Gerhard von Mende – Wikipedia

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  • Hardliner, Neoliberale, Oligarchen : Der fragwürdige Erfolg der Ukraine
    https://www.heise.de/tp/features/Hardliner-Neoliberale-Oligarchen-Der-fragwuerdige-Erfolg-der-Ukraine-7445797.h

    Depuis la dissolution de l’Union Soviétique les peuples de l’Ukraine sont victimes des forces du néolibéralisme qui ont détruit son industrie et transformé l’ancienne république prospère dans le pays le plus pauvre d’Europe exportateur de matière primaires et produits agricoles. Le pays a perdu plus de dix millions d’habitants et ceux qui y sont restés acceptent des formes de survie de plus en plus inhumaines. En Ukraine se pratique le sytème de mères porteuses le plus important du monde avec celui de l’Inde.

    Vu sous cet angle l’émigration en temps de guerre n’est que la continuation accélérée d’un processus de dépeuplement qui ouvrira les portes à une modernisation high-tech du pays dans un temps record. Elle sera réalisée après la fin des hostilités armées par le capital occidental dont les prédateurs étatsuniens et allemands se disputeront la proie.

    Il s’agit d’une routine qui a fait ses preuves pour les impérialistes étatsuniens qui ont éjà accaparé quelques joyaux ukrainiens. Le pays remboursera pendant des décennies à ses amis les dépenses pour sa défense militaire. Grâce au levier de la dette ces groupes étrangers continueront à trancher préalablement toutes les questions à soumettre au parlement national. L’Ukraine verra alors une époque de pseudo- démocratie comme les deux Allemagnes après 1945.

    Nous verrons une interprétation néolibérale donc plus radicale â bien des égards du paradigme „Volk ohne Raum“. Sa version libérale s’appelle "capital en quête d’investissement" pour lequel on est en train de créer une issue heureuse.

    C’est une partie de poker avec des ossements en guise de jetons de casino. Participent à ce jeux les pays européens et l’Allemagne, la Russie, la Chine et les Etat Unis. Au premier tour commencent les #USA. D’abord on ruine les pays d’Europe par les conséquences économiques de la guerre. Ensuite pendant que les Euopéens peineront à récupérer on renforcera sa propre position en Ukraine à travers le remboursement des prêts de matériel de guerre.

    La stratégie des impérialistes allemands dans ce jeu de poker est différente mais aussi efficace. D’abord on continue à profiter de la main d’oeuvre ukrainienne bon marché et on investit dans les millions de réfugiées dont les hommes se font tuer par les russes. Le patronat d’Europe se rejouit de cette "immigration de qualité" alors que la nation allemande et surtout ses hommes profitent de l’arrivé massive d’ariennes dignes des meilleurs instituts "Lebensborn".

    Les capitalistes allemands étant plus discrets que leurs frères de classe étatsuniens on n’a pas entendu d’echo aussi fort de leurs activités ukrainiennes, mais ils n’ont certainement pas négligé d’investir dans le territoire dont ils préparent depuis 1945 à Munich la reconquête avec leurs camarades fascistes d’Ukraine.

    L’état allemand mise sur les futurs impôts suite aux profits faramineux que promet la reconstruction de l’Ukraine et s’octroie un premier crédit de guerre de 100 milliards appellé "patrimoine particulier" suivant les principes développés par le ministre de l’Économie du Troisième Reich Hjalmar Schacht : Pour préparer la guerre on emprunte une somme illimitée qu’on compte rembourser avec les profits issus de la conquête des territoires de l’Europe de l’Est

    En comparaison avec l’époque entre 1933 et 1939 cette fois on a mieux préparé le champ de bataille. Les autres pays de l’Est ont déjà été incorporé dans le bloc sous contrôle du capital allemand et on a conclu une alliance avec les élites des anciens états ennemis occidentaux. Là récupérer l’Ukraine est une affaire collective avec l’intention déclarée de ruiner la Russie et de la rendre inoffensive dans le conflit qui oppose l’alliance impérialiste sous domination étatsunienne au bloc sino-russe et au pays appartenant mouvement des non alignés.

    Personne ne nous explique comment on fera pour rembourser la dette contractée en notre nom pour financer la guerre en Ukraine. Pourtant le pari est simple : Ou l’affaire fonctionne comme prévue et tout le monde (qui fait partie des élites) se remplit les poches. Ou on ne rembourse pas. C’est une solution couramment employée par les gouvernements et celui des Etats Unis l’applique constamment. Nous, les gens simples et les vrais pauvres en pâtissent à chaque fois.

    Opposons-nous aux guerres et aux emprunts qui leurs sont destinés.

