• Bien que cela serve d’argument pour laisser circuler le virus (avec défense des schémas pas de vaccin, ou primo-infection puis vaccin et maintenant surtout défense de l’infection post vaccinale comme dernier stade de l’immunisation : ce que l’analyse des hospitalisations actuelles peut partiellement étayer, au prix de biens des trous dans la raquette), les réinfections comme les infections post-vaccinales sont actuellement décrites comme bien moins dangereuses que les primo-infections.

      Un Covid long peut également survenir chez des personnes vaccinées atteintes de Covid-19
      https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2021/11/19/un-covid-long-peut-egalement-survenir-chez-des-personnes-vaccinees-atteintes

      Les chercheurs de la faculté de médecine Washington (Saint-Louis, Missouri) et du Veterans Affairs (VA) Saint Louis Health Care System ajoutent que leur analyse comparative a mis en évidence que le risque de décès ou de séquelles chez les personnes ayant présenté une maladie Covid-19 suite à une infection post-vaccinale était moindre que chez les individus non vaccinés qui ont développé une Covid-19 [4]. La différence n’était pas statistiquement significative pour les séquelles rénales, gastro-intestinales, neurologiques ou concernant la santé mentale.

      En particulier, par rapport aux personnes non vaccinées atteintes de Covid-19, le risque de présenter une séquelle cardiovasculaire, métabolique, pulmonaire, ou affectant la coagulation, ou de la fatigue, était moindre chez les personnes vaccinées ayant développé la maladie Covid-19.

      c’est du pré-print. à la lecture je me demandais si il y a des études qui analysent la disparité des taux de protection apportés par les vaccins, non pas en fonction des durée de vaccination mais en fonction des individus, selon les capacités de l’organisme à « répondre » au vaccin. cela pourrait bien conditionner le degré de gravité ou l’advenue d’un covid long.