A nous-mêmes, ce que nous avions à dire commençait alors à nous paraître inimaginable
Je me (re)plonge régulièrement dans la littérature concentrationnaire. Les témoignages sur cet univers, comme d’autres sur les génocides ou crimes contre l’humanité, restent une source de réflexion nécessaire. Dans le dénuement le plus extrême, certain·es parviennent à neutraliser la négation de ce qui les nient, à contester ce qui les conteste comme « homme, comme membre de l’espèce »
note sur : Robert Antelme : l’espèce humaine
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