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?v=viKp3jgic6I

  • @jeanmarie
    jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA 20/03/2021
    2
    @loutre
    @marielle
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    #Waly_Dia - Je suis Corinne

    Waly revient notamment sur #Corinne_Masiero qu’il salue à sa manière car ça a vraiment permis, d’après lui, de remettre le sujet de la précarité des métiers de la culture, la question du féminisme et de la représentation des corps sur la table.

    ▻https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-waly-dia/la-chronique-de-waly-dia-19-mars-2021

    ▻https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/15275-19.03.2021-ITEMA_22608542-2021F41849S0078.mp3

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=viKp3jgic6I

    #radio #podcast #chronique #france_inter

    jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 20/03/2021

      “L’indécence n’est pas là où l’on croit” ~ par des occupant·e·s du Théâtre de l’Union (Limoges)
      ▻https://lignesdeforce.wordpress.com/2021/03/19/lindecence-nest-pas-la-ou-lon-croit-par-des-occupant%c2%b7e

      https://lignesdeforce.files.wordpress.com/2021/03/capture-decc81cran-2021-03-19-acc80-20.12.31.png

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 20/03/2021

      Limoges : les occupants du Théâtre de l’Union se mettent à nu pour soutenir l’actrice Corinne Masiero
      ▻https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/limoges-les-occupants-du-theatre-de-l-union-se-mettent-a-nu-pour-soutenir

      Les occupants du Théâtre de l’Union, à Limoges, viennent de publier un tribune, photos dénudées l’appui, pour soutenir la comédienne Corinne Masiero qui s’était déshabillée sur scène lors de la cérémonie des César. Dix parlementaires avaient dénoncé des « scènes d’exhibition » auprès de la justice.

      Vanderling @vanderling
    • @loutre
      Loutre @loutre 21/03/2021

      Corinne Masiero : « Faut arrêter de se foutre des artistes. Et de tout le monde »
      17 mars 2021 Par La rédaction de Mediapart
      ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/170321/corinne-masiero-faut-arreter-de-se-foutre-des-artistes-et-de-tout-le-monde

      Dans « À l’air libre » mercredi, reportage dans le théâtre Sébastopol occupé à Lille, avec la comédienne Corinne Masiero. Également au sommaire : le magistrat Youssef Badr, co-auteur de Rendre la justice.

      Loutre @loutre
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 28/03/2021

      Corinne Masiero, non conforme

      En l’espace de quelques jours, l’actualité nous a fourni une leçon emblématique sur le rôle attribué au corps des femmes dans l’espace patriarcal. Pour comprendre la violence des réactions suscitées par l’exposition du corps nu de Corinne Masiero aux Césars 2021, il suffisait de lire le sous-texte des agressions sexuelles publiques de Pierre Ménès, reproduites à l’occasion de la diffusion du documentaire de Marie Portolano.

      Si l’intolérable brutalité des embrassades forcées de l’animateur de Canal+, saluées par les applaudissements et les rires d’un public complice, soulève désormais la réprobation publique, d’autres éléments de comportement paraissent plus anodins. Ainsi de l’injonction au port d’un décolleté, qui fait l’objet d’un échange entre Pierre Ménès et Marie Portolano : « Dire à une fille qu’elle est jolie avec son décolleté, moi je trouve ça plutôt gentil. […] Je remarque qu’au niveau décolleté, tu m’as pas gâté aujourd’hui ».

      Cette dernière remarque résume exemplairement le pouvoir du regard masculin, qui impose aux femmes la normalité d’une présentation sexualisée de soi. Dans l’espace patriarcal, la convention qui règle la présentation du corps féminin est celle de la disponibilité et de la conformité aux normes de visibilité du regard voyeur. Si elle ne constitue pas une autorisation formelle d’agression, cette disponibilité visuelle peut servir d’excuse, et permet de rejeter la responsabilité du passage à l’acte sur la victime.

      Quoique mis à nu et exposé aux regards, le corps de Corinne Masiero n’était pourtant ni conforme, ni disponible. Rompant avec les normes de jeunesse et de fragilité du féminin scopophile, ce corps ensanglanté présenté comme un affront, tatoué de slogans, poing levé, sans sourire, était autant l’affichage d’un dénuement qu’un acte de combat contre les codes du patriarcat. Le déluge injurieux qui a suivi l’exhibition de ce corps résistant a confirmé que l’espace public reste profondément déterminé par les lois de la soumission et de la sexualisation voyeuriste.

      ▻http://imagesociale.fr/9620

      marielle 🐢 @marielle
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