Il serait à l’origine du terme "féminazi", d’abord lié à l’#avortement...
Feminazi : the go-to term for trolls out to silence women
▻https://www.theguardian.com/world/2015/sep/15/feminazi-go-to-term-for-trolls-out-to-silence-women-charlotte-proudman
There is nothing new about the term “feminazi”; there is something very new in what it can do. It originated in the 90s, with the shock-jock Rush Limbaugh (though he claimed it came from an academic, Thomas Hazlett) using it to describe, in his improbable phrasing, “a feminist to whom the most important thing in life is ensuring that as many abortions as possible occur”
Article qui renvoie vers un lien de 2012 :
“Feminazi” : The History Of Limbaugh’s Trademark Slur Against Women
▻https://www.mediamatters.org/rush-limbaugh/feminazi-history-limbaughs-trademark-slur-against-women
Limbaugh In 1992 Book: “I Prefer To Call The Most Obnoxious Feminists What They Really Are: Feminazis. ... I Often Use It To Describe Women Who Are Obsessed With Perpetuating A Modern-Day Holocaust: Abortion.” In his 1992 book The Way Things Ought to Be, Limbaugh defined the term “feminazi” as “a woman to whom the most important thing in life is seeing to it that as many abortions as possible are performed.”
Lu dans :
La terreur féministe
Petit éloge du féminisme extrémiste
Irene
▻https://www.editionsdivergences.com/livre/la-terreur-feministe
« Le féminisme n’a jamais tué personne ». Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d’angoisse, ou à appuyer l’idée – déjà bien répandue – qu’une femme ne peut pas faire peur, qu’une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n’a jamais tué personne ? Elles s’appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l’histoire de ces femmes violentes.
IRENE – prononcer « Iréné » –, 21 ans, a grandi dans un mélange de cultures espagnole, basque et française. En 2017, elle s’installe à Paris et se lance dans le militantisme au contact des milieux féministes. En parallèle, elle transforme son compte Instagram en outil de démocratisation d’idées et de pédagogie populaire. Elle participe au lancement du mouvement des collages contre les féminicides en 2019.
Liens vers des articles/entretiens sur la page de l’éditeur.
Dont les "bonnes feuilles" sont parues sur Slate :
Des hommes osent parler de féministes « castratrices ». Le mot résonne étrangement quand on pense aux 200 millions de femmes ayant subi des mutilations génitales dans le monde. Ils emploient le terme « féminazies » sans savoir qu’il a été popularisé dans les années 1990 par Rush Limbaugh, animateur radio américain, connu pour ses opinions politiques conservatrices. Il avait employé le terme dans son émission radio, « The Rush Limbaugh Show », pour désigner « une féministe pour qui la chose la plus importante dans la vie est de s’assurer que le plus d’avortements possible se produisent ».
Le féminisme n’a-t-il vraiment jamais tué personne ?
▻https://www.slate.fr/story/201090/irene-terreur-feministe-bonnes-feuilles-violence-femmes-patriarcat-feminicides ?