité du génome viral. Or, « la remontée des données du séquençage en France n’est pas immédiate », ajoute la biologiste. Par conséquent, on ne peut pas savoir à quel niveau ce sous-variant circule en France. A ce jour, moins d’une vingtaine de cas ont été certifiés par séquençage sur l’ensemble du territoire. Un nombre probablement sous-estimé.

      D’autre part, le portrait de ce petit frère d’Omicron reste flou. « Il n’y a pas à ce stade de connaissances de risque de contagiosité [du sous-variant BA.2] vis-à-vis de celles et ceux qui ont déjà contracté le variant Omicron », estimait le ministre de la santé, Olivier Véran, jeudi 20 janvier.

      (...) il a été trouvé dans de nombreux pays d’Asie (...)

      https://justpaste.it/9aaem

      #in_retrospect

    • Pour faire ce distinguo, il faudra modifier les cibles de criblage.

      et ça pose un problème aux labos, de modifier les cibles ? ou c’est la mise à jour de SIDEP qui pose problème ?

  • COVID-19 isn’t just a cold

    This thread is long, and hard to read - not just because of the technical language, but because “it’s just a cold,” “the vaccine protects me,” and “at least our children are safe” are comforting fairy tales.

    I wish they were true.

    This virus is like measles and polio: a virus with long-term impact.

    Even a “mild” case in a vaccinated individual can lead to long-term issues which cause a measurable uptick in all-cause mortality in the first 6 months, and get progressively worse with time.

    SARS-CoV-2 is a systemic disease which has multiple avenues to induce long-term impairment, attacking the brain, heart, lungs, blood, testes, colon, liver, and lymph nodes, causing persistent symptoms in more than half of patients by six months out.

    The CoVHORT study, limited to non-hospitalized patients in Arizona - “mild” cases - found a 68% prevalence of 1 or more Covid symptom after 30 days, rising to 77% after 60 days. (We will explore an explanation later).

    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0254347

    To prevent panic, @CDCgov has been using the term “mild” to describe any case of COVID-19 which does not require hospitalization.

    #LongCOVID, however, is anything but “mild”, as the replies to @ahandvanish’s thread make heartbreakingly clear.

    https://twitter.com/ahandvanish/status/1423017721822949376

    A University of Washington study found that 30% of Covid patients had reduced Health Related Quality of Life, with 8% of the patients limited in routine daily activities.

    https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2776560

    These patients are struggling with real physical issues.

    This Yale study demonstrated reduced aerobic capacity, oxygen extraction. and ventilatory efficiency in “mild” COVID patients even after recovery from their acute infection.

    https://journal.chestnet.org/article/S0012-3692(21)03635-7/abstract

    It’s also a vascular disease. A Columbia study found “significantly altered lipid metabolism” during acute disease, which “suggests a significant impact of SARS-CoV-2 infection on red blood cell structural membrane homeostasis.”

    https://pubs.acs.org/doi/full/10.1021/acs.jproteome.0c00606

    Oregon Health & Science University found that “symptomatic or asymptomatic SARS-CoV-2 infection is associated with increased risk of [fatal] cardiovascular outcomes and has causal effect on all-cause mortality.”

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.27.21268448v1

    Let’s review: SARS-CoV-2 causes an increase in mortality and reduced aerobic capacity even after asymptomatic cases, and remains in the body months after the initial infection.

    No, it’s not “just a cold.”

    But we’re just getting started. It gets worse. Way worse.

    The virus appears to be able to cross the blood-brain barrier and cause significant neurological damage.

    The ability of the spike protein to cross the blood-brain barrier was demonstrated in mice at the University of Washington.

    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33328624

    A joint study by Stanford and Germany’s Saarland University found inflammation in the brain, and “show[ed] that peripheral T cells infiltrate the parenchyma.”

    https://www.nature.com/articles/s41586-021-03710-0

    For context, the parenchyma is the functional tissue of the brain - your neurons and glial cells. It isn’t normally where T cells are:

    “In the brain of healthy individuals, T cells are only present sporadically in the parenchyma.”

    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6751344

    The Stanford study also discovered microglia and astrocytes which displayed “features .. that have previously been reported in human neurodegenerative disease.”

    Post-mortem neuropathology in Hamburg, Germany found “Infiltration by cytotoxic T lymphocytes .. in the brainstem and cerebellum, [with] meningeal cytotoxic T lymphocyte infiltration seen in 79% [of] patients.”

    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1474442220303082#

    An autopsy of a 14-month-old at Brazil’s Federal University of Rio de Janeiro found that “The brain exhibited severe atrophy and neuronal loss.”

    https://www.thelancet.com/journals/lanam/article/PIIS2667-193X(21)00038-7/abstract

    The UK Biobank COVID-19 re-imaging study compared before and after images of “mild” cases, and found “pronounced reduction in grey matter” and an “increase of diffusion indices, a marker of tissue damage” in specific regions of the brain.

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.06.11.21258690v3

    That seems to explain why there is evidence of persistent cognitive deficits in people who have recovered from SARS-CoV2 infection in Great Britain.

    https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(21)00324-2/fulltext

    Also worrisome are syncytia, where an infected cell extrudes its own spike protein and takes over its neighbors, fusing together to create a large multi-nucleus cell.

    Delta’s particular aptitude for this may partly explain its severity.

    https://www.news-medical.net/news/20211006/SARS-CoV-2-emerging-variants-display-enhanced-syncytia-formation.aspx

    And, yes, syncytia formation can happen in neurons. For our visual learners, here is video of syncytia and apoptosis (cell death) in a (bat) brain:

    https://twitter.com/nytimes/status/1429604323047133185

    Luckily, the University of Glasgow found that “Whilst Delta is optimised for fusion at the cell surface, Omicron .. achieves entry through endosomal fusion. This switch .. offers [an] explanation for [its] reduced syncytia formation.”

    https://www.gla.ac.uk/media/Media_829360_smxx.pdf

    If you’re interested in further understanding the host of neurological symptoms and the mechanisms underlying them, this Nature article is an excellent primer:

    https://www.nature.com/articles/d41586-021-01693-6

    Let’s review: SARS-CoV-2 can cross the blood-brain barrier, and even “mild” or asymptomatic cases can cause loss of neurons and persistent cognitive defects?

    That doesn’t sound “mild” to me; I like my brain.

    But it keeps getting worse.

    The brain isn’t the only organ affected: Testicular pathology has found evidence of “SARS-Cov-2 antigen in Leydig cells, Sertoli cells, spermatogonia, and fibroblasts” in post-morten examination.

    https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13073

    A Duke pathology study in Singapore “detected SARS-CoV-2 .. in the colon, appendix, ileum, haemorrhoid, liver, gallbladder and lymph nodes .. suggesting widespread multiorgan involvement of the viral infection.”

    https://gut.bmj.com/content/gutjnl/early/2021/06/13/gutjnl-2021-324280.full.pdf#page1

    The same study found “evidence of residual virus in .. tissues during the convalescent phase, up to 6 months after recovery, in a non-postmortem setting,” suggesting that “a negative swab result might not necessarily indicate complete viral clearance from the body.”

