L’écho de mon cri résonnait comme une énigme sans fin
L’art particulier de la nouvelle. Une amère ironie contre les enfermements des femmes. Les regards poétiques. Des allers et retour dans le temps. La mémoire d’une fillette. La femme et la vie. La femme et la mort.
Des maisons « blotties dans le sommeil et la torpeur », un jour de fête, des chevaux de bois, « Qu’est-ce qui se passe dans cette ville, D’où vient cette odeur de sang ? », la ville marchande, « Les murs étaient percés de trous béants d’où sortaient des ordures, comme autant de bouches infectes qui les auraient vomies », le prix de toute chose lorsque tout se vend et s’achète…
Note sur : Spôjmaï Zariâb : Les demeures sans nom
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