    21.2023 von David X. Noack - Mit der Annäherung an die EU verbanden sich in der Ukraine viele Erwartungen. Doch vom Maidan-Putsch 2014 bis zum völkerrechtswidrigen Angriff Russlands 2022 erlebte das Land einen wirtschaftlichen Niedergang. Die Perspektive ist düster.

    Laut der amtierenden deutschen Außenministerin Annalena Baerbock (Bündnis 90/Die Grünen) geht es im aktuellen Ukraine-Krieg um „Freiheit, Menschenwürde und Demokratie“ – Russland bedrohe dies und die Ukraine verteidige diese Werte.

    In unzähligen Talkshows durfte man in den vergangenen zehn Monaten vielfach hören und in Zeitungen durfte man seit dem Beginn des russischen völkerrechtswidrigen Angriffskrieges immer wieder lesen, dass die Ukraine eine „blühende Demokratie“ sei, die „an den Grenzen Russlands Erfolg“ hat. Schaut man sich die sozioökonomischen Daten der an die EU angegliederten Ukraine an, sucht man diese angebliche Erfolgsgeschichte jedoch vergeblich.

    Nach dem Staatsstreich des Februars 2014 übernahm unter dem radikalen Neoliberalen Arsenij Jazenjuk eine Regierung aus wirtschaftsliberalen Hardlinern und Neofaschisten der Vaterlands- und Swoboda-Partei die Regierung in Kiew.

    Im US-Magazin Forbes hieß es damals, Jazenjuk sei jemand „wie (der 2011 bis 2013 amtierende italienische Premier) Mario Monti: nicht gewählt und bereit zu tun, was der Internationale Währungsfonds wünscht“. Den nach dem Staatsstreich anberaumten Urnengang für das Staatsoberhaupt gewann der aus dem südukrainischen Budschak stammende Oligarch Petro Poroschenko.

    Auf die Putschregierung Jazenjuks folgte nach Wahlen im Oktober desselben Jahres eine Koalition des liberalkonservativen Blocks Petro Poroschenkos, der neoliberalen Volksfront Jazenjuks und der rechtsextremen Radikalen Partei das Ruder (letztere Partei trat jedoch nach einem Jahr aus dem Regierungsbündnis aus).

    Unter den verschiedenen von Poroschenko ernannten Regierungen trat zum 1. Januar 2016 das Assoziierungsabkommen der Ukraine mit der Europäischen Union vollständig in Kraft – in Teilen galt es schon vorher.

    Nachdem Poroschenko endgültig abgewirtschaftet hatte, gewann der bis dahin als Fernseh-Comedian bekannte Wolodymyr Selenskyj als damaliger Friedenskandidat die Präsidentschaftswahl 2019 und seine Partei die kurz darauf anberaumte Parlamentswahl.

    Obwohl er damals für eine Beendigung des Bürgerkriegs im Donbass und eine andere Außenpolitik – vor allem gegenüber Russland – stand, bekannte sich Selenskyj zu den Verpflichtungen gegenüber dem Internationalen Währungsfonds (IWF), der seit über drei Jahrzehnten neoliberale Schocktherapien in Ländern des Globalen Südens durchsetzt.

    Er wollte keinen vollständigen Bruch zu seinem Vorgänger, sondern setzte in ökonomischen Fragen auf Kontinuität. Keine einzige Regierungen vom Februar 2014 bis zum Februar 2022 setzte sich vom Weltwährungsfonds und seinen wirtschaftsliberalen Vorgaben ab – die unter Selenskyj leisteten sogar noch weniger Widerstand als die unter Poroschenko.

    Nach Vorgaben des IWF wurden etwa die ukrainischen Zölle gesenkt, das Rentenniveau eingefroren, Subventionen für den Gaspreis gekürzt und die Privatisierung des aufgrund seiner fruchtbaren Böden besonders wertvollen Landes erlaubt.

    Die über Jahre anhaltende neoliberale Rosskur der Ukraine wirkte verheerend auf das Land. Während einige internationale Großkonzerne profitierten und die lokalen Oligarchen versuchten, sich mit dem neuen System zu arrangieren, erlebte die breite Masse der Bevölkerung eine sozioökonomische Talfahrt sondergleichen.

