• Harvard reste l’université la plus riche du monde
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/harvard-reste-l-universite-la-plus-riche-du-monde-27367502

    Le fonds de réserve de l’université américaine a dépassé les 53 milliards de dollars, soit l’équivalent des réserves de la Banque centrale d’Afrique du Sud ou des Pays-Bas.


    Durant l’année 2020/21, Harvard a, par ailleurs, reçu 465 millions de dollars (429 millions de francs) de dons versés au fonds de réserve. (photo : Getty Images via AFP)
    L’université américaine de Harvard a vu son fonds de réserve (endowment) augmenter de 27% en un an, selon son rapport financier annuel publié jeudi, ce qui en fait, plus que jamais, l’université la plus riche du monde. Très répandu dans l’enseignement supérieur américain, le fonds de réserve est constitué et alimenté pour l’essentiel par des dons privés. Beaucoup de ces dons (82%) sont soumis à des restrictions, fléchés vers des disciplines ou des projets précis.

    Seuls environ 5 à 5,5% des réserves du fonds sont utilisés chaque année pour financer le fonctionnement de l’université de Harvard, située à Cambridge (Massachusetts), soit deux milliards de dollars durant l’année 2020/21.

    Harvard devance Yale
    Déjà le plus élevé au monde, le fonds de réserve a augmenté de 27%, pour atteindre 53,2 milliards de dollars à fin juin, qui correspond à la fin de l’exercice comptable, soit l’équivalent des réserves de la Banque centrale d’Afrique du Sud (SARB) ou des Pays-Bas. Profitant de l’insolente santé des marchés financiers, Harvard a enregistré un rendement de 33,6% de ses actifs en un an.

    Durant l’année 2020/21, Harvard a, par ailleurs, reçu 465 millions de dollars de dons versés au fonds de réserve. Selon un classement établi par le magazine « US News », Harvard devançait déjà nettement Yale l’an dernier au classement des plus grands fonds de réserve, avec 41,9 milliards de dollars contre 31,1 (38,7 milliards de francs contre 28,7).

    • Ne pas s’étonner si la progéniture des généreux donateurs soient diplômés haut la main d’harvard.

      Des chiffres assez peu cohérents dans cet article, mais on ne va pas demander aux journalistes de vérifier ce qu’ils/elles transmettent.