• « 10 000 pas par jour ? Autant cueillir des marguerites » : médecin du sport, il remet les podomètres à l’heure
    https://www.sudouest.fr/sante/10-000-pas-par-jour-autant-cueillir-des-marguerites-medecin-du-sport-il-rem

    « Parce que, commente le docteur Daulouède, marcher est le propre de l’homme, une fonction basique, fondamentale. Cette règle des 10 000 pas qui n’en est pas une, devrait être associée à un comportement dans la marche. Je m’explique : 10 000 pas sans canne en marche rapide pour monter la Rhune au Pays basque, ça n’a rien à voir avec 10 000 pas même sans canne, pour promener Mirza… L’effort physique n’est pas le même. Donc, la notion de 10 000 pas ne doit pas faire référence, malgré le succès des montres connectées. Marcher lentement n’a pas beaucoup d’effet sur la santé physique. »

    « Les gens qui marchent sont plus intelligents que ceux qui ne marchent pas, mais pour le physique c’est une autre histoire ! »

    Mais elle en a sur la santé mentale, psychique et philosophique. Ainsi parlait Nietzsche : « Seules les pensées qui viennent en marchant, valent quelque chose. » ; et aussi Kierkegaard, également grand marcheur devant l’Eternel : « Ne perdez surtout pas l’envie de marcher. Moi-même, chaque jour, la marche me procure mon bien-être quotidien, et m’éloigne de la maladie, mes meilleures pensées sont venues en marchant, et je ne connais aucune pensée si lourde qu’on ne puisse s’en éloigner à grands pas. » Platon et Aristote philosophaient en marchant. Avec ou sans Mirza. Et le docteur Christian Daulouède, lui-même, ne crache pas sur le plaisir simple de la promenade et ses vertus apaisantes. « C’est vrai, les gens qui marchent sont plus intelligents que ceux qui ne marchent pas, mais pour le physique, décroche-t-il, c’est une autre histoire ! »

    Mieux vaut le pas du chasseur

    Une fois ce constat décevant posé, le médecin propose quelques solutions. « Si on veut améliorer notre santé et notre condition physique, perdre du poids, mieux vaut abandonner le rythme du promeneur du dimanche, pour lui préférer le pas du chasseur, une marche rapide qui fait transpirer, avec des montées, des descentes, le cœur qui s’accélère et ralentit. Le rythme cardiaque doit évoluer, et là oui, on sait que le taux de cholestérol va baisser, que le cœur sera stimulé, les articulations, les muscles. Celui qui marche vite en randonnée, d’un pas soutenu, améliore sa santé. »

    Tout le monde n’ayant pas le temps de se taper 15 000 pas quotidiens en une seule fois, le docteur préconise de fractionner l’effort. « L’idée est de s’essouffler. Si on marche vite longtemps, on brûle des calories, et elles continuent de brûler la nuit quand on dort. Je rappelle aussi que la marche rapide est un exercice excellent pour les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer, cet effort ralentit les symptômes. Ceux qui souffrent d’arthrose au genou ou aux hanches ne doivent jamais cesser de marcher vite, le cartilage se nourrit du liquide synovial, stimulé par la marche. »

    Histoire de tirer à bout portant sur une autre idée reçue, il dégomme la marche nordique avec les bâtons, plébiscitée par les seniors, qu’il juge « sans intérêt supplémentaire ».

  • Une étude sur les causes de la dépression provoque la polémique
    https://www.sudouest.fr/sante/une-etude-sur-les-causes-de-la-depression-provoque-la-polemique-11918298.ph

    Mais ce n’est pas la remise en cause de l’hypothèse de la sérotonine qui suscite les critiques les plus vives. C’est le fait que Joanna Moncrieff en fasse un argument contre les antidépresseurs actuels, dépassant les conclusions de sa propre étude.

    Celle-ci « est un travail sérieux, qui s’inscrit dans la suite d’autres travaux et qui compte dans la discussion entre experts concernant les mécanismes de la dépression », admet le psychiatre suisse Michel Hofmann. « Mais je ne pense pas que ce soit un article qui doive avoir un impact à courte échéance sur la prescription d’antidépresseurs ».