    Aufgrund der niedrigen Zölle und der geografischen Nähe überschwemmten Produkte aus der EU die Ukraine und das Land erlebte eine dramatische Deindustrialisierung aufgrund der EU-Assoziierung. Von 2013 bis 2017 fielen die Ausfuhren um 31 Prozent. Besonders traf dies den industriellen Sektor: Der Wert der Exporte der stahlverarbeitenden Industrie stürzte beispielsweise von 21,2 Milliarden US-Dollar auf 12,7 Milliarden US-Dollar ab.
    Entlassungen in Rüstungsindustrie: Nordkorea profitierte

    Der über Jahre anhaltende Kollaps der ukrainischen Industrie und die sich damit ausbreitende Perspektivlosigkeit für einige Berufszweige hatte sogar Auswirkungen bis nach Ostasien. Der staatliche Rüstungsbetrieb Juschmasch im ostukrainischen Dnipro (früher: Dnjepropetrowsk) entließ nach Beginn der wirtschaftlichen Dauermalaise tausende Mitarbeiter – die Zahl der Angestellten sank insgesamt auf rund ein Sechstel.

    Einige entlassene Wissenschaftler verkauften daraufhin ihre Kenntnisse an nordkoreanische Stellen, was wiederum einen enormen Schub der Fähigkeiten des nordkoreanischen Raketenarsenals ermöglichte. In einer Art Kollateraleffekt trug der Einbruch der ukrainischen Wirtschaft infolge der EU-Assoziierung zur Nordkoreakrise der Jahre 2017/2018 bei.

    Im Maschinenbau – im zivilen Bereich hatte die Ukraine beispielsweise schon seit vielen Jahrzehnten eine eigene Produktion von Lokomotiven – halbierten sich die ukrainischen Ausfuhren von 2013 bis 2017 auf 4,9 Milliarden US-Dollar. Nicht nur bei Eisenbahnen, sondern auch bei den Flugzeugen brach die Produktion ein: So zum Beispiel bei Antonow – bis dahin ein Flaggschiff der ukrainischen Industrie. Ab dem Jahr 2015 produzierte der Kiewer Flugzeugbetrieb kein einziges Flugzeug mehr. Die Firma konnte nur durch den Flugbetrieb der Frachtfirma Antonow Airlines überleben.

    Im Jahr 2021 eröffnete sich erstmals seit Langem die Möglichkeit, dass Antonow in Zukunft wieder neue Flugzeuge baut – aber ausschließlich in einer Fabrik in China. Quasi als symbolischer Tiefpunkt des Flugzeugbetriebs ging die An-225 Mrija, das größte Flugzeug der Welt, bei der Schlacht um den Antonow-Flughafen in den ersten Tagen des russischen Angriffskrieges in Flammen auf.

    Zum ersten Mal in der Geschichte der unabhängigen Ukraine rückten im Jahr 2017 landwirtschaftliche Produkte zum Hauptexportgut des Landes auf. Damit stieg die Ukraine zu einem peripheren Staat – ähnlich vielen Ländern im Globalen Süden – ab. Mit der Deindustrialisierung gab es auch eine Neujustierung des Außenhandels. Bis zum Jahr 2013 teilte sich der ukrainische Export fast gleichmäßig zwischen der EU, den postsowjetischen Staaten und dem Globalen Süden auf.

    Nach dem Umsturz 2014 ging der Ost- und der Südhandel dramatisch zurück – die Europäische Union dominierte immer mehr im Außenhandel. Die ukrainischen Produkte, die dort einen Absatzmarkt fanden, unterschieden sich aber grundlegend von den Produkten, welche die Ukraine in den Osten und in den Süden exportierte.

    Hauptsächlich fanden damals wenig oder gar nicht verarbeitete Produkte ihren Weg aus dem osteuropäischen Land in die EU. Den größten Anstieg von 2013 bis 2017 verzeichneten etwa die ukrainischen Fett- und Ölexporte in die EU – sie stiegen um 195 Prozent an. Die EU-Assoziierung ließ die Ukraine immer mehr zu einem Agrarland werden.

    Neben der Wirtschaft kollabierte auch das Gesundheitswesen – schon vor der Coronapandemie. 2017 gaben in Umfragen 90 Prozent der Ukrainer:innen an, sich Behandlungen in dem eigentlich kostenlosen Gesundheitswesen nicht leisten zu können. Im Jahr 2018 traten in der Ukraine 65 Prozent aller gemeldeten Neuausbrüche von Masern auf dem europäischen Kontinent auf.

    Ferner litt das Land unter der zweitschwersten Aids-Epidemie Europas: Von 2010 bis 2016 verdoppelte sich die Zahl der mit dem HI-Virus infizierten Menschen. Die Coronapandemie verlief in dem Land ebenso katastrophal – Ende 2021 hatte das Land eine der niedrigsten Impfquoten in ganz Europa.

