Le paysage est une traversée
Gilles A. Tiberghien
Un atlas du dehors - Métropolitiques
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Le #paysage est une traversée multiplie les références à des démarches issues en majorité de l’histoire de l’art occidental récente, c’est-à-dire depuis les années 1960 : du collectif italien Stalker (figure 2) aux Américains Robert Smithson et Richard Long, en passant par Lawrence Halprin, l’auteur cite de nombreux artistes de la période. L’ouvrage se lit comme un cours, distribué en un prologue et dix chapitres – il s’agit du remaniement de textes déjà publiés. Les études qui composent ce recueil s’organisent autour de différents types et échelles de mouvements, de la marche et la danse jusqu’au voyage, au vol et même à la « cosmogonie » (chap. 8). L’idée centrale du déplacement géographique comme condition de l’expérience du paysage se décline depuis ce creuset de perceptions qu’est le corps humain jusqu’à des considérations de portée générale, proches de l’écologie politique.
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