• Julie Hugo témoigne de son #viol et des difficultés de la procédure - Blick
    https://www.blick.ch/fr/news/suisse/temoignage-de-la-fribourgeoise-julie-hugo-jai-eu-limpression-detre-violee-une-


    C’est en Suisse, mais je pense qu’il ne doit pas y avoir de différences substantielles.

    Ce n’est qu’en mai 2022 qu’une confrontation doit établir les faits survenus six mois plus tôt, en présence des avocats des deux parties. Cette rencontre est particulièrement pénible pour la Fribourgeoise, séparée par un paravent et quelques mètres de distance de son agresseur présumé. Au stress de la situation s’ajoute celui de la procédure. « J’ai dû fournir énormément de documents au préalable, en plus de la levée du secret médical gynécologique, généraliste et psychologique », explique Julie Hugo.

    Mais ce qui l’a saisie, c’est un élément en particulier : « On m’a avertie que si je changeais mon récit d’une virgule par rapport à ma déposition, si la chronologie des événements ne correspondait pas, on considérerait que je mentais ! Une sanction allant jusqu’à la privation de liberté était même évoquée. Je sais que c’est sans doute une procédure standard, mais ça marque… »

    L’artiste doit également confirmer chaque élément de sa déposition. « On me demandait constamment si j’étais vraiment sûre de chaque point. Mon agresseur, lui, a pu mentir sans conséquence, parce que c’était ‘pour sa défense’... »

  • La direction de Credit Suisse semble encore espérer un bonus spécial Blick

    Après le rachat de Credit Suisse par l’UBS, le conseil d’administration espère-t-il toujours un bonus de 70 millions de francs ? C’est ce que semble indiquer l’ordre du jour de l’assemblée générale de la banque le 4 avril prochain.

    L’Assemblée générale de Credit Suisse aura lieu le 4 avril. Il faut s’attendre à ce que les actionnaires votent, comme l’année dernière, contre la décharge du conseil d’administration.

    C’est également ce que recommande la fondation d’investissement suisse Ethos aux actionnaires, qui rejoint la position du plus grand conseiller en vote américain, Institutional Shareholder Services (ISS).

    Un point à l’ordre du jour promet des interventions virulentes : « Bonus de transformation pour la direction ». En clair, il était prévu que les patrons de Credit Suisse encaissent un bonus spécial allant jusqu’à 70 millions de francs si tous les objectifs étaient atteints d’ici 2025. Cette prime avait été prévue avant la reprise de l’institution par l’UBS.


    Opposition au bonus spécial
    « Un vote contre ce point est justifié, car la demande semble désormais inappropriée compte tenu de l’annonce de la reprise de l’entreprise », écrit ISS dans sa recommandation de vote, dont « 24 heures » a obtenu une copie.

    « Nous voterons contre la décharge et contre le bonus spécial de 70 millions de francs », confirme pour sa part le directeur d’Ethos Vincent Kaufmann au quotidien vaudois. Les propos d’ISS et d’Ethos ont du poids. Le conseiller en vote américain représente environ 20% des actionnaires, Ethos entre 3 et 5%.

    #bonus #banques #finance #en_vedette #oligarchie #incompétence #prévarication #vol
    Source : https://www.blick.ch/fr/news/suisse/avant-lassemblee-generale-la-direction-de-credit-suisse-semble-encore-esperer-

  • « #Lausanne doit reconnaître son passé colonialiste »

    En lutte contre une inscription problématique sur un immeuble du #Flon, au centre-ville de Lausanne, #Samson_Yemane va plus loin : le conseiller communal socialiste demande à la Municipalité de réaliser un #état_des_lieux du #passé_colonialiste de la cité olympique.

    Les questions relatives à la migration ne sont pas qu’un dossier politique pour Samson Yemane : c’est l’histoire de la vie du conseiller communal lausannois. Le socialiste n’avait que « 12 ou 13 ans » lorsqu’il a fui l’Érythrée en direction de la Libye puis de l’Europe. Sur un bateau.

    Aujourd’hui bientôt trentenaire et naturalisé, le Vaudois travaille à l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés et s’est beaucoup engagé dans la votation sur Frontex, l’agence européenne de protection des frontières dont il a fait le sujet de son mémoire de master.

