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  • Taxi-Gewerbe: Lohnraub ist gängige Praxis (nd aktuell)
    https://www.neues-deutschland.de/artikel/1149593.taxi-gewerbe-lohnraub-ist-gaengige-praxis.html


    „An der Halte“ von Till Krech https:// flickr.com/photos/extranoise/ Lizenz CC BB 2.0 https://creativecommons.org/licenses/by/2.0

    15.03.2021 von Peter Nowak - Soziallotse Klaus Meier über systematische Ausbeutung und Betrug im Berliner Taxi-Gewerbe

    Was macht ein Taxi-Soziallotse ?

    Meine wichtigste Aufgabe besteht darin, den Berliner Taxifahrer*innen Hilfestellung dabei zu geben, Auswege aus ihren wirtschaftlichen und sozialen Problemen zu finden. Es geht zum Beispiel darum, ob sie Arbeitslosengeld II als Aufstocker*innen erhalten können. Auch selbstständigen Kolleg*innen vermittle ich Beratungen.

    Welche Auswirkungen haben die Corona-Pandemie und der Lockdown auf die Berliner Taxifahrer*innen?

    Die Maßnahmen zur Eindämmung der Covid-19-Pandemie haben die Einnahmen zeitweise fast auf null gebracht. Die Zahl der Berliner Taxis ist im vergangenen Jahr um etwa 1000 auf unter 7000 gesunken. Etwa 400 von über 2000 Solo-Selbstständigen haben aufgegeben. In der Pandemie wurde die bis dahin gut versteckte systematische und illegale Ausbeutung sichtbar, die sich mangels Umsatzvolumens nicht mehr mit Buchhaltungstricks verschleiern ließ. Leider haben sich weder die Taxi-Aufsichtsbehörde noch das Finanzamt oder der Zoll dafür interessiert.

    Zurzeit wird vor dem Berliner Arbeitsgericht ein Fall von besonders schwerem Lohnraub im Taxigewerbe verhandelt. Worum geht es dabei?

    Der Kollege befand sich in akuten finanziellen Nöten, sodass ihm sogar der Wohnungsverlust drohte. Der Abgleich seiner Arbeitszeitaufzeichnungen und der Lohnabrechnungen zeigte, dass ihm sein Chef nur einen Bruchteil des ihm zustehenden Lohns bezahlt hatte. Ihm wurden über Jahre bis zu 70 000 Euro vorenthalten. Vor Gericht wird jetzt über die genaue Höhe seines Anspruchs verhandelt. Bisher kam es zu keiner Einigung. Am 22. Juli wird das Verfahren fortgesetzt.

    Kommt so etwas häufiger vor?

    Das Ausmaß des Lohnraubs ist ein Extremfall. Doch es ist bekannt, dass fast alle Berliner Taxibetriebe Löhne zahlen, die weit unter dem Mindestlohn liegen. Sie nutzen ein Zusatzgerät zum Taxameter, um die Warte- und Bereitschaftszeiten an Halteplätzen als Pausen und nicht als Arbeitszeit zu erfassen. Dabei hat das Berliner Arbeitsgericht bereits 2018 in einem Urteil festgestellt, dass die Erfassung von Arbeitszeiten auf diese Weise unzulässig ist. Die Kolleg*innen werden um einen großen Teil ihres Lohns betrogen.

    Könnte das derzeit im Bundestag diskutierte Taxibeförderungsgesetz die Lage der Berliner Taxifahrer*innen verbessern?

    Die Diskussion darum lenkt vom Wesentlichen ab: Solange den Taxibetrieben gestattet wird, ausschließlich eine Umsatzbeteiligung zu zahlen, gibt es keinen gesetzeskonformen und armutsfesten Stundenlohn.

    Welche Rolle spielen die Gewerkschaften?

    Die AG-Taxi bei Verdi macht seit Jahren auf das Problem aufmerksam. Ich beginne durch meine Gespräche mit Taxifahrer*innen zu verstehen, warum sich so wenige gewerkschaftlich organisieren. Viele sehen ihre Situation als alternativlos und haben Angst vor negativen Folgen, wenn sie sich wehren. Deshalb richtet sich ihr Protest gegen Uber und so gut wie nie gegen ihre eigenen Betriebe.

    Verschärft Uber die Situation?

    Im Jahr 2018 sind die Einnahmen der Berliner Taxis durch Uber um 20 bis 30 Prozent gesunken. Anfangs konnte ich nicht glauben, dass Uber hier Fuß fassen würde. Seit CSU-Bundesverkehrsminister Andreas Scheuer die Ortskundeprüfung für Mietwagen abgeschafft hat, finden sich Menschen in Notlagen, die bereit sind, für noch weniger Geld als die Taxifahrer*innen zu arbeiten.


