[...] memory B cells produced in response to infection with #SARS-CoV-2 and enhanced with #vaccination are so potent that they thwart even variants of the virus, negating the need for boosters, according to Michel Nussenzweig, an immunologist at Rockefeller University in New York who led the study on memory maturation.
Les chercheurs ont analysé le sang de 63 patients guéris du #Covid-19 un an plus tôt, dont 26 ont aujourd’hui reçu au moins une dose des vaccins Pfizer/BioNTech ou Moderna. [Chez les personnes qui ont été vaccinées] [n]on seulement, le taux d’anticorps empêchant la réinfection est resté stable entre six et douze mois, mais les lymphocytes B à mémoire se sont aussi renforcés au fil du temps. Un an après l’infection, les anticorps qu’ils produisent ont acquis la capacité de neutraliser un large groupe de #variants…
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« Les personnes qui ont été infectées [puis] ont été vaccinées ont vraiment une réponse formidable, un ensemble formidable d’anticorps, qu’elles continuent à faire évoluer, explique le Dr Nussenzweig. Je m’attends à ce qu’ils durent longtemps. » [...]
Afin de bénéficier d’une meilleure protection, les personnes qui n’ont jamais été infectées par le coronavirus pourraient, elles, avoir besoin d’une troisième dose, afin de voir leur réponse immunitaire améliorée. Pour l’heure, les scientifiques pointent un manque de données, qui devrait être comblé dans les prochains mois. Aujourd’hui, en Europe, seules les personnes immunodéprimées se sont vues recommander l’injection d’une troisième dose.