Je n’arrive pas à surmonter le fait que, pendant ce dernier confinements, il était interdit de vendre des slips. Des livres ça c’était autorisé, parce que paraît que c’est « essentiel ». Mais pas des slips. Au supermarché, les slips étaient derrière ces plastiques marquant une scène de crime. Les slips, ici, c’est pas un produit essentiel. Les chaussettes non plus.
Ça ne m’étonne pas beaucoup, mais c’est assez typiquement français depuis Versailles : on se flatte de lire des livres mais on porte des slips et des chaussettes sales.