    It also causes microclots: “Fibrin(ogen) amyloid microclots and platelet hyperactivation [were] observed in [Long COVID] patients,” in this work by Stellenbosch University of South Africa, which also explored potential treatments.

    https://www.researchsquare.com/article/rs-1205453/v1

    Let’s review - SARS-CoV2 attacks our veins, blood, heart, brain, testes, colon, appendix, liver, gallbladder and lymph nodes?

    No, it’s not “just a respiratory virus”.

    Not even close.

    There are also immunology implications:

    Johns Hopkins’ @fitterhappierAJ found that “CD95-mediated [T cell] differentiation and death may be advancing T cells to greater effector acquisition, fewer numbers, and immune dysregulation.”

    https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.600405/full

    This Chinese military study of the initial Wuhan outbreak concluded that “T cell counts are reduced significantly in COVID-19 patients, and the surviving T cells appear functionally exhausted.”

    https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2020.00827/full

    The study authors went on to warn, “Non-ICU patients with total T cells counts lower than 800/μL may still require urgent intervention, even in the immediate absence of more severe symptoms due to a high risk for further deterioration in condition.”

    Those warnings have since been proven by discovery of autoimmune features.

    This study of 177 Los Angeles healthcare workers found that all had persistent self-attacking antibodies at least 6 months after infection, regardless of illness severity.

    https://translational-medicine.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12967-021-03184-8

    In the words of T-cell immunologist Dr. Leonardi (@fitterhappierAJ)

    https://twitter.com/fitterhappierAJ/status/1475227891034210314

    This Kaiser Permanente S.California study found that, although natural immunity provided substantial protection against reinfection, “Hospitalization was more common at suspected reinfection (11.4%) than initial infection (5.4%).”

    https://www.clinicalmicrobiologyandinfection.com/article/S1198-743X(21)00422-5/abstract

    In fact, remember those cytokine storms? It turns out that even that even severe COVID-19 may not be a viral pneumonia, but an autoimmune attack of the lung.

    https://twitter.com/DaveLeeERMD/status/1413816137570205697

    Let’s review - it’s autoimmune: SARS-CoV2 convinces our body to attack itself.

    That might explain why the Arizona study saw more symptoms after 60 days than at 30 days.

    It also means “natural immunity” isn’t something to count on.

    But if you’re counting on vaccination to feel safe, there’s even more bad news.

    A study of Israel healthcare workers found that “Most breakthrough cases were mild or asymptomatic, although 19% had persistent symptoms (>6 weeks).”

    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2109072

    Perhaps the most terrifying study is from Oxford University, which examined the effects of vaccination on long COVID symptoms, because not only did it find that vaccination does not protect against Long Covid, but that Long Covid symptoms become more likely over time:

    In the words of the study authors, “vaccination does not appear to be protective against .. long-COVID features, arrhythmia, joint pain, type 2 diabetes, liver disease, sleep disorders, and mood and anxiety disorders."

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.26.21265508v3

    “The narrow confidence intervals rule out the possibility that these negative findings are merely a result of lack of statistical power. The inclusion of death in a composite endpoint with these outcomes rules out survivorship bias as an explanation.”

    That finding contradicts the findings from the UK Zoe app study, which found that “the odds of having symptoms for 28 days or more after post-vaccination infection were approximately halved by having two vaccine doses.”

    https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00460-6/fulltext

    However, the structural limitations of the Zoe study - discussed in detail by @dgurdasani1 in the linked thread - may explain why it is particularly susceptible to bias against detecting a progressive degenerative condition.

    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1422802883632893952

    Let’s review: we’ve now shown that vaccination appears to offer no protection against the long-term autoimmune effects of COVID - which we know causes T-cells to attack the lungs, and can cause T-cells to enter the brain.

    Why are we letting this run wild?!

    You may think, at least our children are safe.

    They are not.

    The CDC is tracking incidence of a life-threatening multisystem inflammatory syndrome in children following an acute COVID-19 infection, with 5,973 cases as of November 30, 2021.

    https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#mis-national-surveillance

    Children also suffer from Long Covid.

    “More than half [of pediatric patients] reported at least one persisting symptom even 120 days [after] COVID-19, with 42.6% impaired by these symptoms during daily activities.”

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.23.21250375v1

    Focusing exclusively on pediatric deaths is vastly underselling the danger to children.

    Anybody telling you that SARS-CoV-2 is “just a cold” or “safe for children” is lying to you. They are ignoring the massive body of research that indicates that it is anything but.

    Since our vaccines don’t stop transmission, and don’t appear to stop long-term illness, a “vaccination only” strategy is not going to be sufficient to prevent mass disability.

    This isn’t something we want to expose our kids to.

    Let’s review: even for children and vaccinated people, a “mild” case of COVID causes symptoms that point to long-term autoimmune issues, potentially causing our own body to attack our brains, hearts, and lungs.

    Scared? Good.

    Now we’re ready to get to work.

    “This is the virus most Americans don’t know. We were born into a world where a virus was a thing you got over in a few weeks.” — @sgeekfemale, to whom I owe a “thank you” for her editing assistance on this thread.

    The viruses they know in Kolkota, Kinshasa, and Wuhan are different: dangerous, lethal beasts.

    Since 2020, the field has been leveled. Willing or no, we’ve rejoined the rest of the world. We are, all of us, vulnerable in the face of an unfamiliar threat.

    The first step is acknowledging the threat.

    That means acknowledging that our response has been woefully inadequate, and that is going to be uncomfortable.

    The thought that we could have prevented this, but didn’t, will feel unconscionable to some.

    The knowledge that we could start preventing this today, but haven’t, is unconscionable to me.

    https://twitter.com/IanRicksecker/status/1426584062827712512

    It’s time to quit pretending “it’s just a cold,” or that there is some magical law of viruses that will make it evolve to an acceptable level.

    There’s no such law of evolution, just wishful thinking, easily disproven by:

    Ebola. Smallpox. Marburg. Polio. Malaria.

    There are things we can do to reduce our individual risk, immediately.

    That starts with wearing a good mask - an N95 or better - and choosing to avoid things like indoor dining and capacity-crowd stadiums.

    https://twitter.com/LazarusLong13/status/1440398111445188618

    This isn’t a choice of “individual freedom” vs “public health”. It isn’t “authoritarian” to ask people to change their behavior in order to save lives.

    https://www.thehastingscenter.org/individual-freedom-or-public-health-a-false-choice-in-the-covid-e

    As Arnold @Schwarzenegger argued so convincingly in @TheAtlantic, it is our patriotic duty:

    “Generations of Americans made incredible sacrifices, and we’re going to throw fits about putting a mask over our mouth and nose?”

    https://www.theatlantic.com/ideas/archive/2021/08/schwarzenegger-schmuck-mask-vaccines/619746

    “Those who would sacrifice essential liberty for a little bit of temporary security deserve neither!”

    What is the essential liberty here?

    It is the liberty to be able to breathe clean air, to live our lives without infecting our families and risking disability.