    28.5.2015 „Uber-Reklame auf Taxi“ von Alper Çuğun https:// flickr.com/photos/alper/ Lizenz CC BB 2.0 https://creativecommons.org/licenses/by/2.0

    #Berlin #Taxi #Medien #TXSL

    • j’ai appuyé sur le bouton traduire et ça m’a dit ça :

      15/03/2021 par Peter Nowak - Guide social Klaus Meier sur l’exploitation systématique et la fraude dans l’industrie du taxi berlinois

      Que fait un guide social de taxi ?

      Ma tâche la plus importante est d’aider les chauffeurs de taxi à Berlin à trouver des solutions à leurs problèmes économiques et sociaux.

    • Le vol de salaire est une pratique courante
      L’assistant social Klaus Meier à propos de l’exploitation systématique et de la fraude dans l’industrie du taxi à Berlin*

      Que fait un assistant social pour taxi ?

      Ma tâche la plus importante est d’aider les chauffeur·es de taxi berlinois·es à trouver des solutions à leurs problèmes économiques et sociaux. Il s’agit par exemple de savoir si elles ou ils peuvent bénéficier de l’allocation de chômage II en tant que complément. J’organise également des consultations pour les collègues indépendant·es.

      Klaus Meier :
      Il a été chauffeur de taxi pendant plus de 30 ans jusqu’à ce qu’il tombe gravement malade. Klaus Meier a trouvé un emploi d’assistant social pour taxi, qu’il a lui-même créé, grâce au revenu de base de solidarité. Peter
      Nowak s’est entretenu avec lui au sujet de son travail._

      Quels sont les effets de la pandémie de Corona et du confinement sur les chauffeur·es de taxi de Berlin ?

      Les mesures prises pour contenir la pandémie de Covid 19 ont temporairement ramené les revenus à un niveau presque nul. Le nombre de taxis berlinois a chuté d’environ 1000 à moins de 7000 l’année dernière. Environ 400 des plus de 2000 indépendants en solo ont abandonné. La pandémie a mis en lumière l’exploitation systématique et illégale qui était bien cachée jusqu’alors et qui ne pouvait plus être dissimulée par des astuces comptables en raison de l’absence de volume de ventes. Malheureusement, ni l’autorité de surveillance des taxis, ni le bureau des impôts, ni les douanes ne s’y sont intéressés.

      Une affaire de vol de salaire particulièrement grave dans le secteur des taxis est actuellement examinée par le tribunal du travail de Berlin. De quoi s’agit-il ?

      Le collègue connaissait de graves difficultés financières, si bien qu’il était même menacé de perdre sa maison. Une comparaison de ses relevés de temps de travail et de ses fiches de paie a montré que son patron ne lui avait versé qu’une fraction du salaire auquel il avait droit. Il avait été privé de jusqu’à 70 000 euros sur une période de plusieurs années. Le montant exact de sa demande est actuellement en cours de négociation au tribunal. Jusqu’à présent, aucun accord n’a été trouvé. Le procès se poursuivra le 22 juillet.

      Est-ce que ce genre de chose arrive fréquemment ?

      Par son ampleur, ce vol de salaire est un cas extrême. Mais il est bien connu que presque toutes les compagnies de taxi berlinoises versent des salaires bien inférieurs au salaire minimum. Ils utilisent un dispositif complémentaire au taximètre pour enregistrer les temps d’attente et de garde aux arrêts comme des pauses et non comme du temps de travail. En 2018, le tribunal du travail de Berlin a jugé que l’enregistrement des heures de travail de cette manière est illégal. Les collègues sont floués d’une grande partie de leur salaire.

      La loi sur le transport par taxi, actuellement en discussion au Bundestag, pourrait-elle améliorer la situation des chauffeurs de taxi berlinois ?

      La discussion à ce sujet détourne l’attention de l’essentiel : Tant que les compagnies de taxi ne seront autorisées à payer qu’une partie du chiffre d’affaires, il n’y aura pas de salaire horaire conforme à la loi et à l’épreuve de la pauvreté.

      Quel rôle jouent les syndicats ?

      L’AG-Taxi de Verdi attire l’attention sur ce problème depuis des années. Grâce à mes conversations avec les chauffeurs de taxi, je commence à comprendre pourquoi si peu s’organisent en syndicats. Beaucoup ne voient aucune alternative à leur situation et ont peur des conséquences négatives s’ils se défendent. C’est pourquoi leurs protestations sont dirigées contre Uber et presque jamais contre leurs propres entreprises.

      Uber exacerbe-t-il la situation ?