    Malheureux de l’issue de la votation sur le plan fédéral, Samson Yemane essaie d’agir à son échelle : celle de sa commune de Lausanne. Il vient de déposer un postulat pour rendre la capitale vaudoise « inclusive et non-discriminante ». Interview.

    Vous écrivez que Lausanne a directement participé, voire contribué à l’#esclavage et au #colonialisme. À quoi faites-vous référence ?
    C’est là tout l’enjeu : la population n’a pas du tout conscience qu’au début du XXe siècle encore et même jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, il y avait des « #zoos_humains » au coeur de Lausanne. La Suisse a accueilli des dizaines de « #villages_nègres » et autres exhibitions exotiques, pour le plus grand plaisir des habitants. Il y a donc un immense devoir de mémoire et de #visibilisation.

    Votre #postulat a pour point de départ le travail d’une étudiante sur une devanture au Flon. Or, la régie voulait justement faire retrouver au bâtiment son visage d’origine. N’est-ce pas précisément un travail de mémoire ?
    Où est l’importance historique de cette inscription ? Elle avait été effacée et, là, on la fait renaître sans contexte, sans explication. Il s’agit purement de #racisme_ordinaire, et c’est pour cela que j’ai pris autant cette histoire à cœur : elle mérite que des mesures soient prises.

    Par exemple ?
    Tout dépend du contexte. Pour cette inscription, beaucoup de gens sont pour qu’elle soit effacée, car elle n’a pas vraiment d’utilité et elle heurte les personnes concernées. De manière générale, je milite pour qu’un état des lieux soit réalisé sur le passé colonial de Lausanne. Cela peut prendre plusieurs formes (conférence, discussion, etc.), mais devrait impérativement inclure des personnes compétentes dans ces sujets-là.

    Jusqu’où cela peut-il aller ? Le stade #Pierre_de_Coubertin (ndlr : notoirement raciste, persuadé de la supériorité des Blancs sur les Noirs) doit-il être rebaptisé, selon vous ?
    C’est un bon contre-exemple : dans ce cas, ce lieu a un important #héritage_historique. Le rebaptiser serait contre-productif et ne serait pas compris par la population. Je ne suis pas pour réécrire l’histoire, ni pour créer une polémique, mais pour sensibiliser les Lausannois : pourquoi ne pas mettre une mention sur place, ou réaliser quelque chose au Musée olympique par exemple ?

    N’est-ce pas un peu infantilisant, comme démarche ? Faut-il vraiment une intervention du monde politique ?
    Il y a toujours des combats plus importants que d’autres, mais celui-ci est très légitime à mes yeux. Cette inscription heurte beaucoup de monde, et le vivre-ensemble est primordial, surtout au niveau communal. Plusieurs études scientifiques prouvent que reconnaître notre passé colonial nous amène à consolider notre #cohésion_sociale. D’autres villes (Berne, Zurich, Genève...) ont d’ailleurs fait cet exercice.

    Lausanne dispose déjà pour cela d’un Bureau lausannois pour les immigrés (BLI), avec notamment une permanence contre le racisme. Vous voulez aller plus loin ?
    Mon postulat s’inscrit précisément dans ce contexte. Le travail du BLI est crucial et contribue intellectuellement à notre cohésion sociale. Je veux encourager la Municipalité à mettre l’accent sur l’histoire coloniale. Je l’ai vu avec les réactions après votre premier article : c’est un sujet tabou, très clivant et qui fait parler tout le monde. Un débat public éclairé n’en sera que plus bénéfique. « Décoloniser » l’espace public ne vise en aucun cas à falsifier l’histoire de notre commune — au contraire, le but est de reconnaître les faits historiques et de sensibiliser.

    #Mobimo « comprend la polémique »

    Informée par la Ville que l’#inscription « #Magasin_de_denrées_coloniales » du Flon faisait débat, la régie propriétaire du bâtiment assure à Blick qu’elle avait comme « unique perspective un rappel purement historique de la fonctionnalité du bâtiment ».

    C’est pour cette raison que Mobimo a voulu restituer le nom des enseignes présentes au Flon comme au début du XXe siècle. « Nous comprenons les sensibilités actuelles et sommes conscient des préoccupations de notre société face à des faits socio-historiques ainsi qu’à la portée sémantique des mots », assure Hélène Demont, porte-parole pour la Suisse romande.

