• #Extractivisme

    Une enquête exceptionnelle sur l’intensification constante de l’exploitation massive de la nature ! Une mine d’information sur l’extractivisme et son cortège de bouleversements environnementaux et sociaux, pour comprendre les multiples facettes de l’entreprise de #prédation et de #destruction menée à travers la planète. Ce livre référence, unanimement salué par la presse à sa parution, a contribué à faire connaître le phénomène en France. Les « #frontières_extractives », les limites géographiques et technologiques de cette activité sur la planète, sont sans cesse repoussées par le #capitalisme_industriel. L’extractivisme ne renvoie pas qu’à l’extraction à outrance des ressources naturelles non renouvelables – #minerais et #hydrocarbures -, il concerne aussi les grands projets hydroélectriques, l’agriculture industrielle, les monocultures forestières, la pêche intensive… Une activité indifférente à ses effets destructeurs pour les peuples, la biodiversité et la sauvegarde de la Terre.

    https://www.lepassagerclandestin.fr/catalogue/essais/extractivisme
    #livre

  • Le #massacre_de_Thiaroye

    1er décembre 1944, camp de Thiaroye, en périphérie de Dakar. Des #tirailleurs_sénégalais, faits prisonniers par les Allemands lors de la guerre et récemment rapatriés, réclament le paiement de leur solde. Un droit qui leur était promis depuis des mois. La réponse est sanglante et d’une #violence inouïe : des centaines d’entre eux sont rassemblés sur une esplanade du camp, froidement mitraillés puis jetés dans des fosses communes.

    Pourtant, dès le lendemain, les autorités coloniales et militaires prétexteront une #rébellion_armée des tirailleurs et feront état de trente-cinq morts. Entre #mensonge_d’État et #fraude_scientifique, l’historienne #Armelle_Mabon mène depuis dix ans un véritable combat pour réhabiliter ces hommes et les faire reconnaître comme victimes d’un #crime_d’État.

    À l’heure des #commémorations pour les quatre-vingts ans de ce #massacre, ce livre est d’autant plus nécessaire que la France s’obstine à refuser de regarder en face l’héritage raciste de la colonisation.

    https://www.lepassagerclandestin.fr/catalogue/essais/le-massacre-de-thiaroye
    #colonialisme #colonisation #Sénégal #France #colonialisme_français #réhabilitation #histoire #crime_d'Etat #racisme #héritage #mémoire #livre

    ping @cede @karine4

  • Vers des architectures autochtones ? Plaidoyer pour construire des plurivers
    https://metropolitiques.eu/Vers-des-architectures-autochtones-Plaidoyer-pour-construire-des-plu

    Cet essai-manifeste vise à réconcilier le milieu de l’architecture avec des pratiques, des pensées et des luttes susceptibles de changer son éthique. Mathias Rollot souligne la nécessité de faire évoluer l’architecture vers l’autochtonie et la pluriversalité. Dans Décoloniser l’architecture, l’architecte et enseignant-chercheur Mathias Rollot poursuit sa réflexion critique sur l’architecture. Il y promeut la métamorphose disciplinaire et l’évolution des pratiques en décrivant les liens entre #écologie, #Commentaires

    / colonialité, #militantisme, #biorégion, écologie, #architecture

    #colonialité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/elkaddioui.pdf

  • P.M. Pourquoi avons-nous encore le capitalisme ? (2020) - Partie 2

    suite du post précédent
    https://seenthis.net/messages/1015976

    Je mets à part cette partie parce que c’est ce que j’apprécie le plus chez P.M. On pourra s’amuser à comparer "Glomo 1" à "Bolo" écrit 40 ans plus tôt. Je ne manquerai pas de le faire en commentaire en tout cas ^^

    Glomo 1

    Les caractéristiques les plus importantes de Glomo 1 concernent sa taille (environ 500 personnes), son lien avec l’agriculture²³ et son infrastructure pour une économie domestique et de soins. Tout cela n’est possible que s’il existe une autonomie inclusive, c’est-à-dire une démocratie quotidienne et des institutions correspondantes. Dans un certain sens, Glomo 1 remplace l’atome capitaliste travail/consommateur ou le petit ménage familial. Cependant, les individus et les familles ne sont pas abolis dans ce cadre, mais sont entre de bien meilleures mains (HEGEL !). Glomo 1 n’exige pas une collectivisation de la vie, mais plutôt une meilleure sphère de développement, un meilleur sociotope, un lieu où la société puisse avoir lieu (voir les souhaits de REMO LARGOS).

