#Julie_Bindel : Le nouveau harcèlement imposé sur les campus
►https://tradfem.wordpress.com/2021/05/04/le-nouveau-harcelement-impose-sur-les-campus
L’une des grandes réussites du féminisme contemporain tient aux campagnes de sensibilisation du public à la reconnaissance du harcèlement sexuel en milieu de travail. Les universités ont encouragé les dénonciations et les procédures de plaintes anonymes afin que les femmes puissent signaler en toute sécurité ce type de ciblage. Mais lorsque les femmes universitaires font l’objet d’insultes infâmes telles que « TERF », tout bascule ; il est considéré comme raisonnable de traquer et d’humilier publiquement ces femmes.Il est intéressant de noter que la foule vicieuse des censeurs n’a pas tendance à s’en prendre à la poignée d’universitaires masculins qui s’élèvent contre le type d’idéologie transgenriste extrême qui entraîne la suppression des droits sexuels durement acquis par les femmes.
Holly Lawford-Smith est professeure associée en philosophie politique à l’université de Melbourne (UM), en Australie. En 2020, elle a lancé le site noconflicttheysaid.org pour recueillir des données et des témoignages sur l’impact qu’avait sur les femmes l’utilisation par des hommes d’espaces réservés aux femmes, tels que les prisons, les vestiaires, les salles de bain, les services hospitaliers et les refuges pour les victimes de viol et de violence conjugale.
Version originale : ▻https://spectator.us/topic/campus-harassment-university-terf-trans
Traduction : TRADFEM. Tous droits réservés à Julie Bindel et The Spectator (US).