• Donc des "entrepreneurs" (privés, donc qui œuvrent avant tout pour un retour sur investissement dans leurs poches et non pour le bien commun) aiguillonnent les "pouvoirs publics" (donc l’état) pour que ces derniers leur achètent leur "solutions clés en main" (saisir la balle au bond) :

      L’enjeu est ni plus ni moins que de « construire le service public du XXIe siècle ». Il s’agit de faire participer les Français à l’élaboration et à la conduite des politiques publiques, mais aussi de renforcer la transparence de la vie publique et de promouvoir une société numérique qui n’oublie personne.

      C’est sûr que de capter la manne fiscale collectée par l’état auprès de ses contribuables, de nos jours, "c’est vraiment d’la balle" ...

      Sinon, "avant Macron", il existait une procédure appelée "marché publique" mais l’administration semblait encore trop tatillonne (et pourtant, tellement d’attributions frauduleuses) pour que la pompe à cash s’amorce correctement et crache à gros bouillons. Et donc, Amélie de Montchalin promet « jusqu’à » 10 millions d’euros pour financer l’accélérateur. Un site Internet sera ouvert, où chacun pourra proposer un projet. C’est un jury de quinze citoyens tirés au sort qui sélectionnera fin janvier « une dizaine » d’entre eux, lesquels seront accompagnés pendant trois mois. « Il y aura une promotion nouvelle tous les trois mois, confie l’entourage de Mme de Montchalin, pour ne pas passer à côté de bonnes idées qui peuvent être utiles dans le moment, notamment en période de crise. »

      Vite "l’exécutif", dissolvez le Conseil de l’Ordre des Médecins : le professeur Raoult pourrait être appelé à reprendre du service.

      [edit] Zut ! Ça ne concernerait que les "applis" du web si j’en crois l’article. Disons que j’ai extrapolé. Sinon, dans le même filon, on a déjà creusé avec la rénovation énergétique des passoires thermique et l’isolation à 1 Euro.