    Im Jahr 2020 hatte die Ukraine laut der Weltbank die niedrigste Lebenserwartung auf dem europäischen Kontinent – noch hinter Armenien und der Republik Moldau. Sie betrug etwa 71 Jahre – also genauso viele Jahre wie im zu diesem Zeitpunkt seit 17 Jahren durch Krieg und Besatzung geplagten Irak. Diese Entwicklung ist besonders tragisch, da noch Anfang der 1960er-Jahre die Menschen in der damaligen Ukrainische SSR eine höhere Lebenserwartung hatten als in weiten Teilen Westeuropas.
    Absturz auf Niveau von Sri Lanka und Iran

    Mit der Stagnation des realsozialistischen Systems in den 1970er- und 1980er-Jahren drehte sich das Verhältnis um, seit dem Übergang der Ukraine in den Kapitalismus entfernten sich die Abstände zwischen Ländern wie der Ukraine und beispielsweise Frankreich oder Deutschland und seit der EU-Assoziierung des osteuropäischen Landes verstärkte sich diese Entwicklung noch einmal.

    Beim Human Development Index (HDI) des Entwicklungsprogramm der Vereinten Nationen (United Nations Development Programme, UNDP) sah es im Jahr 2021 ebenfalls nicht besser aus. Der Index fasst verschiedene Werte wie die Lebenserwartung, die durchschnittliche Schulzeit und das Pro-Kopf-Einkommen zusammen.

    Beim HDI landete das osteuropäische Land bei einem Wert von 0,773 und damit knapp hinter Sri Lanka (0,782) und dem Iran (0,774) sowie noch zwei Plätze vor der Volksrepublik China (0,768). Seitens des UNDP konnte auch keine ukrainische Erfolgsgeschichte festgestellt werden.

    In Reaktion auf die desaströse wirtschaftliche Lage, das politische Klima und die gesellschaftlichen Entwicklungen in der Ukraine emigrierten immer mehr Menschen. Wie der damalige Außenminister Pawlo Klimkin 2018 einräumte, verließen jedes Jahr rund eine Million Menschen das Land. „Die Lage ist katastrophal“, erklärte der Politiker dem ukrainischen Fernsehsender Nastojaschaja Wremja (Unsere Zeit) und prophezeite: „Dieser Trend wird sich in den nächsten Jahren fortsetzen.“

    Für deutsche Konzerne hingegen sah die Situation ganz anders aus: Wie es Andreas Lier, der Präsident der Deutsch-Ukrainischen Industrie- und Handelskammer, im Jahr 2018 formulierte, war die mit der EU assoziierte Ukraine die „beste Ukraine, die es jemals gab“.

    Während man seitens deutscher Großkonzerne über diese Ukraine frohlockte, sank die Größe der Bevölkerung immer weiter. Als Folge der sinkenden Lebenserwartung und ansteigenden Emigration schrumpfte die ukrainische Bevölkerung der Ukraine von 1990 bis 2021 von 51,8 Millionen auf 41,2 Millionen Einwohner:innen – ein Rückgang von über einem Fünftel. Nachdem die Bevölkerung der Ukraine in der realsozialistischen Zeit stetig gewachsen war, endete das Wachstum kurz nach dem Übergang in den Kapitalismus.

    Ein langsamer Niedergang setzte ein und verstärkte sich infolge der EU-Assoziierung. Allein im Jahr 2021 verlor die Ukraine über 440.000 Menschen durch niedrige Geburtenraten, hohe Sterbezahlen und eine anhaltende Emigration.

    Nach Erkenntnissen des IWF rutschte die Ukraine 2018 erstmals zum ärmsten Land Europas ab – noch hinter dem langjährigen Schlusslicht, der benachbarten Republik Moldau. Laut Angaben der neoliberal ausgerichteten Weltbank stieg die Zahl der Menschen, die unterhalb der offiziellen Armutsschwelle lebten, von 15 Prozent der Bevölkerung im Jahr 2014 auf 25 Prozent im Jahr 2018.

    Das lag neben der allgemeinen Preisentwicklungen, den niedrigen Löhnen unter anderem an der Entwicklung der Energiepreise: Die Gaspreise für die einfache Bevölkerung stiegen von 2014 bis 2022 um sage und schreibe 650 Prozent. Bis in die Gegenwart erreichte die Ukraine nicht das BIP-pro-Kopf-Niveau von 1990 wieder. Ganz im Gegenteil: Laut Berechnungen der Weltbank liegt das BIP pro Kopf heute sogar 20 Prozent darunter.