    Car pour Joanna Moncrieff -qui a certes prévenu qu’il ne fallait à aucun prix interrompre brutalement un antidépresseur-, on doit forcément douter des bénéfices de traitements élaborés sur la base d’une hypothèse remise en cause.

    Or, de nombreux psychiatres, dont Michel Hofmann, soulignent que l’efficacité de ces traitements, quelle qu’en soit la cause première, a été évaluée scientifiquement. « Les mécanismes des médicaments qu’on utilise dans le traitement de la dépression sont en général multiples et finalement, dans la plupart des cas, on ne sait pas de façon précise ce qui fait l’efficacité d’un traitement ».

  • Covid-19 à l’école : le masque fait son retour dans certains établissements scolaires
    https://www.sudouest.fr/sante/covid-19-a-l-ecole-le-masque-fait-son-retour-dans-certains-etablissements-s

    La recrudescence des cas positifs dans certains établissements scolaires les contraint à réviser leur protocole sanitaire. Ainsi à Brest, trois collèges-lycées ont décidé le retour du masque pour faire face à la reprise du virus Omicron. Dans ces établissements de plusieurs centaines d’élèves, l’obligation du port du masque en salle de classe, mais aussi dans la cour de l’établissement, est à nouveau effective depuis le jeudi 17 mars.

    • Le traitement de cette info ce matin à la radio était évidemment une catastrophe, avec ces jeunes gens qui pleuraient leur libertay perdue, et un responsable d’établissement qui tenait à assurer qu’il n’est « pas pro-masque ».

    • Commentaire ce matin d’un maman à qui je faisais le constat catastrophique de l’école des filles (10 élèves, de la classe de la moyenne, partis chez eux hier matin, ~20% des élèves présents dans la classe de la petite, 3 classes fermées à cause de professeurs malades)
      « Bon bah comme ça ils l’auront, on va pas leur réimposer le masque tout de même »
      J’ai pas voulu polémiquer...je me suis tût

    • Hier, mon gamin a participé à une sortie McDo pour le repas de midi. On a conscience qu’il faut qu’il se crée une vie sociale après ces deux années de vaches maigres, je lui ai juste dit de rester prudent.
      Mais le soir, j’ai tout de même échangé avec sa mère, pour dire que quand même, on ne sait décidément pas agir rationnellement. Un jour on ne peut plus se balader sur la plage sans masque, le lendemain, il faut pouvoir manger dans des restaurants fermés et non ventilés « parce qu’on ne peut pas rester à l’écart pour toujours ».
      J’avoue très humblement que cette irrationalité générale me tape sur le système et le moral.
      J’ai juste répondu que j’aimerais bien que collectivement, on agisse plus rationnellement. Je n’ai pas fait part de mon inquiétude quant à BA2. Pour le moment, il faut le reconnaître, il semble que ça ne s’emballe pas (à l’hôpital, dans les réas, tout au moins...), et il se peut que ça continue comme cela. Mais pourquoi est-ce qu’instituer des mesures équilibrées, on en est juste incapables collectivement ?

    • Clairement tout est totalement sous-évalué… volontairement.

      Je rappelle qu’ils jouent aux hospis pour covid vs. les hospis avec covid.

      JPP de cette merde.

      La gosse me dit que ça tousse de partout  : dans les transports, dans son école, non stop.

      Elle a croisé un gus dans le couloir qui collait dans une corbeille à papier son « mouchoir tout plein de covid  », comme il l’a dit en riant.

      Elle me dit que c’est pire que jamais.

      Elle ne veut plus y retourner.

    • Je crois me souvenir avoir lu sur seenthis, il y a quelques semaines, lors du pic de la vague Blanquer, ou un peu avant, que les contaminations massives des enfants au Covid-19 allaient très certainement engendrer, un mois et demi après, une vague (moins forte, certes) de PIMS. Par conséquent, je m’interroge : nous y sommes, un mois et demi après. A-t-on des informations là-dessus ? Parce que dans l’école de ma fille, on parle d’une épidémie de grippe assez carabinée. Beaucoup d’élèves malades (avec fièvre persistante). Et c’est la tranche d’âge la plus susceptible d’être touchée par PIMS (4-11ans).