    To get there, we need to listen to our epidemiologists and public health experts - the ones who have been trying to tell us this since the beginning:

    https://twitter.com/EpiEllie/status/1444088804961304581

    It is time — long past time — to give up on the lazy fantasy that we can let it become “endemic” and “uncontrolled” because it inconveniences us, because it is killing our political opponents, or because the virus will magically evolve to some “mild” state.

    It is time — long past time — to begin controlling this virus.

    It’s possible: Japan, New Zealand, and South Korea have done it.

    It saves lives:

    It’s even good for the economy:

    “Globally, economic contraction and growth closely mirror increases and decreases in COVID-19 cases... Public health strategies that reduce SARS-CoV-2 transmission also safeguard the economy.”

    https://bmcinfectdis.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12879-021-06357-4

    It’s time.

    https://threadreaderapp.com/thread/1478611650760437765.html

    sur twitter :
    https://twitter.com/IanRicksecker/status/1478611650760437765

    #long-covid #covid-19 #coronavirus #covid_long #long_covid #séquelles #post-covid

    • Pour dégrossir un peu le terrain :

      Fil de discussion : Comment rendre l’air des salles de classe plus sûr ?
      Tout ce que vous devez savoir sur les filtres HEPA, les moniteurs de CO2 et la ventilation. Contenu : idées de base ; comment faire avec des liens vers des ressources ; avertissements ; liens vers des études / preuves (que j’ajouterai car cela prend plus de temps) 1/.
      Les maladies respiratoires transmises par l’air (TB, Covid, etc.) sont toutes transmises de la même manière : l’agent pathogène se trouve dans de minuscules particules que nous expirons / dégageons en parlant. Elles sont suffisamment petites pour rester dans l’air comme de la fumée ; vous en recevez davantage si vous êtes plus près, mais finalement toute la pièce est enfumée 2/.
      Les gens les respirent et sont infectés. D’autres particules sont émises en parlant, en criant ou en chantant. Comme le virus se trouve dans ces mêmes particules, la variante du covid ne compte pas. nature.com/articles/s4159... 3/ Image
      Donc, si nous pouvons empêcher les gens de respirer les particules respiratoires d’une personne infectée, nous pouvons empêcher la propagation des maladies par voie aérienne. Il existe 4 moyens d’y parvenir : les masques, l’air frais (ventilation), le filtrage (HEPA) et la stérilisation de l’air (UV) 4/.
      Les masques sont bons. Bleu ("chirurgical") > tissu > rien. Ils empêchent principalement le porteur d’infecter involontairement d’autres personnes, donc il est bon que tout le monde en porte. (Empêche les particules d’entrer dans l’air par la bouche ou le nez). Les FFP2 / FFP3 bien ajustés sont encore mieux, ils protègent également l’utilisateur et peuvent être portés à nouveau.
      Déroulement disponible sur Thread Reader

      https://twitter.com/trishgreenhalgh/status/1477606074001801218?s=20

      5/
      Cependant, les masques, bien qu’importants, ne sont pas suffisants pour de longues périodes de temps dans une même pièce (comme dans les écoles) et ne peuvent pas être portés pour manger et boire. De plus, il n’y a pas de masques dans les écoles primaires (élémentaires) du Royaume-Uni et ils ne constituent pas une (bonne) solution à long terme. Donc... 6/
      Deuxième option, expulser l’ancien air rempli de particules expirées avec de l’air frais ("ventilation") - mécaniquement par les conduits du bâtiment, ou naturellement en ouvrant une fenêtre. 7/
      La ventilation des fenêtres dépend du temps et peut être difficile à évaluer. Pour savoir si l’on a besoin de plus d’air frais, nous utilisons le CO2 pour estimer la quantité de particules respiratoires accumulées dans l’air (difficile à mesurer) - nous expirons les deux, et ils sont tous deux éliminés par la ventilation.
      8/
      L’air frais extérieur contient 400 ppm de CO2 (réchauffement de la planète !). Au-dessus de 800 ppm, >1% de l’air de la pièce a été expiré, il faut donc faire entrer de l’air frais en ouvrant les fenêtres. Un coup d’air rapide pour se rafraîchir s’il fait trop froid pour laisser les fenêtres ouvertes. D’autres bons conseils :
      Déroulement disponible sur Thread Reader
      covidstraighttalk.org/indoorwindtunn... 9/
      Soufflerie intérieure - COVID Straight Talk
      https://covidstraighttalk.org/indoorwindtunnel
      Si vous avez une ventilation mécanique dans le bâtiment (beaucoup d’universités et d’écoles récentes en ont une), vérifiez que la personne qui gère votre bâtiment l’a réglée pour maximiser l’air frais (pas « recyclé »). Vous pouvez également vérifier que tout est en ordre avec un moniteur de CO2. 10/
      Si vous ne pouvez pas obtenir suffisamment d’air frais (vous ne pouvez pas ouvrir suffisamment les fenêtres / il fait trop froid) et que le CO2 est généralement supérieur à 1200 ppm à la fin du cours, vous pouvez également filtrer les aérosols infectieux présents dans l’air. Faites-le avec un HEPA ("high efficiency particulate air [filter]"). 11/
      De nombreux « purificateurs d’air » domestiques sont HEPA. Il s’agit de boîtiers portables de la taille d’une poubelle, qui aspirent l’air par les côtés et soufflent l’air filtré par le haut. Il en faut 2 ou 3 par classe, répartis un peu partout (voir plus loin). [NB : ils n’éliminent pas le CO2, donc les moniteurs de CO2 ne montrent pas l’avantage du HEPA.] 12/ Image
      HEPA est une technologie bien établie, qui élimine toutes les particules de 0,1 à 10 microns, ce qui inclut les particules expirées porteuses de maladies transmises par l’air (ainsi que le pollen, la fumée, la pollution particulaire, etc.) "Le filtre HEPA H13 élimine 99,95 % des particules de 14 à 10 microns.
      Comprendre les filtres Hepa
      https://www.cibsejournal.com/technical/understanding-hepa-filters
      Ce site utile trouve des purificateurs d’air HEPA commerciaux et calcule le nombre nécessaire pour votre salle de classe (avec des explications supplémentaires) cleanairstars.com/hepafilters/ 14/
      Unité typique £50-£200 variant dans la quantité d’air filtré que vous obtenez. (Mon appareil ci-dessus a été réduit à 35 £)
      Filtres HEPA, Clean Air Stars
      Le choix d’un filtre HEPA (air) peut être déroutant, mais ce n’est pas nécessaire.
      https://cleanairstars.com/hepafilters
      Remarque : les modèles officiellement recommandés par le gouvernement britannique sont Dyson et Camfil, mais ils coûtent ££ pour l’air pur qu’ils fournissent. Les seules choses qui comptent sont le taux d’air pur (CADR), le coût et le fait qu’ils ne soient pas trop bruyants (la ressource ci-dessus inclut cela). Il est donc préférable d’avoir plusieurs unités moins chères dans la pièce. 15/
      Dernière option : la lumière ultraviolette tue les virus dans les particules en suspension dans l’air : à la lumière du soleil, ou dans des unités installées à l’intérieur (largement utilisées pour la rougeole et la tuberculose) cibsejournal.com/technical/lead... Nécessite une installation spécialisée et des plafonds élevés (pour la sécurité) mais convient aux grandes pièces (cantines, gymnases) 16/
      Lumière d’avant-garde : assurer une utilisation efficace de la technologie UV dans les bâtiments
      https://www.cibsejournal.com/technical/leading-light-ensuring-effective-use-of-uv-technology-in-buildings
      Avec des taux de covidités élevés, il faut de l’air pur et des masques. En cas de face à face sans masque, la ventilation / HEPA / UV n’arrêtera pas l’infection : si vous êtes en face d’un fumeur, une fenêtre ouverte ne sera pas d’une grande aide s’il vous souffle de la fumée au visage. Les masques (en particulier les FFP2) assurent cette protection 17/.
      17/
      L’air frais, propre ou stérilisé est extrêmement efficace pour réduire la transmission et fonctionne sur toutes les variantes, ainsi que sur d’autres maladies infectieuses transmises par l’air. C’est un bon investissement à long terme, et c’est aussi très faisable. Finançons-le et faisons-le. /FIN
      Mise en garde : l’air pur est une couche supplémentaire. Face à face sans masque = risque encore élevé (surtout en intérieur). La distanciation est également utile (comme dans l’analogie avec le fumeur). Et sans la distance ou les masques, l’air pur peut encore faire la différence, par exemple en infectant seulement 1 ou 2 camarades de classe, et non 10. Mais ce n’est pas une solution miracle.
      Conseils sur le positionnement de vos unités HEPA

