Volk ohne Raum — Wikipédia

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  • A propos des valeurs états-uniennes et du Generalplan Ost
    https://seenthis.net/messages/1013624

    An Indigenous Peoples’ History of the United States (Roxanne Dunbar-Ortiz )
    https://en.wikipedia.org/wiki/An_Indigenous_Peoples%27_History_of_the_United_States

    All modern nation-states claim a kind of rationalized origin story upon which they fashion patriotism or loyalty to the state. When citizens of modern states and their anthropologists and historians look at what they consider “primitive” societies, they identify their “origin myths,” quaint and endearing stories, but fantastic ones, not grounded in “reality.” Yet many US scholars seem unable (or unwilling) to subject their own nation-state’s founding story to the same objective examination. The United States is not unique among nations in forging an origin myth, but most of its citizens believe it to be exceptional among nation-states, and this exceptionalist ideology has been used to justify appropriation of the continent and then domination of the rest of the world. It is one of the few states founded on the covenant of the Hebrew Torah, or the Christian borrowing of it in the Old Testament of the Bible. Other covenant states are Israel and the now-defunct apartheid state of South Africa, both of which were founded in 1948. Although the origin stories of these three covenant states were based on Judeo-Christian scripture, they were not founded as theocracies. According to the myths, the faithful citizens come together of their own free will and pledge to each other and to their god to form and support a godly society, and their god in turn vouchsafes them prosperity in a promised land.

    puis ...

    For a revealing comparative study, see Gump, “Civil Wars in South Dakota and South Africa,’” 427–44. In relying on the ancient origin story of the covenant, the modern state of Israel is also using exceptionalist ideology, refusing to acknowledge the settler-colonial nature of the state. Donald Harman Akenson, God’s Peoples: Covenant and Land in South Africa, Israel, and Ulster (Montreal: McGill-Queen’s University Press, 1991), 151–82, 227–62, 311–48.

    L’Allemagne a également connu une période historique pendant laquelle ses dirigeants et une grande partie de sa population ont cru en en leur devoir de réaliser leur propre qualité de peuple élu. Quand on parle de la dictature nazie la plupart du temps on évoque l’holocauste juif. Ce crime nous paraît aujourd’hui comme l’élément le plus marquant du projet nazi, mais pour les nazis les juifs ne constituaient qu’un obstacle technique pour leur grand projet. Il fallait terminer (d’où le terme Endlösung, solution finale) le problème juif au plus vite pour passer au choses sérieuses.

    Le projet nazi principal était de suivre l’exemple des états-unien et de remédier au problème des colonies perdues en Afrique, en Chine et en Nouvelle-Guinée. Les nazis on investi de plus importants efforts (à savoir et de l’argent et des vies de soldats allemands) dans la guerre d’extermination allemande contre les peuples de l’Est que dans le projet d’extermination des juifs. Les résultats ont été conséquents en nombre de victimes et ampleur des ravages de pays.

    Ceci ne doit pas nous entraîner sur la pente dangereuse d’une relativisation du crime antisemite par rapport aux actes génocidaires anti-slaves. Cette constatation jette simplement une lumière peu habituelle sur les relations entre l’Allemagne et les États Unis avant, pendant et aprés l’époque nazie.

    Volk ohne Raum
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Volk_ohne_Raum
    Suivant l’idéologie exprimée dans le roman populaire Volk ohne Raum (littéralement : peuple sans espace) leur projet essentiel était de coloniser l’Est afin de sécuriser la survie et l’épanouissement de la race arienne dont le peuple allemand était l’émanation principale.

    Generalplan Ost
    https://en.wikipedia.org/wiki/Generalplan_Ost

    The Generalplan Ost (German pronunciation: [ɡenəˈʁaːlˌplaːn ˈɔst]; English: Master Plan for the East), abbreviated GPO, was Nazi Germany’s plan for large-scale ethnic cleansing, extermination and genocide of Slavs, Eastern European Jews and other ethnic groups categorised as “Untermensch” in Nazi ideology. The plan was intended to be the precursor for a programme, which would involve the colonisation of Central and Eastern Europe by German settlers, after the elimination of national identities of various Slavic peoples.