  • Covid-19 dans les entreprises : fin du protocole sanitaire à partir du 14 mars, « tous les salariés l’attendaient »
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-dans-les-entreprises-fin-du-protocole-sanitaire-a-partir-du-14-mar

    « Le protocole sanitaire en entreprise va lui aussi disparaître à partir de lundi prochain » et « on va reprendre des règles normales en entreprise », a annoncé la ministre du Travail, précisant qu’il faudrait « continuer évidemment à appliquer des règles d’hygiène », comme le lavage des mains, le nettoyage des surfaces et l’aération des locaux.

    « Les règles de distance vont disparaître », de même que celles appliquées dans la restauration collective.

    Un guide repère sur les « mesures de prévention des risques de contamination au Covid-19 hors situation épidémique », remplace le protocole national en entreprise.

    « Dans les circonstances actuelles où le virus continue à circuler, les salariés qui le souhaitent pourront continuer à porter un masque, sans que l’employeur ne puisse s’y opposer », indique ce guide.

    C’est la dernière phrase de l’article, évidemment. Mais au moins, on aura un élément concret pour continuer à pouvoir le porter... Ils ne sont pas complètement criminels.

  • Covid-19 à l’école : pour Blanquer, le dépistage massif « n’a pas que des avantages »
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-a-l-ecole-pour-blanquer-le-depistage-massif-n-a-pas-que-des-avanta

    Le dépistage systématique et répété du Covid-19 à l’école, préconisé dans un avis du Conseil scientifique, « n’a pas que des avantages », a estimé mardi 21 septembre le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, soulignant que cela peut être « anxiogène » et « compliqué ».

    « Je prête évidemment une attention importante à l’avis du Conseil scientifique […], et notamment à la politique de dépistage qui est préconisée. Et en effet, les tests ont été un grand pilier de notre stratégie l’an dernier pour maintenir les écoles ouvertes », a indiqué le ministre lors d’une audition par la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale sur la rentrée scolaire.

    « La stratégie consistant à tester de manière extrêmement répétée, extrêmement massive, les enfants n’a pas que des avantages », a-t-il cependant poursuivi. « Par exemple, la Société française de pédiatrie alerte sur le fait qu’il peut y avoir à la fois quelque chose d’anxiogène et de compliqué à faire cela de manière répétée ».

    #rha_mais_merdeuh

  • Le pass sanitaire n’est pas nécessaire pour donner son sang, rappelle l’EFS

    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/pass-sanitaire/le-pass-sanitaire-n-est-pas-necessaire-pour-donner-son-sang-rappelle-l-efs-

    Le pass sanitaire n’est pas obligatoire pour donner son sang, même dans un hôpital, a souligné lundi l’Établissement français du sang (EFS) qui s’inquiète de réserves trop basses et relance son appel aux dons. « Les collectes de sang n’étant ni des lieux de loisirs et de culture, ni des lieux rassemblant des personnes fragiles, le pass sanitaire n’est pas nécessaire pour y accéder, y compris lorsque les sites de collecte se trouvent dans une enceinte hospitalière », rappelle l’établissement public dans un communiqué.

    De rares exceptions pourront concerner les collectes se déroulant dans un centre commercial de plus de 20 000 m², où le pass sanitaire est contrôlé, précise-t-il.

    Il est également possible de donner son sang après une injection de vaccin anti-Covid, sans délai. Les personnes atteintes de la maladie devront en revanche attendre 14 jours après disparition des symptômes pour le faire. Les connaissances scientifiques actuelles ne permettent pas d’affirmer que le Covid-19, un virus respiratoire, se transmet par le sang. Avec moins de 85 000 poches de globules rouges, le niveau de réserve est aujourd’hui bas en France, s’inquiète l’EFS.