    Die Geschichte der an die EU angelehnten und seit 2016 offiziell assoziierten Ukraine ist keine Erfolgsgeschichte, sondern eine Geschichte eines anhaltenden wirtschaftlichen Niedergangs, einer schrumpfenden Bevölkerung mit immer niedrigerer Lebenserwartung, einer immer größeren Emigration von Menschen aus dem Land und einem zerbröselnden Gesundheitssystems.

    Wenn Politiker in Westeuropa meinen, dass die Ukraine für „unsere Werte“ kämpfe, dann meinen sie nicht wirklich eine repräsentative Demokratie – sondern einen kaum gezügelten Neoliberalismus, der das Land de facto aber sozioökonomisch heruntergewirtschaftet hat.

    Gerhard von Mende
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Gerhard_von_Mende

    Generalplan Ost
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Generalplan_Ost

    Le Grand Échiquier (1997) par Zbigniew Brzeziński (19282017)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand_%C3%89chiquier_(livre)

    L’Ukraine est un des principaux pivots géopolitiques de l’échiquier eurasien, car « sans l’Ukraine [sous sa domination], la Russie cesse d’être un empire eurasien » ; la Russie pourrait chercher à obtenir un statut impérial sans contrôler l’Ukraine, mais serait alors réduite à un empire asiatique. Le contrôle de l’Ukraine est important, car il s’agit d’une région riche, qui permet d’utiliser la mer Noire librement, et notamment de commercer avec la mer Méditerranée sans partage. Si l’Ukraine venait à perdre son indépendance, la Pologne hériterait de son statut de pivot géopolitique et frontière de l’Europe à l’Est.
    La Russie est le principal pays qui occupe la zone centrale de l’Eurasie. Son endiguement est nécessaire à la préservation de la domination américaine dès lors que la Russie ne devient pas démocratique et continue de chercher à atteindre une domination internationale.

    #guerre #impérialisme#géopolitique #USA #Russie #Europe #Allemagne #Ukraine #nazis #fascistes

  • Erling von Mende
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Erling_von_Mende

    Im Jahr 1987 berichtete der akademische Rat und Leiter der Spachausbildung Chinesisch am Ostasiatischen Seminar der Freien Universität Berlin Klaus Stermann, dass von Mende bei der Verteidigung seiner Habilitationsschrift nicht in der Lage war, eine Frage aus der Zuhörerschaft zu beantworten. Eine Chinesin hatte sie auf Chinesisch/Guoyu gestellt, das der angehende Sinologieprofessor offensichtlich nicht beherrschte.

    Erling von Mende (* 10. Oktober 1940 in Berlin) war von 1983 bis 2007 Universitätsprofessor der Sinologie am Ostasiatischen Seminar der Freien Universität Berlin. Seine Schwerpunkte sind die Sozial- und Wirtschaftsgeschichte der traditionellen materiellen Kultur Chinas, insbesondere der frühen Song-Dynastie bis zum Ende der Qing-Dynastie, die frühe Qing-Zeit unter besonderer Berücksichtigung des mandschurischen Einflusses und der Mandschuristik, Xinjiang und die Mandschurei sowie die kaiserliche Außenpolitik in den nördlichen und nordöstlichen Grenzgebieten.

    Der Vater Erlin von Mendes war der Teilnehmer an der zweiten Konferenz zur Endlösung der Judenfrage, Nazi-Spezialist für „die Völker der Sowjetunion“ und Unterstützer muslimischer Kriegsverbrecher im westlichen Nachkriegsdeutschland
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Wannseekonferenz#Folgekonferenzen

    Erling von Mende vertrat keine der nazi-rassistischen Thesen seines Vaters. Dessen Verquickung mit den antikommunistischen Netzwerken des westlichen Nachkriegsdeutschland ist dennoch bemerkenswert und mit Sicheheit von Bedeutung für Forschung und Karriere Erling von Mendes.

    Gerhard von Mende - Die Völker der Sowjetunion im Katalog der DNB
    https://portal.dnb.de/opac.htm?method=simpleSearch&query=131519727

    Gerhard von Mende - Die Völker der Sowjetunion bei Amazon
    https://www.amazon.co.uk/Die-V%C3%B6lker-Sowjetunion-Gerhard-Mende/dp/B0016VPQL0#featureBulletsAndDetailBullets_feature_div

    antiquarisch
    https://www.antik-nr3.de/Die-Voelker-der-Sowjetunion--um-1930.html?language=de