    Même si les quartiers présentent un air de famille modulaire, leur véritable conception permettra un maximum de diversité. Tout est possible entre des partenariats contractuels éco-logistiques sobres et des communautés de vie plus ou moins intimes. Alors que pour certains le microcentre est une simple infrastructure d’approvisionnement, pour d’autres c’est un salon prolongé, une oasis de bien-être, un nid douillet. Des connotations culturelles sont possibles, mais pas nécessaires.

    Les quartiers doivent être relativement grands pour qu’il y ait de la place pour de nombreux talents, qualifications, tranches d’âge et caractères et que chacun puisse trouver un emploi qui lui convient. C’est pourquoi environ 500 personnes. En même temps, cette taille permet un anonymat assez agréable, qui favorise le repli individuel et donc une nouvelle envie de collaboration. Le contexte urbain est nécessaire car 10 milliards de personnes ne peuvent travailler ensemble de manière écologique et économique efficace que dans les grandes villes. Plus de la moitié de la population vit déjà dans les grandes villes, et ce chiffre atteindra bientôt les trois quarts.

    Si nous voulons préserver les terres et protéger les paysages, nous devons vivre dans des villes denses. Nous avons besoin de plus de villes pour avoir plus de terres. L’aspiration à une vie innocente à la campagne est désormais un mythe largement destructeur. La majorité de la vie rurale sur cette planète ne se déroule pas dans des écovillages, mais plutôt dans des logements de banlieue pour les navetteurs (maisons) dispersés en grande partie au hasard dans le paysage (comme substrat fiscal) ou dans des bidonvilles du sud de la planète. Et ces « villages » sont encore pires sur le plan écologique que les mauvaises villes. Selon l’étude ARE de 2017, les citadins supportent des coûts d’infrastructure de 1 057 euros par an, mais les ruraux supportent 2 976 euros, soit près de trois fois plus. C’est aussi logique : ceux qui vivent plus près les uns des autres ont besoin de moins de câbles, de canalisations, de routes, d’éclairage, etc.

    Il faut faire attention à ne pas tomber dans les illusions d’optique : les petites et jolies maisons de campagne sont « plus lourdes » que les immeubles massifs de ville. Le vert de la façade ne fait guère de différence. Vert, petit, joli ne fait pas un bon équilibre écologique. La ville semble lourde, mais à la campagne tout est facile. Cependant, une grande partie de la « lourdeur de la ville » est constituée de bâtiments et autres structures dont l’énergie grise est depuis longtemps payée. Et beaucoup de gens y vivent. Les villes sont plus légères par habitant.

    Les transports publics et les services publics ont besoin d’une certaine densité pour fonctionner. Les villes rendent les distances plus courtes, les synergies possibles et la diversité culturelle. Bien entendu, ces villes Glomo n’auront plus grand chose en commun avec les mastodontes d’aujourd’hui : elles seront plus aériennes, plus cosy, plus lentes, plus fantaisistes. Elles seront physiquement légères et lentes, mais communicationnellement (également grâce à l’informatique démocratique) rapides comme l’éclair. Pourquoi ne pas utiliser les nouvelles technologies ?²⁴

    Si l’on part de critères écologiques, économiques et socio-psychologiques, alors le mode de vie global idéal du futur est un hôtel de type quatre étoiles : chacun dispose d’une grande chambre (20 m²) qui peut être utilisé en couple un appartement de deux pièces, peut être combiné en famille pour former un appartement de quatre pièces, un paysage social très coloré au rez-de-chaussée (= microcentre), plus tous les services (logement, nourriture, internet) .²⁵ 16 millions d’hôtels 4 étoiles sont une solution possible, en Chine comme en Afrique.

