Hier je me suis regardé la première des trois parties de Get Back, le montage de Peter Jackson de la session préparant l’album Let it be des Beatles.
Hé ben c’est proprement sidérant. Les chansons qui naissent, qui évoluent, qui s’affinent, les instruments qui s’échangent, les essais, les variantes pour la déconne, pour le sérieux…, j’ai trouvé ça époustouflant.
Du coup je m’écoute la version « naked » de l’album Let it be, et après impossible de réécouter la version « officielle » triturée par Phil Spector (arg, les arrangements pompeux de The Long and Winding Road, c’est plus supportable après).