      https://twitter.com/adsquires/status/1478354191584268288?s=20

      Preuves d’efficacité dans les écoles et autres environnements (à compléter)
      Déroulement disponible sur Thread Reader
      Dépliant disponible sur Thread Reader
      Déployer disponible sur Thread Reader

      https://twitter.com/dgurdasani1/status/1477630293314084876?s=20

      https://twitter.com/peter_systems/status/1478813926892650499?s=20

      Limitations politiques / pratiques (c’est pourquoi je n’ai pas inclus) mais je suis d’accord avec cela :

      https://twitter.com/mjb302/status/1478812431828799490?s=20

      Comment calculer la quantité d’air pur (par personne) que vous obtenez déjà par la ventilation en utilisant votre capteur de CO2 (et donc la quantité d’air que vous devez compenser en utilisant un HEPA).

      https://twitter.com/adsquires/status/1470677561629974537?t=tsRAaJOyL0irf7zqteqzFg&s=19

      Vous pouvez avoir des fenêtres ouvertes ET un HEPA. En fait, vous devriez faire les deux, si vos fenêtres ne fournissent pas assez d’air frais. C’est ce que dit @mjb302, qui participe à l’étude @AAirDStudy sur les HEPA à l’hôpital Addenbrookes de Cambridge.

      https://twitter.com/mjb302/status/1478840081658130439?t=BDi0tA52yc1hnbEnlxgn0A&s=19

      Vous pouvez trouver des unités HEPA sur Amazon (ou d’autres magasins). Recherchez « purificateur d’air HEPA » et cherchez « True HEPA » ou « H13 HEPA ». Ne prenez pas ceux avec ozone / ioniseur. Ne tenez pas compte de la surface de la pièce indiquée, recherchez le taux de diffusion d’air pur (CADR) et le niveau de bruit (dBA). Utilisez ensuite
      Filtres HEPA, étoiles de l’air pur
      Choisir un filtre HEPA (air) peut être déroutant, mais ce n’est pas forcément le cas.
      https://cleanairstars.com/hepafilters
      Vous envisagez de passer au FFP2 ? Faites-le ! Il s’agit de ces masques (légèrement plus épais, généralement blancs, photo ci-dessous). 1 £ chacun (en paquet de 10), chacun dure des semaines. Mon expérience en matière de port pour les conférences : aussi confortable que le coton, et apparemment plus facile à entendre aussi :

      https://twitter.com/BethBromley10/status/1478851131656835078?s=20

      Que sont les masques FFP2, obligatoires dans certains pays européens ?
      Ces masques de haute qualité réduisent considérablement la transmission du covid-19.
      https://www.economist.com/the-economist-explains/2021/12/16/what-are-ffp2-masks-mandatory-in-some-european-countries
      La ventilation des fenêtres peut être améliorée en plaçant des ventilateurs dans les fenêtres qui soufflent de l’air frais et de l’air vicié. Une équipe allemande est allée plus loin en développant un système de conduits à bas prix que vous pouvez fabriquer pour moins de 200 £ à partir de composants courants provenant de magasins de bricolage.

      https://twitter.com/Paul_Briley/status/1478859676309676032?t=aJ3nYVsBewil3HQWGhm-6Q&s=19

      Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

  • La France 🇫🇷, la COVID et les écoles... Une triade que le monde regarde quelque peu interloqué !

    Long thread un peu beaucoup agacé ! 😤
    https://threadreaderapp.com/thread/1369386629392175113.html

    2/n
    Depuis 1 an, le discours officiel = "la pandémie de COVID ne concerne pas les enfants, peu contaminés et peu contaminants".
    Le binôme JMB et la Société Française de Pédiatrie étant restés solidaires et inébranlables dans ce déni que seul un autre pays maintient, la Suède 🇸🇪.
    3/n
    Pourtant, les données internationales montrent depuis le début de la pandémie que :
    1) l’infection est possible, et avec la même fréquence, à tous les âges (voire désormais plus fréquente chez les enfants avec le variant B.1.1.7 🇬🇧)...
    4/n
    2) charge virale similaire à tout âge ;
    3) enfants contaminés et au moins aussi contaminants que les adultes.
    Comme disait François BOURDILLON (ancien directeur de Santé Publique France), "il existe en France un déni du risque de l’épidémie à l’école"
    Covid-19 : « Il existe en France un déni du risque de l’épidémie à l’école »
    TRIBUNE. Malgré les données scientifiques démontrant le rôle des écoles dans la diffusion du virus, le gouvernement a choisi de les maintenir ouvertes. Or cette décision ne s’accompagne pas d’une stra…
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/24/en-france-il-existe-un-deni-du-risque-de-l-epidemie-a-l-ecole_6070995_3232.h
    5/n
    On sait également que les enfants ne sont pas à l’abri de COVID sévères et/ou de séquelles :
    – Syndromes inflammatoires multisystémiques pédiatriques (MIS-C ou PIMS) :

    https://twitter.com/itosettiMD_MBA/status/1357770377049604099?s=20

    – Séquelles cardiovasculaires au long cours : news.uthscsa.edu/post-covid-syn… ...
    Post-COVID syndrome severely damages children’s hearts ; ’immense inflammation’ causing cardiac blood vessel dilation - UT Health San Antonio
    Multisystem inflammatory syndrome in children (MIS-C), believed to be linked to COVID-19, damages the heart to such an extent that some children will need lifelong monitoring and interventions, said t…
    https://news.uthscsa.edu/post-covid-syndrome-severely-damages-childrens-hearts-immense-inflamma
    6/n
    – COVID longues pédiatriques :
    Unroll available on Thread Reader

    https://twitter.com/chrischirp/status/1363473889951637504?s=20

    – Diabète auto-immun induit par la COVID :