    Comme mentionné, les quartiers peuvent être reliés facilement et efficacement à une base terrestre située entre 10 et 100 km selon la situation et qui approvisionne Glomo 1 en majeure partie en nourriture. Cela vaut également pour les très grandes villes. Rentrer à la maison signifie une nouvelle logistique alimentaire mondiale qui relie les activités urbaines et rurales et contribue en même temps à la souveraineté alimentaire fondamentale. Le fameux gaspillage alimentaire s’arrête quand on ne veut plus jeter les carottes qu’on a nous-mêmes récoltées. Cela ne signifie pas que nous devons tous devenir agriculteurs, car l’agriculture occupe rarement plus de 5 % de notre budget temps, où que ce soit.

    Notre mode de vie impérial n’est pas adapté à l’avenir. Nous avons besoin de nouvelles formes domestiques et économiques dans lesquelles nous pouvons partager et utiliser les ressources ensemble afin de pouvoir établir un mode de vie confortable dans les limites écologiques. La nécessaire réduction du trafic nécessite à elle seule une relocalisation générale.

    La société de consommation de masse « occidentale » actuelle ne peut pas non plus être universalisée. Les conditions de vie entre nous et les 6 autres milliards de personnes diffèrent d’un facteur 32 (voir JARED DIAMOND : Upheaval. 2019, p. 414). Les mesures techniques ne suffiront pas. Nous ne pouvons pas satisfaire les 8 milliards de personnes avec des voitures électriques. Nous devons commencer par la consommation, puis par les technologies qui la soutiennent. Nous pouvons nous organiser différemment ; même dans ce cas, il y aura encore suffisamment de ressources pour développer des technologies qui facilitent notre travail, pour un système de santé complet et pour l’accès de tous à l’éducation et au savoir.

    Les quartiers ne sont pas seulement importants pour la survie en tant qu’unités écologiques et économiques efficaces, ils ont également une dimension psychosociale. Le psychologue suisse du développement de l’enfant REMO LARGO appelle à la création de communautés de quartier d’environ 350 personnes pour que les enfants puissent grandir heureux. Il écrit entre autres : « Je suis convaincu qu’en fin de compte, tout le monde veut mener une vie convenable et pleine de sens. Ils ne peuvent satisfaire adéquatement leurs besoins émotionnels et sociaux que dans une communauté de personnes familières. En outre, les enfants, les personnes âgées et les malades peuvent être mieux soignés dans la communauté que dans les crèches, les maisons de retraite et les maisons de retraite. La communauté peut également créer une liberté dans laquelle les gens peuvent à nouveau travailler de manière indépendante, et bien plus encore.

    Des résultats similaires proviennent de recherches sur le bonheur. Une journée passée entre amis vous rend plus heureux. Mais il faut ensuite qu’ils soient en place [ndt : « Dann müssen diese aber auch an Ort und Stelle sein. »]. (D’ailleurs, ce qui est le plus malheureux, c’est de se rendre au travail. Voir KAHNEMAN ou MARX.) On pourrait aussi dire avec HARTMUT ROSA : Les quartiers sont des lieux de résonance, c’est-à-dire de non-aliénation. Les quartiers sont des lieux qui permettent la perception, les rencontres, la résonance, la compréhension, l’entraide, c’est la substance d’une vie réussie.²⁶

    Pouvoir appartenir est essentiel à notre bonheur, et appartenir à de vraies communautés, et non à des chimères comme les nations, les clubs de football ou les marques de smartphones.