    Le philosophe Fried­rich Nietzsche a préparé le terrain avec son concepte du Übermensch (surhomme) que les philosophes de pacotille nazis ont complété, à leur façon, en désignant certaines « races » comme Untermensch (sous-hommes) à exterminer. Chez Nietzsche l’ennemi du Übermensch est l’humanité entière ce qui le rapproche d’Ayn Rand plutôt que d’Alfred Rosenberg, le « philosophe » maison nazi et « RMfdbO » (Reichsminister für die besetzten Ostgebiete, ministre des Territoires occupés de l’Est).

    Die Gedanken von Friedrich Nietzsche im Nationalsozialismus. Eine Interpretation des Übermenschen
    https://www.grin.com/document/509853

    3.2 Der Feind

    Der Feind des Ubermenschen ist nicht der Untermensch, sondern die Menschheit. Fried­rich Nietzsche nennt die Menschheit in seinem Vorwort den „Rest“, der neben den Uber- menschen ubrig bleibt, der seine Gedanken nicht nachvollziehen kann. Man solle ihr so- wohl mit Kraft als auch mit verachtendem Geiste gegenuberstehen und ihr uberlegen sein. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Vorwort, Z. 23-25)

    Nicht so wie der Ubermensch sei die Menschheit erkrankt „[.]am faulen Frieden, am fei- gen KompromiB, an der ganzen tugendhaften Unsauberkeit des modernen Ja und Nein. [.]“. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 1, Z. 10-12) Diese ganzen Vorwurfe fuhrt Nietzsche weiter in seinem Buch aus, in dem er in weiteren Kapiteln uber die Moral und seine “moralinfreien“ Worte schreibt. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 6, Z. 3-5). Besonders zielt er dabei im Verlaufe des Buches auf Christen ab, die es unter anderem zur Tugend nehmen, mitleidig zu sein, was eine Form der Schwache sei. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 2, Z. 12/13) Mitleid ist fur Nietzsche deswegen eine Schwa- che, weil es den Willen und das Gefuhl von Macht mindert, welches er fur gut empfindet. Alles was aus der Schwache kommt sei schlecht. Gluck erfahren konne man einzig und allein durch Machtwachstum, Uberwindung des Widerstandes, Krieg und Moralische Freiheit „[...]nicht Tugend, sondern Tuchtigkeit[...].“.(Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 2, Z. 1-8)

    Je regrette qu’à chaque fois que je rajoute une pièce au puzzle historique et idéologique je me rapproche un peu plus d’un résultat où les trois religions principales de l’Europe et du Proche-Orient constituent un fond idéologique pour la barbarie capitaliste qui depuis des siècles ne cesse de ravager l’humanité et de détruire la planète. Si on considére Nietzsche et ses acolytes comme athées ces non religieux font partie de la bande surtout quand on prend en compte la déscription du chef d’entreprise capitaliste comme surhomme par Ayn Rand, Peter Thiel et les imbéciles de la Silicon Valley, y compris les auteurs de la Déclaration d’indépendance du cyberespace.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_d%27ind%C3%A9pendance_du_cyberespace

    En poursuivant la réflexion basée sur le travail de Roxanne Dunbar-Ortiz je découvre la nécessité de mettre en question l’idéologie de la Electronic Frontier Foundation (https://www.eff.org) que j’estime pour ses activités de défense des droits fonandamentaux. La frontière évoquée dans son nom se réfère à une réinterprétation de la « frontier » génocidaire des colons européens dans le Far-West.

    On pourrait aussi se poser la question de la signification de l’engagement des États Unis pour l’Ukraine et ses nouvelles banderistes au pouvoir. Si on ne la considère pas comme un sujet tabou on y identifie quelque chose qu’on pourrait appeller l’axe Kiev-Berlin-Washington. Mais il me semble que ce soit une parallèle encore trop peu documentée pour en faire une position politique.

    En Allemagne les personnes qui défendent une telle position risquent des poursuites pour « Volksverhetzung ». Le paragraphe du code pénal punissant l’apologie nazie vient d’être modifié afin de pouvoir agir contre toute idée hors du canon officiel.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Volksverhetzung#2022_(Abs._5_n._F.)
    Le commentaire dans Wikipedia veut nous faire croire que la publication d’idées et de positions critiques par rapport au positions officielles sur la guerre en Ukraine sont autorisées, mais l’exemple de Heiner Bücker montre que la liberté d’expression en Allemagne n’est plus ce qu’elle était encore il y a quelques années.