    https://twitter.com/yoncabulutmd/status/1359364725549785089?s=20

    7/n
    En limitant le recours aux tests de dépistage et en modifiant les définitions des cas contacts dans le cadre scolaire par rapport à la population générale, la France a ainsi pu masquer la circulation virale dans les établissements scolaires et chez les plus jeunes
    8/n
    Pourtant, à chaque vague, on a clairement pu noter l’impact épidémique favorable de la fermeture des établissements scolaires ; ce que les autorités mettent d’ailleurs à profit pour leur stratégie de Slow Burn avec un cycle de 6 à 8 semaines imposé par les vacances scolaires
    9/n
    Les données de l’ONS (institut national de statistiques 🇬🇧) rappellent encore l’ampleur de la diffusion virale dans les écoles à partir des taux de séroprévalence :
    – 15% des enseignants
    – 8% des enfants du primaire
    – 11% des enfants du secondaire
    ons.gov.uk/peoplepopulati…
    10/n
    Les enseignants sont également au 4ème rang des professions les plus exposées à un surrisque d’infection par SARS-CoV-2 ons.gov.uk/peoplepopulati…
    11/n
    La semaine dernière, le Pr. FONTANET a publié un éditorial dans le BMJ offrant une porte de sortie au gouvernement pour opérer un revirement sémantique digne du plus beau salto arrière de la patineuse Surya Bonaly !!!
    bmj.com/content/bmj/37…
    12/n
    Dans cet éditorial, on peut apprendre, sources à l’appui, que le virus circule dans les écoles exactement comme dans le reste de la population !!!
    Ainsi, le Pr. FONTANET réduit à néant le discours de la Société Française de Pédiatrie et de Jean-Michel BLANQUER...
    13/n
    Cependant, il offre un "sauf-conduit" de communication largement repris dans les médias : "les écoles ne jouent pas le rôle d’amplificateur de l’épidémie" 🤡😉
    Les écoles "ne jouent pas le rôle d’amplificateur" de l’épidémie, selon une étude française
    Si l’on ne peut nier la présence du virus dans les écoles, est-ce pour autant un lieu de super contamination ? Pas plus que dans le reste de la société, nous dit une étude française, qui se veut égale…
    https://www.franceinter.fr/les-ecoles-ne-jouent-pas-le-role-d-amplificateur-de-l-epidemie-selon-une
    14/n
    On passe donc d’un déni délirant ("la COVID ne concerne pas les écoles") à une rhétorique bien plus sibylline ("les écoles n’amplifient pas l’épidémie") 😅
    15/n
    Le Pr. FONTANET représente une ligne désormais décriée au sein du conseil scientifique, puisqu’il est partisan d’une stratégie de suppression virale et d’un contrôle strict des écoles à défaut de pouvoir les fermer...
    16/n
    La stratégie de suppression virale était clairement recommandée dans les avis du conseil scientifique (même si elle n’a jamais été instaurée par le gouvernement)...
    17/n
    Du moins, jusqu’à ce que l’équipe DELFRAISSY/LINA ne bascule du côté de la déclaration de Great Barrington et ne recommande l’isolement ciblé des plus âgés pour laisser le virus circuler dans le reste de la population.
    18/n
    Comme le disait le Pr. FONTANET lors d’une conférence internationale d’épidémiologistes, il faudrait fermer les écoles mais "notre Ministre de l’éducation a dit qu’il faudrait d’abord lui passer sur le corps".

    https://twitter.com/vincentglad/status/1355657246915616772?s=20

    19/n
    Dignes de la Pravda, les médias français reprennent donc uniquement 1 phrase de l’éditorial pour servir le discours politique : "les écoles ne jouent pas le rôle d’amplificateur de l’épidémie"...
    20/n
    Un peu comme la HAS qui recommande tjs à point ce dont le gouvernement a besoin pour mener sa politique ! 😉 :
    – décalage de la 2ème dose, au mépris des données immuno et recos internationales,
    – extension du vaccin AZ aux >65 ans pour combler l’angle-mort des 65-74 ans...
    21/n
    Pourtant, cet éditorial paru dans le BMJ insiste sur un point crucial : à défaut de fermer les écoles, il faut impérativement y implémenter des mesures sanitaires renforcées.
    Pourquoi ? L’éditorial répond :...
    22/n
    A) les écoles contribuent à la transmission communautaire du virus ;
    B) les enfants constituent une voie majeure d’importation du virus dans le foyer familial.
    23/n
    Pour rappel, les autorités sanitaires britanniques ont identifié depuis des mois les enfants comme étant la principale source d’importation du virus dans les foyers familiaux
    TFC : Children and transmission - update paper, 17 December 2020
    Update paper prepared by the Children’s Task and Finish Group (TFC) on children, schools and transmission.
    https://www.gov.uk/government/publications/tfc-children-and-transmission-update-paper-17-december-2020
    24/n
    Ces données montrent que la probabilité d’être le cas index du foyer (« relative external exposure ») est :
    – 7x plus élevée pour la tranche 12 – 16 ans
    – 3x plus élevée pour la tranche <12 ans
    (la comparaison est faite avec les adultes : >17 ans)... Image
    25/n
    ... La suite du thread arrive...
    26/n
    La capacité à transmettre le virus aux autres (« relative transmissability ») est aussi ↗️ chez les enfants (3x plus que chez l’adulte).
    Mais les enfants restent plus souvent asympto, ce qui complique la surveillance épidémio en l’absence de dépistage systématique à l’école
    27/n
    Une étude danoise montre le même surrisque d’infection par SARS-CoV-2 chez les adultes d’un foyer familial s’ils ont des enfants scolarisés
    Le surrisque varie de +13% à +54% selon le nombre et l’âge des enfants.
    SARS-CoV-2 infection in households with and without young children : Nationwide cohort study
    Background Infections with seasonally spreading human coronaviruses (HCoVs) are common among young children during winter months in the northern hemisphere, with immunological response lasting around …
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.28.21250921v1
    28/n
    Ce surrisque d’importation virale depuis les écoles pourrait pourtant être maîtrisé à condition d’appliquer des mesures sanitaires strictes dans les écoles...
    29/n
    Une étude épidémio 🇺🇸 montre que le surrisque d’importation virale dans le foyer familial, via les enfants scolarisés, peut-être ↘️ au niveau de la pop générale à partir de 7 à 9 mesures appliquées dans les écoles (incluant dépistage régulier, enseignement en extérieur...).
    30/n
    Les propositions de la communauté scientifique ne manquent pas, exemples :
    A)