    23. À quoi pourrait ressembler un plan de nutrition pour un Glomo 1, y compris les besoins en terres, est documenté dans Une proposition (p. 85) et encore plus en détail dans L’Autre Ville (Die Andere Stadt, non traduit).
    24.Mais ils ont aussi leurs limites écologiques.
    25.De petites unités résidentielles sont désormais également proposées pour des raisons de rendement, comme le micro-living, le coliving, etc. Si les gens se contentent de moins d’espace de vie, les coûts du logement restent abordables malgré la hausse des loyers. Mais si nous, par ex. B. sous forme de coopératives, si vous êtes vous-même propriétaire, l’espace de vie sera alors deux fois moins cher. Le point crucial n’est pas la forme de vie (il existe déjà des hôtels ** aujourd’hui), mais l’autogestion.
    26.HARTMUT ROSA : Résonance. 2018.

    • Moi qui suis un fan de Bolo’bolo je trouve assez chouette de voir comment son auteur a évolué entre 1983 et aujourd’hui, sachant qu’il a tenté des expériences à Zurich qui s’en sont inspirés, notamment par les coopératives d’habitations Kraftwerk (un livre français a justement étudié cette transposition, Choisir l’habitat partagé d’Adrien Poullain).

      Dans glomo 1, il y a une prise de position nette en faveur de l’urbanité et de la ville, avec ses problématiques. Plus loin dans le livre avec glomo 2, on trouve même une critique assez raide (mais bienvenue selon moi) du repli dans les écovillages, à la campagne, visant l’autosuffisance, faisant l’école à la maison, etc. Je ne connais pas assez le contexte suisse allemand pour saisir le prisme à travers lequel tout ça est considérer. En France on est plus prompt à critiquer la ville et surtout les métropoles, dont par exemple le géographe Guillaume Faburel montrait dans les Métropoles barbares qu’elles étaient moins efficaces énergétiquement contrairement à ce que dit P.M. dans ce livre. On a même des travaux assez subtils de géographes sur le péri-urbain comme ceux d’Eric Charmes qui défont les idées reçues sur le pavillonnaire, sans parler du recueil Densifier / Dédensifier, penser les campagnes urbaines (2018) qui va dans le même sens. Bref, l’opposition entre ville et campagne est un faux problème. Comme l’indique Eric Charmes, en France du moins, la croissance de la population se fait par émiettement des villes dans le périurbain. A moins d’une crise économique très rapide (comme dans l’exemple de Détroit), l’organisation fonctionnelles des espaces urbains denses est relativement figée - et sans doute très limitantes pour des propositions révolutionnaires, là où le périurbain et le rural est plus ouvert.

      L’intérêt du propos de P.M. n’est donc pas dans cette opposition spatiale, illusoire, entre ville et campagne, mais dans sa volonté de s’attaquer à tous les problèmes en même temps (ce qu’il appelle les défis mondiaux) à partir d’une critique radicale de la catégorie travail (absente dans les milieux de gauche et écolo), comme activité séparée, marchande, capitaliste, etc. Le point de départ n’est donc pas de réorganiser l’espace et ses fonctions sociales, à la manière d’un urbaniste ou d’un architecte, mais de changer le rapport social : le rapport des humains entre eux et avec la nature et les non-humains. Le problème est que pour changer ce rapport social, on ne peut qu’en passer, à mon avis, par une expérience directe, et sans doute individuelle, émotionnelle, d’un rapport avec le non-humain, la terre, loin des commodités marchandes, abondantes en apparence, dans les espaces urbains.

      Le tableau que fait P.M. de la situation contemporaine du consommateur urbain est incomplet car il ne mentionne pas les problématiques de tous les gens qui ne peuvent pas manger correctement et suffisamment en occident. C’est tout l’apport, fait par les tenants de la sécurité sociale alimentaire, de la critique de l’aide alimentaire et, symétriquement, de la misère ordinaire de la profession agricole. Partant de là, la problématique mondiale n’est pas d’économiser l’énergie fossile et les émissions de CO2 le plus possible, mais de produire de la nourriture saine et en quantité suffisance d’une façon digne (c’est-à-dire par exemple sans violence alimentaire : c’est-à-dire sans imposer un régime alimentaire ou sans imposer moralement une façon de se nourrir qui n’est pas accessible pour les gens, sans imposer des produits pollués etc). La réponse pour moi logique est de remettre en priorité 1 la production agricole dans une proposition globale - ce qui existait bien plus franchement du temps de Bolo’bolo avec « Kodu » et qui était beaucoup plus ambitieux en terme de lien entre vie urbaine et production alimentaire, et aujourd’hui très actuel. (A la décharge de P.M. celui-ci s’est aussi frotté aux difficultés pratiques qu’il y a à faire un Kodu aujourd’hui, du moins à Zurich, et peut-être que c’est ce qui l’a fait évolué sur ce point. J’en parlerai une autre fois)

