la jeune réalisatrice Suzanne Lindon porte un regard gracieux sur l’adolescence

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  • Je soupçonne lemonde.fr d’utiliser un générateur automatique de critiques laudatives de films français ...
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/06/16/seize-printemps-la-jeune-realisatrice-suzanne-lindon-porte-un-regard-gracieu

    Seize printemps n’en est pas moins – pour un film s’inscrivant dans le canon du film de formation adolescente – d’une simplicité d’action, d’une économie de mots, d’une grâce remarquables. Une histoire esquissée, élégante, chorégraphiée. Un prélèvement de sentiment plutôt qu’une histoire, peut-être. Celui d’une jeune fille farouche et néanmoins décidée, qui s’éveille à son propre désir, s’absente avec ses camarades de lycée, et trouve en ville, sur le chemin qui la mène à la maison, place Charles-Dullin, devant le Théâtre de l’Atelier, un bel acteur songeur (Arnaud Valois), qui double son âge et fait son affaire. Liane brune flottante, il y a déjà toute la force de la volonté dans cette jeune conquérante. L’attrait magnétique qu’elle ressent au premier regard pour cet homme, elle s’arrange, avec une maestria discrète, jour après jour, pour qu’il soit finalement partagé.

    • Oh, une gamine de 16 ans qui, par « la force de la volonté », séduit « avec une maestria discrète » un homme de 30 ans, c’est vrai que ça manquait, comme scénario de film.

      Et, ah mais dis-donc, ça commence fort dans la flagornerie :

      Est-ce vraiment une bonne idée de se lancer dans le cinéma quand ses parents se nomment Sandrine Kiberlain et Vincent Lindon ? Suzanne Lindon a pensé que oui. Et elle a eu raison.