    Beschreibung
    Autor: Gerhard von Mende
    Verlag: Schneider Reichenau
    Jahr: k.A., schätze 30-er Jahre
    Umfang: 124 Seiten 13x19 cm
    Zustand: außen geringe Gebrauchsspuren, innen mehrere Stempel „Rußland- Institut der Auslandhochschule“, sonst innen gut bis sehr gut
    Inhalt: u.a.
    Der russische Staat und die Völker
    Russen, Ukrainer, Weißrussen, Türken
    Der Kaukasus
    Finnische Völker
    Die Deutschen
    Die Juden
    Der Bolschewismus und die Völker

    Gerhard von Mende.
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Gerhard_von_Mende

    Necla Kelek hat von Mendes Aktivitäten nach 1945 dargestellt: US-Dienststellen mischten 1951 bei der Gründung einer „Geistlichen Verwaltung der Muslimflüchtlinge“ im Münchener Löwenbräukeller, zuvor ein hervorgehobener NS-Versammlungsort, mit. Ibrahim Gacaoglu, ein von der CIA geführter Muslim, übernahm den Vorsitz des kleinen Vereins, der die vom Krieg übrig gebliebenen Nazi-Muslime (z. B. Truppen der Waffen-SS unter dem ideologischen Einfluss des Mohammed Amin al-Husseini) organisieren sollte. Im Hintergrund wirkten fortbestehende Nazi-Seilschaften, wie eben die von Mendes, ehemals für den organisatorischen Kontakt zu den Muslimen in der SS und Wehrmacht zuständig. Männer wie er, die erfahren waren in der Einschätzung der Muslime und im Umgang mit ihnen, wurden nun wieder gebraucht. Er unterhielt in Düsseldorf ein vom Verfassungsschutz und der Bundesregierung finanziertes geheimdienstliches „Büro für heimatlose Ausländer“ (später nach von Mendes Tod „Studiengruppe für Ost-West-Fragen“ mit gleicher Zielsetzung), ein Euphemismus für Leute, die in der Heimat an den eigenen Leuten schwere Kriegsverbrechen begangen hatten und deshalb nicht mehr zurück nach Jugoslawien bzw. in die Sowjetunion oder andere Staaten des Ostens konnten. Eine wichtige Rolle spielte der Vertriebenenminister Theodor Oberländer, im Nationalsozialismus Leiter des „Sonderverbandes Bergmann“, einer Truppe von muslimischen Soldaten der Wehrmacht.[18] 1956 wurde der CIA-Mann Gacaoglu jedoch durch einen „alten Kämpfer“ ersetzt: Nureddin Namangani, Imam und Hauptmann der SS-Sondereinheit Dirlewanger, die an der Niederschlagung des Aufstands im Warschauer Ghetto beteiligt gewesen war. Von Mende und Oberländer wollten die bisherigen Nazi-Muslime durchaus nicht dem amerikanischen Geheimdienst überlassen.[19]

    Von Mende hielt ab Februar 1956 engen Kontakt zur Bundeszentrale für Heimatdienst (ab 1963: Bundeszentrale für politische Bildung), in der er später eine gut dotierte Stelle fand. Im Rahmen des Ost-West-Konflikts richtete er unter dem Vorzeichen einer antikommunistischen Haltung ein Ostkolleg der Bundeszentrale für Heimatdienst in Köln-Lindenthal ein, das am 28. November 1958 seinen Betrieb aufnahm. Erklärtes Ziel dieses Kollegs war die „Organisierung der geistig-politischen Bekämpfung des Kommunismus“. Kritisch ist zu beachten, dass auch seine bisherige Arbeit im RMfdbO auf der Vorstellung gründete, dass der „Kommunismus“ eine vom „Judentum“ produzierte Folge von „völkischer Entartung“ gewesen ist.[20] Seine NS-Position war der Bundeszentrale für Heimatdienst wohlbekannt. Aus diesem Grunde sollte er keine öffentlich sichtbare Spitzenposition im Ostkolleg einnehmen und die angestrebte Position eines Direktors des Amts blieb ihm verwehrt.[16] Bis zu seinem Tod 1963 blieb er jedoch Mitglied des Direktoriums der staatlichen Behörde. Erst viele Jahre nach dem Tod von Mendes wechselte man das Etikett des Ostkollegs zu Ost-West-Kolleg.

    Von v. Mendes Düsseldorfer Forschungsdienst Osteuropa der Nachkriegszeit finden sich acht verschiedene Erarbeitungen, insbes. Presseauswertungen, in der Sammlung Deutsche Zentralbibliothek für Wirtschaftswissenschaften (ZBW), „Leibniz-Informationszentrum Wirtschaft“ in Kiel. Eine Sparte „Archiv der Sovietunion“ (sic) des Forschungsdienstes ist ebenfalls belegt.[21] Eine durch gerichtlichen Beschluss festgestellte Vita des Nationalsozialisten Mende findet sich im deutschen Bundesarchiv.