      En 2018, les recettes des taxis berlinois ont chuté de 20 à 30 % à cause d’Uber. Au début, je ne pouvais pas croire qu’Uber s’implanterait ici. Depuis que le ministre fédéral des transports de la CSU, Andreas Scheuer, a supprimé le test de connaissances locales pour les voitures de location, des personnes en grande difficulté se sont retrouvées prêtes à travailler pour un salaire encore plus bas que celui des chauffeur·es de taxi.

      Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

    • Pour info, @seenthis utilise translate shell https://github.com/soimort/translate-shell pour les traductions cf https://github.com/seenthis/hebergement/wiki/Installation-de-translate-shell

      L’outil en question ne prend plus en charge deepl depuis que ce service a mis en place des restrictions à l’accès de son API cf https://github.com/soimort/translate-shell/issues/268

      Voilà pour le contexte, toutes propositions alternatives sont les bienvenues dans le repo de seenthis cf https://github.com/seenthis/seenthis_squelettes/issues

    • der Lotse, c’est le pilote, au sens maritime du terme


      Lotsenboot "Elbe 4’ vor Cuxhaven
      mason_bay

      Pilote (profession maritime) — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Pilote_(profession_maritime)

      Le pilote de navire est le conseiller du commandant d’un navire qui entre ou sort du port ou encore qui navigue sur une voie maritime difficile (par exemple le fleuve Saint-Laurent). Il travaille pour une station de pilotage et est licencié pour un ou plusieurs ports particuliers ou encore une ou plusieurs voies fluviales.

      pilote social ne signifiant pas grand chose en français, on pourrait proposer pilotage social, ou, en m’aidant d’une liste de synonymes http://www.synonymo.fr/synonyme/pilote
      – expérimentateur social
      – mentor social
      – cicérone social (pour le plaisir de ce mot totalement désuet)
      – ou encore, mais la connotation en allemand est assez moyenne (!) : guide social

    • En aparté pour @simplicissimus :

      DeepL m’avait proposé « pilote » mais cela me paraissait ambigu. Alors j’ai pensé au nom « assistant » en rapport au métier d’assistante sociale en français. J’ai hésité à choisir entre ce mot et celui de « conseiller ».

      Sinon pour le nom « cicérone » qui est très peu usité de nos jours, voici ce que propose le CNTRL :
      https://www.cnrtl.fr/definition/cicerone

      Ce mot d’origine italienne a servi à L.L. Zamenhof pour créer le mot « ĉiĉerono / prononcer tchitchèrono » de l’Espéranto :
      https://vortaro.net/#%C4%89i%C4%89erono_kd

    • Pour info - après les tâches les plus urgents le site https://txsl.de aura des secteurs en français et anglais. Le turc et l’arabe seront réalisés plus tard car il faudra payer des traducteurs.
      #merci pour vos idées de traduction.

      Le terme « Lotse » est le résultat d’une ruse pour faire financer par la ville un projet du type « organizing » cad de création de syndicats pour les chauffeurs taxi et uber.

      La genèse du projet

      Dans le cadre d’un projet pilote intitulé Solidarisches Grundeinnkommen (SGE), la ville de Berlin promeut des « Lotsendienste THP », qui visent à améliorer la cohésion sociale et à faciliter l’accès aux structures officielles de soutien pour les personnes qui en sont exclues par des facteurs linguistiques, sociaux et ethniques.

      Dans la capitale du néolibéralisme européen, la municipalité n’a pas le droit de créer un service pour les nécessiteux, mais doit recourir à une ruse consistant à lancer un appel d’offres auprès des associations et des administrations. Dans ce contexte, le maire de Berlin a lancé un programme pour l’emploi des chômeurs, le SGE, qui est censé ouvrir la voie à une amélioration du système Hartz IV.

      J’y ai présenté l’idée du projet avec l’aide de l’association Berliner Arbeitslosenzentrum (BALZ), qui joue le rôle de contenant, de gestionnaire administratif et financier du projet. L’association prend son rôle au sérieux et fournit des contacts aux autorités et aux politiques afin de contribuer à la réussite du projet. L’intégration dans le BALZ assure avant tout le suivi pragmatique continu et l’adaptation des tâches du projet aux nouveaux développements.

      L’état des lieux après un an de travail dans le cadre de la pandémie Covid-19 peut être résumé en une phrase : Les graves problèmes matériels doivent être résolus et des possibilités d’action doivent être créées pour les conducteurs afin de les motiver à prendre leur destin en main. Ceux qui sont accablés par une misère sans fin ne peuvent pas voir plus loin que le prochain feu rouge.

      S’attaquer aux pires abus s’est avéré tout à fait cohérent avec les définitions du poste subventionné. Pour ce faire, j’utilise toutes mes compétences et mon expérience pour aider le service de base à atteindre son plein impact en faisant du lobbying pour les employés dépendants, en travaillant avec les syndicats et les associations industrielles, et en impliquant les agences municipales et associations indépendantes.