    Heiner Bücker
    https://seenthis.net/messages/1014113

    Mai c’est une autre histoire.

    #histoire #religion #nazis #colonialisme #cyberespace

  • Der Vernichtungskrieg | Unsere Zeit
    https://www.unsere-zeit.de/der-vernichtungskrieg-156090

    18. Juni 2021 VON Klaus WGNER - Der Krieg im Osten wurde mit zynischer Brutalität geführt. Mit den siegreichen Kriegen im Westen glaubten sich der Faschismus und die Wehrmachtsspitzen hinreichend stark, um die strategische Ostexpansion des Deutschen Reiches vorantreiben zu können. Die Aufrüstung zur vollen Kriegsstärke war vom Reichswehr-Generalstab bereits 1923 bis 1925 detailliert geplant worden. Und nach exakt diesen Reichswehr-Planungen wurde die deutsche Kriegsmaschine errichtet und genauso eröffneten die Hitlerfaschisten 1939 den Zweiten Weltkrieg.

    Die Reichswehr/Wehrmacht als das entscheidende deutsche Machtzentrum hätte Faschismus, Krieg und Vernichtung verhindern können. Die Militärs wählten die Kollaboration. Auch sie wollten den Krieg, auch den Vernichtungskrieg. Eine „saubere Wehrmacht“ gab es nicht. Von vornherein war allen Beteiligten klar, dass dieser Krieg als „weltgeschichtlicher Kampf“ gegen das „Weltjudentum“ und den „Bolschewismus“ zu konzipieren war, wie Hitler es schon in „Mein Kampf“ geschrieben hatte und wie es dann bei den vorbereitenden Gesprächen mit den Spitzen des faschistischen Staatsapparates und des Militärs immer wieder dargelegt wurde. Wie bei der Besprechung mit 200 führenden Wehrmachtsoffizieren am 30. März 1941, bei der Hitler ausdrückte, was alle dachten: der Kommunist sei „vorher kein Kamerad und nachher kein Kamerad“. Es gehe um die „Vernichtung der bolschewistischen Kommissare und der kommunistischen Intelligenz“.

    Der neue deutsche „Lebensraum im Osten“ sollte nach der Eroberung als eine Art vorindustrieller, hauptsächlich agrarischer Siedlungsraum mit spärlicher, nur notdürftig gebildeter Bevölkerung entstehen. Dazu musste die 170-Millionen-Bevölkerung der UdSSR deutlich dezimiert werden. „Die Bildung einer militärischen Macht westlich des Ural“ dürfe „nie wieder in Frage kommen und wenn wir hundert Jahre darüber Krieg führen müssten“, so hatte es Hitler vor Partei- und Wehrmachtsführern am 16. Juni 1941 ausgedrückt.

    Ebenso klar war den Nazi- und Wehrmachts-Kriegsplanern, dass das Ziel von „Barbarossa“ die Eroberung, Annexion und wirtschaftliche Ausbeutung des weiten sowjetischen Raumes, des „neuen Lebensraumes im Osten“ war. Die Eroberung „neue(r) Gebiete in Europa“ könne „in der Hauptsache nur auf Kosten Russlands geschehen“, hatte Hitler in „Mein Kampf“ geschrieben, das neue deutsche Reich solle „seinen Vormarsch auf demselben Wege beginnen, den in früheren Zeiten die deutschen Ordensritter entlangritten, diesmal jedoch, um durch das deutsche Schwert Boden für den deutschen Pflug zu gewinnen und so der Nation ihr tägliches Brot zu geben“. In die gleiche Richtung dachte auch die deutsche Generalität. Daher der Codename „Barbarossa“. Natürlich ging es nicht nur um „das tägliche Brot“, sondern vor allem auch um Arbeitskräfte, Rohstoffe, Kohle, Erze, Mineralien und insbesondere Erdöl. Das „deutsche Schwert“ hatte zu diesem Zweck die „Wirtschaftsorganisation Ost“, eine Mammutbehörde mit 20.000 Mitarbeitern, geschaffen, die damit größer war als die kriegswirtschaftlichen Verwaltungen des Reiches und aller übrigen besetzten Gebiete zusammengenommen. Strategisch betrachtet ging es um die Schaffung eines vom Deutschen Reich unangefochten beherrschten Großraums vom Atlantik bis zum Ural, von der Barentssee bis zum Nahen/Mittleren Osten.