    Villenkultur
    https://www.fu-berlin.de/universitaet/villenkultur/14sinologie/institut/index.html

    Die Leitung des OAS lag bis in die 1970er Jahre in den Händen von alten Nazis und Vertrauten der Kuomintag-Diktatur auf Taiwan. Der Berufung von Mendes dürften diese Zusammemhänge nicht geschadet haben.

    Die Sinologie wurde 1956 an der Freien Universität etabliert. Der anfänglich berufene Walter Fuchs (1902–1979) war fachlich ausgewiesen für die neuere chinesische Geschichte, die mandschurische Sprache und Literatur und chinesische Kartographie, doch politisch belastet.

    Er war 1938 nach China übergesiedelt und von 1940 an am Deutschland-Institut in Peking tätig gewesen. Nachdem er 1947 China hatte verlassen müssen, wurde er eine Zeit lang interniert und hatte als ehemaliges NSDAP-Mitglied zunächst Schwierigkeiten, seine wissenschaftliche Karriere fortzusetzen. Nach Habilitation und Lehrverpflichtung in München übernahm er dort eine Stelle am Museum für Völkerkunde, bis er schließlich die Professur an der Freien Universität Berlin antrat.

    Nach seinem Weggang 1959/1960 – er trat zunächst eine längere Forschungsreise an und wechselte schließlich an die Universität Köln – folgte ihm 1961 Alfred Hoffmann (1911–1997) nach, mit dem Fuchs noch aus China eng bekannt war. Hoffmann, ein Spezialist für chinesische Literatur, war von 1940 bis 1943 ebenfalls am Deutschland-Institut beschäftigt gewesen; er kehrte 1953 nach Deutschland zurück. Als begeisterter Ornithologe veröffentlichte er auch ein Glossar der heute gültigen chinesischen Vogelnamen. 1964 verließ er bereits wieder die Freie Universität Berlin, seine Stelle blieb bis 1969 unbesetzt.

    Während der Zeit der Studentenbewegung lag die Leitung des Ostasiatischen Instituts bei Hans Eckardt vom Japanologischen Seminar. Eckardt, von 1938 bis 1945 in Kyoto Leiter des japanisch-deutschen Forschungsinstituts, war Mitglied der NSDAP-Auslandsorganisation gewesen. Wegen seines Verhaltens sowie antisemitischer und sexistischer Äußerungen lief ein Disziplinarverfahren der Universität gegen ihn; als dieses eingestellt wurde, kam es 1967/1968 zu Aktionen der Studierenden, unter anderem auch zur Besetzung des Ostasiatischen Seminars – der ersten studentischen Institutsbesetzung in der Bundesrepublik Deutschland.

    Klaus Stermann
    https://www.amazon.de/Langenscheidt-Sprachf%C3%BChrer-wichtigen-Situationen-Urlaub/dp/3468220901/ref=mp_s_a_1_1?dchild=1&keywords=klaus+stermann&qid=1618647764&sr=8-1

    China. Maos Erbe im Widerspruch. Berliner Studien zur Internationalen Politik, Band 4 by Werner Pfennig, Klaus Voll; China unter neuer Führung. Hintergründe und Analysen zur Entwicklung von Gesellschaft, Wirtschaft, Wissenschaft und Kultur nach dem Sturz der „Viererbande“ im Herbst 1976 by Helmut Franz, Wolfgang Kubin, Mechthild Leutner, Klaus Stermann, Gerhard Will, Cheung-lieh Yu
    https://www.jstor.org/stable/43111158

    Yasni
    http://www.yasni.de/klaus+stermann/person+information

    Open Letter to President Xi Jinping, Posted by Sophie Beach | Jun 3, 2014
    https://chinadigitaltimes.net/2014/06/open-letter-president-xi-jinping

    CHUN 4 (1987)
    https://www.fachverband-chinesisch.de/chinesisch-in-wissenschaft-und-forschung/fachzeitschrift-chun/chun-4-1987

    https://www.fachverband-chinesisch.de/fileadmin/user_upload/Chinesisch_in_Wissenschaft_und_Forschung/Fachzeitschrift_CHUN/1987_CHUN_04_ok.pdf

    Relikte der Bauernrepublik schlummern in Neuentempel
    https://www.moz.de/lokales/seelow/scheunen-tour-relikte-der-bauernrepublik-schlummern-in-neuentempel-49367594.html

    Vor seiner Kossäten-Scheune mit tiefem Keller: Klaus Stermann (85) gab gern Auskunft über die Lagerstätten im Dorf.