      Finalement une proposition politique globale peut s’inspirer d’une lecture spatiale, en effet, à condition de la croiser avec la prise en compte des injustices (la Suisse n’est sans doute pas le meilleur endroit du monde pour l’envisager), qu’on peut lire comme des injustices spatiales. Pas de justice alimentaire sans accès à l’agriculture (voir la revue Justice spatiale / spacial justice , n°9) et il n’y a sans doute pas de solution générale standard pour appréhender comment cela se traduit dans l’organisation de l’espace, l’important c’est l’idée générale très bien exprimée dans Bolo’bolo / Kodu : "L’agriculture fait partie de la culture des BOLOs. Elle définit le mode de rapport avec la nature et la nourriture. Son organisation ne peut pas être décrite à un niveau général" . Tout au plus peut-donner quelques exemples réels ou fictifs inspirants, mais chaque territoire a sa spécificité, de même qu’il n’y a pas de techniques générale universelle pour faire de la bonne agriculture (à moins de faire abstraction des cycles biologiques comme le fait l’agriculture industrielle).

      Le capitalisme c’est aussi l’art de tirer partie des écarts de toute nature, et l’espace en est un : comme l’indique les travaux des géographes comme Eric Charmes, les populations les plus aisées parviennent à vivre dans les espaces les plus naturels, dans la première couronne urbaine, où l’on peut jouir de paysages campagnards et ressourçant façonnés par des siècles d’une agriculture aujourd’hui disparue, tout en jouissant également des infrastructures urbaines et métropolitaines, accessibles très facilement. Les populations les plus dominées vivent en ville mais dans les parties les plus à l’écart des infrastructures publiques, se déplaçant beaucoup plus difficilement, et la campagne proche est celle de l’agriculture industrielle. Entre les deux, une partie de la population tente de fuir la ville pour accéder à d’autres paysages, grâce à un usage intensif de la voiture - ceux que Pierre Blavier appelle les « gens de la route » quand il étudie la mobilisation des Gilets Jaunes - en vivant plus écart des centres urbains tout en y restant dépendant.

      Reste l’intérêt de la démarche de P.M., qui est de mouiller la chemise en faisant des propositions globales sur une base d’un dépassement des catégories du travail (au sens marchand, capitaliste), du constat qu’une organisation sociale générale basée sur le travail est l’obstacle n°1 qui empêche toute évolution positive du monde, mais sans s’en tenir à une simple critique. Là où la gauche se contente encore de vouloir bricoler le gouvernail - gouvernail qu’elle a peu de chance d’empoigner -, et où la critique radicale se contente de grandes généralités universelles (que P.M. connaît bien) sans avancer aucune démarche concrète de changement social, qui obligerait à affiner et faire évoluer sa critique. Le monde ou rien, comme dirait le rappeur.

      Ouvrages cités

      https://editionsparentheses.com/spip.php?page=article_apparaitre&id_article=660
      https://www.lepassagerclandestin.fr/catalogue/essais/les-metropoles-barbares
      https://www.editionsparentheses.com/Densifier-Dedensifier
      https://www.jssj.org/article/justice-alimentaire-et-agriculture
      https://www.puf.com/content/Gilets_jaunes_la_r%C3%A9volte_des_budgets_contraints
      www.lyber-eclat.net/lyber/bolo/kodu.html