    https://twitter.com/dgurdasani1/status/1368137796058284032?s=20

    B) ducotedelascience.org/ressources-pou…
    C)
    Covid data show sewage monitoring could be vital in infection control
    A pilot study’s analysis of schools’ wastewater shows it could be an early warning system for public health teams
    https://www.theguardian.com/world/2021/mar/07/covid-data-show-sewage-monitoring-could-be-vital-in-infection-control
    Ressources pour écoles, collèges, lycées - Du Côté de la Science
    Voici des propositions élaborées par le collectif Du Côté de la Science, pour aider les établissements scolaires à faire face aux défis posés par la pandémie de COVID-19. Cette page propose aussi des …
    https://ducotedelascience.org/ressources-pour-les-etablissements-scolaires
    31/n
    Le Pr. FONTANET fait preuve de bcp de finesse dans son édito, car tout en offrant une porte de sortie aux autorités ("pas de rôle amplificateur"), il réaffirme sa position et le consensus international sur le lien écoles/COVID = voie MAJEURE de propagation du virus
    32/n
    En effet, il rappelle clairement, sources à l’appui, que le virus circule activement dans les établissements scolaires, aussi bien entre enfants, qu’entre personnels éducatifs, ou qu’entre enfants et personnels...
    33/n
    Or, comme il le rappelle aussi, les mesures actuelles sont insuffisantes et nécessitent d’être largement renforcées (c’est d’ailleurs l’objet de cet éditorial co-signé par le Pr. Devi Sridhar qui milite activement depuis des mois pour une sécurisation des écoles 🇬🇧)...
    34/n
    Les mesures barrières ne sont pour l’instant pas assurées dans les écoles, tjs pas d’effectifs réduits en classe, tjs pas de contrôle de transmission par aérosols via gestion de l’aération des lieux clos, tjs pas de port du masque strict pour tous à tout âge...
    35/n
    JMB promettait le déploiement de tests salivaires dans les écoles. Outre une sous-dotation massive par rapport au nombre d’élèves en France, ne permettant pas un dépistage répété de tous les élèves, les 1ers objectifs sont déjà revus à la baisse ! 😅
    Tests salivaires : comment Jean-Michel Blanquer est passé de 50 000 à 3 000 tests en 24 heures
    Les tests salivaires dans les écoles, présentés comme l’ultime recours pour ne pas fermer les établissements scolaires, peinent à démarrer. Mardi, sur France Inter, le ministre de l’Education national…
    https://www.franceinter.fr/tests-salivaires-comment-jean-michel-blanquer-est-passe-de-50-000-a-3-00
    36/n
    Pour comparaison, l’Autriche a rouvert ses écoles malgré une épidémie très active, mais avec des tests salivaires obligatoires pour tous les élèves chaque lundi thelocal.at/20210112/coron…
    37/n
    Idem au Royaume-Uni, qui annonce la réouverture de ses écoles le 8 mars, mais là encore avec un dépistage obligatoire 2 fois par semaine dès le secondaire
    All households with children of school age to get 2 rapid COVID-19 tests per person per week
    Whole families and households with primary school, secondary school and college age children, including childcare and support bubbles, will be able to test themselves twice every week from home as sch…
    https://www.gov.uk/government/news/all-households-with-children-of-school-aged-to-get-rapid-covid-19-tests-per-pers
    38/n
    En France, on ne vise que quelques milliers de tests chaque semaine, en gros pour évaluer très partiellement la circulation virale dans des écoles sélectionnées dans un panel, sans aucun objectif de contrôle épidémique... Bref, encore un énième affichage sans intérêt.
    39/n
    Ainsi, on comprend comment l’épidémie se propage principalement via les écoles :
    chez les adultes, les mesures barrières sont imposées au quotidien, via les fermetures d’activités/commerces non-essentiels, télétravail, protocoles sanitaires dans les commerces avec jauges...
    40/n
    couvre-feux... Tout ceci est présenté comme efficace (au moins partiellement) pour freiner la propagation virale.
    Chez les enfants, ces mesures ne sont pas appliquées, l’enseignement reste présentiel sans mesures sanitaires renforcées ni surveillance virologique stricte...
    41/n
    Ainsi le virus diffuse facilement parmi les enfants et VIA les enfants vers les foyers familiaux.
    On comprend alors que les écoles constituent la voie MAJEURE de propagation du virus ENTRE foyers familiaux.
    42/n
    L’éditorial évoque l’argument de la souffrance psychologique, hausse des suicides. Ceci est présenté comme étant associé aux effets des confinements et des la fermeture des écoles...
    43/n
    Pourtant l’introduction du même éditorial rappelle que la France ou la Norvège comptent parmi les pays qui ont le moins recouru à la fermeture des écoles ; et la France a recouru moins fréquemment et moins strictement aux confinements que ses voisins européens !...
    44/n
    Les écoles sont restées fermées depuis des moins dans la très grande majorité des pays (cf. carte synthétique UNESCO), et dans les pays qui ont connu les confinements les plus stricts et les plus longs (Australie et Nouvelle-Zélande), les taux de suicide ont chuté !
    45/n
    On découvre donc une victime inattendue de cette pandémie : la crédibilité de la communauté médico-scientifique sortie du discours logique et scientifique, mais dans un discours auto-censuré, politique, incompatible avec l’objectivité nécessaire à l’exercice de la science...
    46/n
    Ce n’est pas au conseil scientifique de dire si les écoles doivent ouvrir/fermer. Il doit simplement présenter les données épidémio objectives afin que les autorités politiques fassent le choix de les ouvrir/fermer selon des considérations sanitaires, éco, sociologiques...
    47/n
    J’évoquais plus tôt un autre pays noyé dans le déni sur le rôle des écoles dans la propagation de l’épidémie = la Suède 🇸🇪.
    Récemment, le Pr. CASALINO (directeur médical à l’AP-HP) évoquait une étude épidémio 🇸🇪 à paraître début mars...
    48/n
    Cette étude était censée être une nouvelle preuve que les écoles n’interviennent pas dans l’épidémie de COVID !
    Outre la proximité idéologique toujours aussi forte entre modèle français et modèle suédois, il est important de souligner ce que cette étude a provoqué !!!...
    49/n
    Tout simplement un scandale international !!!
    Oscillant entre falsification de données, idéologie nauséabonde, interférence politique dans les travaux scientifiques...
    50/n
    La suite du thread arrive...
    51/n
    L’auteur principal, le Dr. Jonas Ludvigsson (pédiatre et épidémio), semble avoir caché des données liées aux COVID sévères et décès chez les enfants et enseignants, afin de construire cette étude visant à soutenir la politique d’immunité collective suivie par la 🇸🇪 :...
    52/n
    Unroll available on Thread Reader

    https://twitter.com/DrEricDing/status/1366879139341492226?s=20

    Critics slam letter in prestigious journal that downplayed COVID-19 risks to Swedish schoolchildren
    Researchers omitted data suggesting child mortality went up in the spring of 2020
    https://www.sciencemag.org/news/2021/03/critics-slam-letter-prestigious-journal-downplayed-covid-19-risks-swedis
    53/n
    Pourtant, en juillet 2020, des emails échangés entre ce même Dr. Ludvigsson et le Pr. Tegnell (épidémiologiste en chef suédois), soulignaient la surmortalité des enfants âgés de 7 à 16 ans et scolarisés
    Unroll available on Thread Reader

    https://twitter.com/DGBassani/status/1366918905411874817?s=20

    54/n
    On se rappelle également des emails impliquant le Pr. Tegnell et évoquant ouvertement la nécessité de maintenir à tout prix les écoles ouvertes afin d’entretenir la circulation active du virus dans la population pour favoriser l’immunité collective !
    thelocal.se/20200813/revea…
    55/n
    La falsification n’est pas inédite ! Exemple récent et marquant ave l’analyste américaine Rebekah Jones, licenciée après avoir alerté et refusé de falsifier les données de mortalité par COVID en la Floride. Elle est désormais emprisonnée.

