Les coiffeurs allemands ne trouvent plus d’apprentis
Berliner Abendschau | rbb Rundfunk Berlin-Brandenburg
►http://www.rbb-online.de/abendschau/index.html
►http://www.rbb-online.de/etc/medialib/rbb/inf/bild/mode/friseur_frisur_haare.file.240.135.jpg
Kein Arbeitsmarkt für Friseure?
Die Friseurbranche ist in der Krise. Die Zahl derjenigen, die sich für eine Friseurausbildung entscheiden, ist nach Angaben der Agentur für Arbeit von 2001 bis 2010 um 25 Prozent zurückgegangen. Die Zahl der freien Ausbildungsstellen stieg hingegen auf Rekordniveau. Offenbar hat der Beruf ein Imageproblem: Laut einer Umfrage vom Bundesinstitut für Berufsbildung unter angehenden Friseuren gaben fast 80 Prozent an, dass der Berufswunsch im Umfeld zum Naserümpfen führt - zu lange Arbeitszeiten, Lohndumping usw. Eine Kampagne des Zentralverbands des Deutschen Friseurhandwerks soll das angekratzte Image des Berufs aufpolieren.
Avec des conventions collectives qui fixent les salaires entre 3,50 et 7,62 Euros/heure on n’est pas’étonné que les jeunes choisissent d’autres métiers.
►http://www.hairweb.de/friseur-lohn-gehalt.htm
La corporation des coiffeurs y voit plutôt un problème de réputation :
Warum gibt es keine Friseusen mehr ? Weil der Opel Manta nicht mehr hergestellt wird.
►https://de.wikipedia.org/wiki/Mantawitz
►http://www.witze-witze.eu/manta-witze.html
Comme toujours en économie les choses sont interconnectées et on imagine difficilement une coiffeuse sans copain musclé conduisant une Opel Manta.
Ce couple archétypique forme une sorte de symbiose parce que lui ne peut pas se passer de sa copine coiffeuse pour entretenir sa coiffure vokuhila
►http://de.wikipedia.org/wiki/VokuhilaElle a besoin de lui pour la ramener à la maison car elle est trop bête pour comprendre les horaires du bus.
►http://farm4.staticflickr.com/3007/2698175378_ba256054dd_z_d.jpg?zz=1
C’est le couple d’enfer quoi. Avec une telle réputation il faut beaucoup de courage pour choisir ce métier. Voilà comment on pourraut résumer le point de vue des propriétaires de salons de coiffure. En conséquence ils lancent une campagne pour améliorer la réputation de leur métier. C’est un peu comme l’armée qui raconte au jeunes que ce n’est pas un sale métier et que c’est un vrai plaisir de faire la guerre.
Il me semble que le problème c’est plutôt la véritable raison de la mauvaise réputation : avec un salaire si bas il faut être vraiment bête pour emprunter une carrière de coiffeuse - à moins d’avoir hérité d’une chaîne de salons de coiffure où on peut exploiter d’autres coiffeuses.