    15. März 2020, Von Cornelia Link-Adam - Neuentempel sei das Dorf der vielen Scheunen. Mit diesen Worten hat Klaus Stermann auf sein Heimatdorf aufmerksam gemacht. Seine These untermauerte er bei unserer Tour durch die Straßen, die die Vielfalt historischer Lagerstätten offenbarte.

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    EnergiemuseumA Aus unserem Gästebuch
    https://www.energie-museum.de/index.php?id=9

    2020
    Keine weiteren Führungen auf Grund der Corona-Situation
    30.10.
    Ich bin tief beeindruckt von der liebevollen Gestaltung und herzlichen Führung, die uns Glücklichen zuteil wurde. Mein altes Energie-Ingenieur-Herz leuchtet wieder, und manch bemerkenswerte Erinnerung und Vision eröffnet sich mir. Habt 10x10x10+1-fachen Dank! Eine tolle Truppe fürwahr!
    Klaus Stermann, Sinologe

    #sonologie #Allemagne #histoire

    • Alles was mit der Ukraine und ihrer Geschichte zu tun hat ist Gegenstand zahlteicher Manipulationen von interessierter Seite. So wird der Wikipedia-Artikel über Gerhard von Mende nach und nach immer kürzer. Die hier weiter oben zitierte Passage wurde seitdem gestrichen. Grund war, dass sie dem Wikipedianer Ayanami nicht antisowjetisch genug formuliert war.
      https://de.m.wikipedia.org/wiki/Diskussion:Gerhard_von_Mende#c-Ayanami_rei-2021-01-06T03:52:00.000Z-

      Bereits im Jahr 2015 wurde der folgende Abschnitt über von Mendes Zusammenarbeit mit Bandera aus dem Artikeltext entfernt:

      https://de.m.wikipedia.org/wiki/Diskussion:Gerhard_von_Mende

      Durch amerikanische Gerichtsurteile freigegebene CIA-Dokumente erhellen, in der öffentlichen Auswertung durch Richard Breitman und Norman J. W. Goda [1] Mendes frühe Geheimdienstaktivitäten in der BRD. Zwischen 1948 und 1959 gab es unter den beiden anglo-amerikanischen Siegermächten über Deutschland Differenzen darüber, ob Stepan Bandera unterstützt werden soll oder nicht. Die Briten waren dafür, und leisteten auch erhebliche geheimdienstliche Hilfe, einschließlich Fallschirmspringern mit Material und Geld über der West-Ukraine; die US-Amerikaner wurden je länger, desto mehr kritisch. Brutale Mordaktionen Banderas und der OUN in der Ukraine, selbst gegen andere antisowjetische Nationalisten, z. B. den „Ukrainian Supreme Liberation Council“, UHVR, wurden bekannter; in gleichem Maße sah die CIA seinen Einfluss unter den Ukrainern, im Land wie im Exil, schwinden. Die USA wünschten auch durchaus keine unabhängige Ukraine. Bandera produzierte jetzt Unmengen falscher US-$, um seine Aktionen zu finanzieren, was der CIA merkte. Von Mende unterstützte hingegen ab April 1948, also noch zu Besatzungszeiten, die britische Position des MI6 und setzte sich bei bayerischen und Bundesbehörden stark für Bandera und seine Truppe in München ein. Als ab 1953 auch die Briten zögerlicher wurden, hielt er sich mehr zurück. Daher übernahm 1956 Reinhard Gehlen, mit Mende seit großdeutschen Zeiten politisch eng verbunden durch die „Fremden Heere Ost“, die Förderung der Bandera-Leute, im Gegenzug für Informationen aus der Ukraine und aus der Emigrantenszene. Die US-Amerikaner drängten allerdings Bonn und München, ihre Unterstützung für die Bandera-Faschisten endlich einzustellen. Während Staatsregierung und die Polizei in München aus Image-Gründen nicht umhin kamen, die Bandera-Leute wegen in Bayern begangener schwerer Verbrechen, darunter Morde und mehrere Entführungen von politischen Rivalen, zu verwarnen, hielt Mende, der inzwischen wieder eine hohe Position, sogar auf Bundesebene, erhalten hatte, [2] bis zuletzt seine schützende Hand über die OUN, wofür diese ihn mit Informationen versorgte.

      Hitler’s Shadow. Nazi war criminals, US intelligence and the Cold war. National Archives, o. J. http://www.archives.gov/iwg/reports/hitlers-shadow.pdf online, S. 81 - 84 mit Anm.
      in dem bis jetzt offengelegten Zeitraum