    Schon das Kaiserreich hatte mit der Bagdadbahn und mit Hilfe der Osmanen vergeblich versucht, Zugriff auf die strategisch wichtigste Region des Globus zu erlangen. Nun versuchte es der deutsche Faschismus mit einer Art großräumiger Zangenbewegung von Nordwesten durch die Sowjetunion und von Südwesten aus Nordafrika. Das erklärte geostrategische Ziel war die Erringung einer blockadesicheren Nahrungsmittel-, Energie- und Rohstoffversorgung, der Erbeutung eines ausreichenden Arbeitskräftepotentials, um dem herrschenden anglo-amerikanischen Machtkomplex auf Augenhöhe gegenübertreten zu können. Hier lagen, wie es sich im Ersten Weltkrieg gezeigt hatte, die großen kriegswirtschaftlichen Probleme des strategisch weit unterlegenen Deutschen Reiches. Der Faschismus hatte diese Kriegsziele, die zur Erringung einer Weltmachtposition führen sollten, nicht erfunden. Sie wurden in den strategischen Zirkeln des Reiches schon seit mehr als einem halben Jahrhundert diskutiert.

    Das „tägliche Brot“ des Reiches war aus eigenen Ressourcen nicht zu sichern. Im Ersten Weltkrieg waren angesichts der britischen Seeblockade 800.000 Menschen in Deutschland aufgrund von Unterernährung gestorben. Die „Barbarossa“-Planungen sahen daher eine Nahrungsmittelversorgung aus den Ressourcen der Sowjetunion vor. Auf der Besprechung der Staatssekretäre am 2. Mai 1941 stellte Staatssekretär Herbert Backe (Ernährung und Landwirtschaft) die nach ihm benannten agro-ökonomischen Planungen für „Barbarossa“ vor. Danach sollten dort allein 8,7 Millionen Tonnen Getreide für Deutschland requiriert werden. Die Sowjetunion hatte keine Getreideüberschüsse. Den Planern war klar, dass „hierbei zweifellos zig Millionen Menschen verhungern“ werden. Die sowjetische Getreideproduktion hatte sich in Folge des Krieges in 1942 ohnehin auf 11,7 Millionen Tonnen etwa halbiert. Trotzdem wurden den sowjetischen Menschen in diesem Jahr 4,3 Millionen Tonnen Getreide, 495.000 Tonnen Fleisch, 723.000 Tonnen Speiseöle und Fette und 1,9 Millionen Tonnen Kartoffeln geraubt. Der Hunger wurde ebenso wie das Morden der Einsatzgruppen zu einem primären zynischen Mittel zur Dezimierung der Bevölkerung. Nicht nur rund eine Million Bürger Leningrads, auch drei Millionen sowjetische Kriegsgefangene ließ man bewusst verhungern. Insgesamt starben mehr als sieben Millionen Sowjetbürger durch den Hungerplan des deutschen Faschismus.

    Mit „Barbarossa“ begannen auch die systematischen Vernichtungskampagnen der als Juden, Slawen, Zigeuner oder sonstwie als „Untermenschen“ diskriminierten Menschen, sogar von Kranken und Behinderten, aber auch die Ermordung von Partisanen, Kommunisten, von Rote-Armee-Kommissaren, von Angehörigen der Intelligenz und von sowjetischen Kriegsgefangenen. Es begann die Errichtung der sechs großen Vernichtungslager Chelmno, Belzec, Sobibor, Treblinka, Majdanek und Auschwitz-Birkenau. Das Morden der als „Einsatzgruppen“ verharmlosten Killerkommandos aus SS und SD hatte schon während des Überfalls auf Polen begonnen, wurde nun aber massiv ausgeweitet. Eine der bekanntesten Massenerschießungsstätten lag in der Schlucht Babij Jar bei Kiew. Hier wurden zwischen 1941 und 1943 etwa 100.000 bis 200.000 Menschen erschossen. Insgesamt ermordeten die Einsatzgruppen in der UdSSR etwa 1,5 Millionen Menschen.