    https://twitter.com/afao94/status/1368477950459383809?s=20

    56/n
    Pour mieux comprendre le scandale suédois, il faut souligner que le Dr. Ludvigsson est un des signataires de la déclaration de Great Barrington, tribune polémique soutenue par l’extrême-droite américaine, les milieux climatoseptiques...
    57/n
    Elle vise à inciter à l’isolement ciblé des plus vulnérables pour permettre une circulation active du virus dans le reste de la population, en s’appuyant sur la chimère de l’immunité collective...
    58/n
    Outre la polémique française autour des avis de la Société Française de Pédiatrie, on note les mêmes prises de positions proches de la déclaration de Great Barrington chez les pédiatres québécois !
    Des pédiatres mènent un combat d’arrière-garde contre les mesures de prévention sanitaire | Ricochet
    Depuis le début de la pandémie, des pédiatres québécois mènent une lutte d’arrière-garde contre les mesures sanitaires visant à endiguer le coronavirus. Certains d’entre eux flirtent avec la stratégie…
    https://ricochet.media/fr/3338/des-pediatres-menent-un-combat-darriere-garde-contre-les-mesures-de-prev
    59/n
    Que de telles idéologies s’observent en Suède, ce n’est pas surprenant. L’Histoire nous rappelle que ce pays déclaré "neutre" durant la seconde guerre mondiale, aurait vendu de l’acier au régime nazi...
    60/60
    La 🇸🇪 aurait aussi pratiqué des stérilisations forcées jusqu’en 1996 au nom d’un eugénisme inscrit dans sa constitution (fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9r…).
    Par contre, voire un rapprochement avec le modèle suédois dans la francophonie est bien attristant !
    Stérilisation contrainte
    https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte

    • • •

    • Covid à l’école : « Il n’y a plus de protocole, il est à la fois insuffisant et inapplicable »

      Mara-Lisa a 35 ans. Elle est professeure de français depuis une dizaine d’années, tutrice pour les « apprentis » profs. A tort ou à raison, elle a longtemps considéré son métier comme un engagement, et a agi en petit soldat, tant qu’elle a eu l’impression que sa mission était noble.

      « Je suis une enseignante passionnée, j’adore mes élèves, j’aime enseigner, j’aime travailler en équipe avec mes collègues, me lever sans savoir exactement ce qu’il va se passer dans ma journée. Mais voilà, lundi, je crois que je n’irai pas. Nous sommes en guerre, disait Macron.

      « Résultats catastrophiques »

      « En septembre, j’ai bataillé pour le masque, expliqué sa nécessité auprès des élèves. Quand j’ai parlé à ma cheffe de la contamination par aérosol, elle m’a répondu qu’il fallait arrêter de regarder BFM, et ne pas rentrer dans des débats scientifiques.

      « En octobre, j’ai testé le taux de CO2 de beaucoup de salles de cours, la salle des profs, la cantine. Les résultats sont pour la plupart catastrophiques. Un collègue m’a demandé si mon appareil mesurait aussi le méthane émis par les pets des élèves.

      « En novembre, la moitié de mes collègues et moi-même nous sommes mobilisés : nous avons fait grève pour alerter la presse de la situation sanitaire de l’établissement, pour demander en vain des capteurs, des agents d’entretien et des surveillants supplémentaires, le changement des fenêtres.

      « En décembre, nos cours et nos évaluations ont été bousillés à la dernière minute : nous avons appris quatre jours avant les vacances que les deux dernières journées étaient facultatives pour les élèves afin de permettre aux familles un Noël plus en sécurité.

      « Conflit ouvert avec les élèves »

      « En janvier, je rentre pour la première fois de ma carrière en conflit ouvert avec une classe dont six ou sept élèves refusent sciemment de porter correctement le masque. Ils répètent que ce que je fais ne sert à rien, puisqu’ils se contamineront dans les autres cours. Ils font un scandale dès que j’ouvre une fenêtre. Ils s’insurgent car je suis « la seule à les chercher ». Ils murmurent que je serais complètement « flippée ».

      « Les surveillants sont à bout de souffle, et une AESH [Accompagnant des élèves en situation de handicap, ndlr] qui s’inquiétait de contaminer son mari à risque a disparu des radars. Mes collègues m’avouent qu’ils ont rendu les armes avec le masque : ils veulent pouvoir enseigner. Les uns avalent rapidement leur ration, seuls dans leur bagnole. D’autres mangent ensemble à la cantine ou en salle des profs. Fracture. On se déchire pour savoir si on revient à une salle par prof.

      « En ce début mars, dans ce banal collège de banlieue, avec un taux d’incidence local supérieur à 250 pour 100 000, 600 élèves se croiseront dans des tranchées couvertes de moins de deux mètres de large, à chaque heure de cours. La désinfection des tables est prévue à chaque cours, mais je ne sais pas si c’est à moi de la faire. Je suppose que oui. J’espère qu’on aura assez de lingettes désinfectantes car on nous a retiré le spray : après deux mois d’utilisation, la fiche technique nous a appris qu’il fallait pour le manipuler des gants et des lunettes de protection.

      « Et un bruit de fond qui s’installe, pourquoi s’embêter avec le masque puisque à la cantine il n’y en a pas ? Et pourquoi s’embêter avec la distanciation puisque dans la cour il n’y en a pas ? Et pourquoi pas de brassage, puisque tout le monde se croise dans les couloirs ? Il n’y a plus de protocole : sa seule performance est d’être à la fois insuffisant et inapplicable. Je ne sais pas qui il protège. Ma seule armure, c’est le masque FFP2 que mon employeur ne me fournit pas.

      « Leur mépris pour nous me déchire »

      « Mes collègues pour certains font les autruches. La tête dans le sable, ils s’adressent parfois de manière condescendante à ceux qui s’insurgent ou qui ont peur. D’autres courbent juste l’échine. D’autres encore pleurent, parfois à 8 h 24 en salle des profs. On essuie les larmes et on y va.

      « Moi, je sais que le virus est aéroporté, je sais que les Covid longs, y compris pédiatriques, existent. Je dois regarder mes élèves dans les yeux, et je pense à cette mère d’élève décédée au printemps dernier. Parce que ce sont les ordres, je participe à ce qui est au mieux une mascarade, au pire un crime. Et à chaque seconde où se déploie devant moi ce terrible spectacle de résignation collective ou de simple désinvolture, je pense à mes propres enfants que je ne protège pas non plus, eux aussi dans leur classe, eux aussi avec des enseignants broyés.

      « Alors, si je n’y vais pas lundi, n’y voyez pas un acte de résistance politique ; n’y voyez même pas l’envie de me dorer la pilule. Ce n’est qu’un effondrement personnel. J’aime mes élèves, j’aime mes enfants, je crois en mon métier, leur mépris pour nous me déchire chaque jour. Ce qu’on me demande d’accepter, c’est que ma santé, celle de mes élèves, celle de leur famille, celle de mes enfants, ne compte pas. Ce qu’on me demande, c’est de participer à un #mensonge_d’Etat.

