Quand l’INSEE relativise fortement la surmortalité du COVID

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  • Quand l’INSEE relativise fortement la surmortalité du COVID (CDS)
    https://www.crashdebug.fr/quand-l-insee-relativise-fortement-la-surmortalite-du-covid-cds

    Bonjour un bon article du Courrier des stratèges qui fait le point sur la mortalité Covid et le réel nombre de décès en France avec les statistiques officielles, je pense que tout est dit, comme le confirmais Karine Lacombe chez Ruquier, 99,865% des gens y survivent, le taux de mortalité est de 0,035% et partout en Europe.

    De plus comme le souligne Éric Verhaeghe tout cela aurait pus être évité avec les traitements précoces,

    N’oubliez pas aussi la fermeture de tout ces hôpitaux depuis 10 ans sous la volonté de Bruxelles pour 11,7 milliards d’€uro, (alors que les anglais qui sont maintenant souvrain en construisent 48)

    Tout ceci est donc bien pour des motifs politiques en vue d’administrer de force des vaccins expérimentaux et d’instaurer une dictature numérique avec un projet (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

    • Quand l’INSEE relativise fortement la surmortalité du COVID - Le Courrier des Stratèges
      https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/03/quand-linsee-relativise-fortement-la-surmortalite-du-covid

      Ce graphique montre l’évolution mensuelle du nombre de décès pour 1000 personnes depuis 1975. C’est un tableau important, car il relativise les chiffres annuels par une sorte d’observation des pics rapportés au nombre d’habitants.

      La courbe générale est intéressante, parce qu’elle montre la lente décrue de la mortalité mensuelle jusqu’en 2005, puis une inflexion à la hausse à partir de la crise de 2008. Notons ici qu’entre 2005 et 2015 la France a régulièrement connu une mortalité inférieure à 8 morts pour 1.000 habitants chaque mois. Cette décrue est historique et ne s’est pas produite avant, ni après. On notera aussi que, depuis l’apparition du COVID, l’étiage mensuel sensiblement au même niveau que dans les années 90. Il est très inférieur à celui des années 70 et 80. 

      Ce sont surtout les pics de mortalité mensuelle qui nous intéressent. Et, ô surprise, la situation de 2020 ne permet pas de tirer des constats aussi alarmistes que le gouvernement voudrait bien nous le faire croire. 

      Deux fois seulement depuis le début de l’épidémie la France a dépassé le chiffre de 12 décès mensuels pour 1.000 habitants. Ce phénomène est arrivé dix fois depuis 1975. Mais, en avril 2020, avec 12,3 décès pour 1.000 habitants, nous sommes loin d’avoir connu la pire situation de mortalité depuis près de 50 ans. Ainsi, en janvier 1975, en février 1978 et en février 1986, les pics mensuels de mortalité ont été pires. En février 1976, le pic de mortalité a égalé celui d’avril 2020. 

      Autant dire que si l’épidémie a produit une surmortalité, elle n’a pas produit de situation d’urgence justifiant les mesures d’exception que nous connaissons. Les épidémies de grippe des années 70 ont été plus graves.

      Sur ce point, il est un fait que l’année 2020 a connu une fréquence plus importante de pics de mortalité que les autres années. Mais fréquence ne signifie pas gravité. Rappelons-le.

    • L’essentiel de l’argumentation consiste à comparer les hauteurs des pics de mortalité sur l’ensemble de la période (01/1975-08/2021). Le graphique publié pour les stratèges tassent tous ces pics, on ne peut effectivement plus comparer que leurs hauteurs.

      Déserrons-les donc en zoomant sur la fin de période (01/2015-08/2021)

      Tout va bien ? Les stratèges ne remarquent rien ?

      Il s’agit d’une donnée saisonnière, empilons donc les années pour restituer le profil des mois de chaque année

      Stratégiquement, il est donc possible de ne s’intéresser qu’aux (hauteurs des) pics, de négliger le fait que, ah tiens ! il y a eu DEUX pics marqués en 2020 (c’est sans doute ce qu’il faut comprendre du dernier paragraphe débile sur la fréquence des pics) et conclure que, tous comptes faits, l’année 2020 n’est pas si extraordinaire que ça.

      Chapeau les stratèges !

    • Non, je n’ai pas de souci avec Le courrier des stratèges ; je veux juste TE dire (et éventuellement à tes lecteurs) que ce qu’ils font dire aux chiffres de l’INSEE qui relativise[raient] fortement la surmortalité du COVID ne s’y trouve pas vraiment ou alors avec une lecture très biaisée…