    Une année de faible fréquentation
    Depuis début août, la fréquentation des collectes a « nettement diminué », d’environ moins 10 %. Il manque selon lui 500 dons par jour. « La mobilisation de tous est nécessaire y compris pendant les périodes de vacances », insiste l’EFS qui a installé des lieux de collecte sur les lieux de vacances des Français, notamment sur les littoraux. L’EFS, opérateur civil unique de la transfusion sanguine en France, avait déjà lancé un appel urgent aux dons en mai dernier, alors que les réserves de sang en étaient au même point qu’actuellement. Environ 500 000 patients sont transfusés par an, auxquels s’ajoutent 500 000 soignés avec des médicaments dérivés du plasma sanguin (immunoglobulines, facteurs de coagulation, albumine…).

    Pas de #contamination par le #sang ? ? ? ? ? famille #fabius #épidémie #contagion #vaccination #vaccin #pression_sociale #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie

  • "VACCINATION CRIMINELLE"
    Une mortalité inédite (extraits)

    La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.
    (...) Aux États-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a tué 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans. Ceci confirme d’une autre façon encore que nous sommes bien en présence de vaccins d’un nouveau genre, dont la dangerosité est inédite. 
    (...) La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence proprement scandaleux de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est en effet au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches.
https://www.alternatives-economiques.fr/covid-19-tres-chers-vaccins/00099304
    Au vu de la façon (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits) dont ces industries ont travaillé, notamment aux Etats-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité. Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux Etats-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 (https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/vaccin-astrazeneca-les-pays-bas-suspendent-a-leur-tour-son-utilisation-1672) être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine.
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104840https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104882https://www.nytimes.com/2020/12/07/business/china-vaccine-astrazeneca.html
    Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.
    Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle sensée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles. Que ces crimes soient commis au nom du Bien ou au nom de la Santé ne devrait en aucun cas aveugler sur leur réalité et leur nature. Toutes celles et ceux qui s’y adonnent pourront être désormais considérés comme complices de cette nouvelle mortalité vaccinale inédite dans l’histoire de la médecine.
    Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet).
    https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/300721/la-vaccination-covid-l-epreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-i
    VIDÉO DE L’INTERVIEW

https://youtu.be/4rvM-9sguJk

  • Covid-19 : la Fédération hospitalière veut rendre le vaccin obligatoire pour tous
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-la-federation-hospitaliere-veut-rendre-le-vaccin-obligatoire-pour-

    Frédéric Valletoux dénonce la faiblesse du pass sanitaire, qui sera demandé à l’entrée des lieux de culture et de loisirs, face au variant Delta et à « la rapidité inédite de cette quatrième vague ». Il approuve toutefois les annonces d’Emmanuel Macron, qui ont poussé près de deux millions de personnes à prendre rendez-vous pour se faire vacciner. Mais il craint un court-termisme qui « ne suffira pas à atteindre une vraie immunité collective ».

    Selon lui, l’obligation vaccinale a pour avantage d’être « claire et efficace », contrairement au pass sanitaire. « La mise en œuvre du pass s’annonce, elle, d’une complexité rare, notamment dans les hôpitaux pour tracer une frontière entre les patients pour lesquels il sera demandé à l’entrée, et les autres », a-t-il prévenu.

    En rendant obligatoire la vaccination contre le Covid-19, Emmanuel Macron ferait de la France « un pays pionnier » pour enclencher « un mouvement mondial en faveur de la vaccination obligatoire », selon le président de la Fédération des hôpitaux, qui représente les hôpitaux et des Ehpad publics.

  • Covid-19 : une 4e vague « moins importante » que les précédentes, prévoit l’Institut Pasteur
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-une-4e-vague-moins-importante-que-les-precedentes-prevoit-l-instit

    Les dernières mises à jour des modélisations de l’Institut Pasteur prévoient une quatrième vague moins intense que les trois précédentes. La vaccination ainsi que les retours des gestes barrières n’y seraient pas étrangers

    Plus ça va, mieux ça va. En fait, faut arrêter de s’inquiéter les gens.