    Die Dezimierung der sowjetischen Bevölkerung um 30 Millionen wurde allerdings nicht erreicht. Die deutschen Planungsstäbe hatten nicht mit dem Widerstandswillen der sowjetischen Menschen gerechnet. Nach der Operation Bagration im Sommer 1944, bei der die Rote Armee die gesamte Wehrmachts-Heeresgruppe Mitte zerschlug und rund 600 Kilometer bis Ostpreußen und Mittelpolen vorstieß, hörte das große Morden auf russischem Boden auf. „Barbarossa“ stand wieder an der deutschen Grenze.

    Wer Menschen im großen Stil umbringen will, braucht dazu eine legitimierende Theorie, die ihn und seine Anhänger davon zu überzeugen vermag, dass das, was sie tun, richtig und notwendig ist. Die lebensphilosophischen und rassebiologischen „Begründungen“ für den Vernichtungskrieg im Osten sind ebenso wenig vom deutschen Faschismus erfunden worden wie die dazu notwendigen Truppenformationen. Den Hitlerfaschisten gebührt das „Verdienst“, die seit Jahrzehnten kursierenden rassistischen und geostrategischen Wahnvorstellungen aufgegriffen, zu einer „Staatsidee“ zusammengebastelt und sie im Verlauf des Krieges hin zu einem Vernichtungswillen radikalisiert zu haben. Mit der Herausbildung des Imperialismus entwickelten seine Theoretiker den alten, häufig religiös geprägten Suprematiegedanken, der geholfen hatte, Millionen Indigene in Amerika umzubringen und Millionen Afrikaner zu versklaven, zu einem biologisch definierten, „wissenschaftlich“ begründeten Rassismus weiter. Grob verkürzend: Arthur de Gobineau hatte 1855 mit seinem „Versuch über die Ungleichheit der Menschenrassen“ gewissermaßen das Tor dazu aufgestoßen. Mit einem auf die menschliche Gesellschaft übertragenen Sozialdarwinismus wurde aus der Ungleichheit ein Überlebenskampf der Menschenrassen. Nietzsche hatte in seiner „Genealogie der Moral“ dem „Raubtier“, der „prachtvolle(n) nach Beute und Sieg lüstern schweifende(n) blonde(n) Bestie“ seine ganze Sympathie zugeschrieben. Nietzsche und seine Adepten waren im Kaiserreich und in der Weimarer Republik in rechten Kreisen entsprechend populär. Der verlorene Erste Weltkrieg hatte zu einer Radikalisierung dieser Ansichten geführt. Eine Radikalisierung, die zum Mordprogramm wurde, als nach 1941 auch dieser Krieg verloren zu gehen drohte.

    Die „vornehme Rasse“ (Nietzsche) der Arier hatte in dieser „Logik“ nicht nur das Recht, sondern es war ihre historische Aufgabe, sich von der Bedrohung und Durchmischung niederer, parasitärer Rassen zu reinigen und zu befreien. In diesem Sinne war die „Endlösung der Judenfrage“ und die Eliminierung des slawisch-jüdischen Bolschewismus ein Akt der Notwehr und der Befreiung. Die Täter, die SS- oder SD-Einsatzgruppen waren, wie Himmler bei seinen Posener Reden mehrfach betonte, Helden, welche das deutsche Volk vor der Dekadenz, dem Verfall und letztlich der Versklavung bewahrten. „Ob bei dem Bau eines Panzergrabens 10.000 russische Weiber an Entkräftung umfallen oder nicht, interessiert mich nur insoweit, als der Panzergraben für Deutschland fertig wird.“ Die millionenfachen Morde – „ein Ruhmesblatt unserer Geschichte“. In der Tat: Die Aufkündigung aller zivilisatorischen Standards, „die Umwertung aller Werte“.

    #nazis #impérialisme #guerre #shoa urss