      « Aujourd’hui, je suis le soldat sans arme qui pleure, prostré, quand sonne l’heure de l’assaut, car je ne peux plus. Je déserte, vous n’aurez qu’à me fusiller. Courage à ceux qui restent. »

      Journal d’épidémie, par Christian Lehmann

      Christian Lehmann est écrivain et médecin dans les Yvelines. Pour « Libération », il tient la chronique d’une société suspendue à l’évolution du coronavirus. Aujourd’hui, le témoignage d’une enseignante désespérée au point de déserter.

    • sur les enseignants à risques, l’étude mentionnée semble en fait être https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/healthandsocialcare/causesofdeath/bulletins/coronaviruscovid19relateddeathsbyoccupationenglandandwales/deathsregisteredbetween9marchand28december2020#deaths-involving-covid-19-in- mais ce qu’on y lit est assez différent This analysis did not find statistical evidence of a difference in the positivity rate between primary and secondary school teachers, other key workers and other professions.

  • Report 42 - Transmission of SARS-CoV-2 Lineage B.1.1.7 in England: insights from linking epidemiological and genetic data | Faculty of Medicine | Imperial College London
    https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/report-42-sars-cov-2-variant

    The SARS-CoV-2 lineage B.1.1.7, now designated Variant of Concern 202012/01 (VOC) by Public Health England, originated in the UK in late Summer to early Autumn 2020. We examine epidemiological evidence for this VOC having a transmission advantage from several perspectives. First, whole genome sequence data collected from community-based diagnostic testing provides an indication of changing prevalence of different genetic variants through time. Phylodynamic modelling additionally indicates that genetic diversity of this lineage has changed in a manner consistent with exponential growth. Second, we find that changes in VOC frequency inferred from genetic data correspond closely to changes inferred by S-gene target failures (SGTF) in community-based diagnostic PCR testing. Third, we examine growth trends in SGTF and non-SGTF case numbers at local area level across England, and show that the VOC has higher transmissibility than non-VOC lineages, even if the VOC has a different latent period or generation time. Available SGTF data indicate a shift in the age composition of reported cases, with a larger share of under 20 year olds among reported VOC than non-VOC cases. Fourth, we assess the association of VOC frequency with independent estimates of the overall SARS-CoV-2 reproduction number through time. Finally, we fit a semi-mechanistic model directly to local VOC and non-VOC case incidence to estimate the reproduction numbers over time for each. There is a consensus among all analyses that the VOC has a substantial transmission advantage, with the estimated difference in reproduction numbers between VOC and non-VOC ranging between 0.4 and 0.7, and the ratio of reproduction numbers varying between 1.4 and 1.8. We note that these estimates of transmission advantage apply to a period where high levels of social distancing were in place in England; extrapolation to other transmission contexts therefore requires caution.

    • L’hypothèse est que non seulement la variante britannique est beaucoup plus contagieuse (augmentation du R entre 0.4 et 0.7), mais que de plus elle touche nettement plus les jeunes.

      Ici un témoignage d’une matron (infirmière en chef ?) à Londres :
      https://twitter.com/bbc5live/status/1345006866829463552

      “It was minimally affecting children in the first wave... we now have a whole ward of children here.”

      https://video.twimg.com/amplify_video/1344998209962303488/vid/1280x720/vYkmEURfwU8x1Olj.mp4

    • Commentaires de Deepti Gurdasani :
      https://twitter.com/dgurdasani1/status/1344774555718590464

      The Imperial report on the new UK B117 strain is out. Very concerning findings, that highlight why we need to act on this now. These findings suggest that the situation within the UK is likely to get much worse than it is now. Here’s why-

      Un aspect du thread : la nouvelle variante est en train de se répandre principalement chez les jeunes scolarisés (10-19). Sans mesures fortes (fermeture des écoles), elle se répandra dans l’ensemble des tranches d’âge, et la situation déjà difficile en Grande-Bretagne deviendra catastrophique.

    • Thread de Nathan Peiffer-Smadja :
      https://twitter.com/nathanpsmad/status/1345079966728396803

      Pourquoi je suis très inquiet par la diffusion du variant #SARSCoV2 au Royaume-Uni ?

      – Une transmissibilité augmentée de 56% (CI 95% : 50-74%)
      – Des charges virales + importantes chez patients infectés
      (les 2 pouvant être liés !)

      Ce variant va fatalement arriver en France

      Notamment cette recommandation :

      Concrètement, selon ces travaux de modélisation, à confirmer et avec leurs limites, pour que prochaine vague soit moins meurtrière que la précédente au Royaume-Uni il faut

      – Vacciner 2 millions personnes/semaine
      – Confinement général avec toutes les écoles/collèges/lycées fermés

    • @kassem : oui pour les deux premiers référencement.

      Mais dans le thread de Deepti Gurdasani, la part des jeunes, ce n’est pas une comparaison, c’est le constat que la nouvelle variante, considérée comme beaucoup plus contagieuse, est désormais très répandue dans les tranches d’âges des moins de 20 ans, et pour l’instant plus faiblement chez les plus âgés.

      Et que donc si on ne fait rien elle gagnera l’ensemble des tranches d’âge en faisant des dégâts considérables en aggravant une situation déjà très dégradée.

    • COVID-19 : DES ÉPIDÉMIOLOGISTES ET PARENTS D’ÉLÈVES RÉCLAMENT UN REPORT DE LA RENTRÉE SCOLAIRE
      https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-des-epidemiologistes-et-parents-d-eleves-reclament-un-report-de-la-r

      De nombreux pays européens ont en effet décidé de reporter la rentrée de quelques jours voire semaines. C’est notamment le cas dans plusieurs régions britanniques, mais aussi en Grèce, en Pologne, en Irlande, aux Pays-Bas et en Autriche. Et précisément ce que réclame le collectif de #parents d’#élèves Ecole et Familles oubliées qui déplore qu’aucun renforcement du protocole sanitaire n’ait été mis en place alors que le nouveau variant du virus « est officiellement déjà présent » sur le territoire français.

      « La rentrée en présentiel doit être décalée, pour permettre la mise en sécurité des établissements scolaires comme de nombreux scientifiques le demandent en France et comme le font la majorité des pays européens », écrivent les responsables du collectif.

      Le report du retour en classe permettra, selon eux, de réaliser un état des lieux sur la dangerosité de la nouvelle souche du virus et de l’impact des fêtes de fin d’année sur la progression épidémique, mais aussi d’élaborer « un protocole sérieux pour la réouverture des établissements » avec des effectifs réduits, une aération efficiente des locaux et le déploiement de tests salivaires.

      « Laisser l’épidémie à l’#école, c’est exposer la société toute entière. Et il faudra malheureusement payer collectivement le prix de cet attentisme, qui déjà en mars nous avait conduit à regarder tranquillement la Lombardie sans réagir » ; estiment-ils.

      #covid-19 #Antoine_Flahault et alii