  • Covid-19 : assouplissements en France et au Japon, situation critique au Brésil
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/monde/covid-19-assouplissements-en-france-et-au-japon-situation-critique-au-bresi

    Sorties sans restrictions en France, levée de l’état d’urgence au Japon : certains pays assouplissent dimanche leurs mesures anti-Covid à la faveur d’une embellie sanitaire

    Covid-19 : Macron et Merkel alertent face à la dangerosité du variant Delta - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-macron-et-merkel-alertent-face-a-la-dangerosite-du-variant-delta

    Pas de relâchement, ni dans les stades, ni ailleurs. Face au développement du variant Delta du Covid-19, la chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron ont appelé vendredi à la prudence, lors des matchs de l’Euro qui se déroulent actuellement comme sur l’ensemble du continent européen.

    Ces deux articles n’ont pas 48 heures de décalage. Ils ne concernent pas les mêmes pays, les mêmes dirigeants ni la même galaxie.

  • Covid-19 : les masques sont-ils nécessaires à l’extérieur ? Des experts s’interrogent
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/covid-19-les-masques-sont-ils-necessaires-a-l-exterieur-des-experts-s-inter

    On compte désormais plusieurs études sur les risques de contamination à l’extérieur. En octobre, des chercheurs chinois ont publié une enquête dans la revue Indoor Air, dans laquelle ils compilaient des informations sur 7 324 cas, dont l’endroit où le virus avait été transmis. Sur les plus de 7 000 cas, un seul concernait une transmission à l’extérieur : un villageois de 27 ans infecté en janvier 2020 après une conversation dehors avec une personne contaminée, près de Shangqiu, dans la province du Henan.

    Plus récemment, le journal Irish Times a demandé aux autorités sanitaires irlandaises combien des 232 164 cas recensés dans le pays au 24 mars 2021 avaient été contaminés à l’extérieur. La réponse a été 262 cas, soit à peine 0,1 % du total.

    Donald Milton, professeur à l’université du Maryland et l’un des pionniers de la science des aérosols, conseille d’éviter les foules à l’extérieur, notamment lorsqu’il est prévu de crier ou chanter comme lors d’un match, un concert ou une manifestation, et s’il n’y a pas de vent. Mais il ne pense pas que porter un masque en permanence à l’extérieur soit nécessaire.

  • Une partie des morts du #Covid-19 seraient « de toute façon » décédés d’une autre cause [13 000/68 000]
    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/une-partie-des-morts-du-covid-19-seraient-de-toute-facon-decedes-d-une-autr

    Selon l’Institut national des études démographiques, parmi les 68 000 décès liés au Covid-19 en 2020, environ 13 000 seraient imputables au vieillissement de la population.

    Quelque 68 000 personnes sont mortes du Covid-19 en France l’an dernier, mais le nombre de décès total n’a augmenté « que » de 55 000, parce qu’une partie des morts du Covid « seraient de toute façon » décédés d’une autre cause, et que la grippe et les accidents de la route ont été moins meurtriers.

    Sur les 55 000 décès supplémentaires constatés par les services d’état-civil en 2020 par rapport à 2019, 13 000 sont statistiquement imputables au vieillissement de la population, ce qui entraîne mécaniquement une hausse annuelle du nombre de décès, indépendamment de tout contexte épidémique.

    « Restent donc 42 000 décès supplémentaires en 2020, liés à la pandémie de Covid-19 », observent les auteurs de cette étude, Gilles Pison et France Meslé, de l’Institut national d’études démographiques (Ined). https://www.ined.fr/fr/publications/editions/population-et-societes/france-2020-68000-deces-supplementaires-imputables-epidemie-covid-19
    Santé Publique France a comptabilisé environ 65 000 victimes du virus en 2020, bilan que les auteurs de l’étude préfèrent réestimer à « un peu plus de 68 000 » car il faut y ajouter selon eux les #morts_à_domicile, soit « environ 5 % des décès, si l’on s’aligne sur les taux observés à l’étranger ».

    #mortalité