    Mobimo estime qu’en tant qu’acteur économique, elle n’a « pas la légitimité de porter un jugement sur des faits historiques se rapportant à l’inscription ». Mais elle veut la replacer dans son contexte avec une notice explicative, et se conformera à la décision de la Ville si un effacement venait à être décidé.

    https://www.blick.ch/fr/news/suisse/le-combat-de-samson-yemane-lausanne-doit-reconna-tre-son-passe-colonialiste-id
    #histoire #Suisse #colonisation

    ping @cede

    –-

    ajouté à la métaliste sur le #colonialisme_suisse :
    https://seenthis.net/messages/868109

  • Menacé de mort, #Dick_Marty vit sous haute protection depuis seize mois

    Une enquête exclusive de Mise au Point révèle que, depuis décembre 2020, Dick Marty a été placé sous très haute protection policière. L’ex-procureur, conseiller d’Etat, conseiller aux Etats (PLR/Tessin) et rapporteur du Conseil de l’Europe, serait menacé de mort par des éléments radicaux des services de renseignement serbes. Le Ministère public n’a pas lancé de commission rogatoire et le DFAE n’aurait pas entrepris d’action diplomatique auprès de Belgrade.

    Tout a commencé il y a seize mois, rapporte Mise au Point, qui a pu s’entretenir avec Dick Marty chez lui au Tessin. « Le 18 décembre 2020, j’ai reçu un appel de la police qui m’informait que j’étais menacé de mort et m’annonçait que j’allais être mis immédiatement sous haute protection policière », rapporte celui qui, en 2007, a dénoncé les enlèvements extrajudiciaires et la torture pratiquée par la CIA avec la complicité de pays européens au lendemain du 11 septembre. FedPol estime qu’il court un danger de degré 5, le maximum, et lui propose de changer d’identité et d’adresse. « Degré 5, c’est disparaître, mais pour moi c’était totalement exclu », témoigne Dick Marty. « Donc on est resté jusqu’à aujourd’hui à un degré très haut : le degré 4. Ça n’a jamais existé en Suisse que quelqu’un reste aussi longtemps à un tel degré de danger. »
    Mesures de protection exceptionnelles

    Placé sous protection de degré 4, Dick Marty et son épouse accueillent chez eux des policiers « armés jusqu’aux dents », pendant quatre mois et demi. Se sachant sous surveillance, le Tessinois restreint ses contacts et ses communications au maximum. « Fin 2020, il m’a envoyé un message crypté me demandant de ne plus entrer en contact avec lui », confirme Franco Cavalli, ancien conseiller national socialiste qui est également son ami. « C’est choquant de penser qu’une telle chose puisse se passer en Suisse. »

    Aujourd’hui, les policiers en civils ne sont plus à demeure. Mais les mesures de protection sont toujours aussi importantes. La maison est truffée de caméras et équipée d’alarmes et d’une pièce sécurisée, une « safe room », où Dick Marty doit se réfugier en cas d’attaque. Des policiers en civil sont postés aux alentours.

    Lors de ses rares déplacements, Dick Marty porte un gilet par-balles, sa voiture est blindée et escortée par des véhicules de policiers en civil.

    Selon Dick Marty, "la menace vient apparemment de certains milieux des services de renseignement serbes qui ont demandé à la pègre, à des tueurs professionnels, de me liquider tout simplement pour faire retomber la faute sur les Kosovars. Quant aux tueurs, ils feraient partie « de la pègre ». « Il y a d’anciens combattants qui se sont spécialisés dans des meurtres sur mandat, sur commission, et donc il ne faut pas énormément d’argent pour faire liquider quelqu’un. »

    Selon l’enquête de Mise au Point, Fedpol a sonné l’alerte en décembre 2020 sur la base d’informations obtenues par les services de renseignement suisses. Une source confidentielle a informé ces derniers des éléments suivants, selon un document du Ministère public de la Confédération (MPC) que Mise au Point a pu se procurer : « Dick Marty doit être assassiné sur ordre des services secrets serbes. L’assassinat de Dick Marty aurait été confié à des hommes serbes qui exécutent depuis longtemps de telles missions pour les services secrets serbes et qui ont été formés par ces derniers. Il s’agirait de ’professionnels absolus’ qui maîtriseraient l’assassinat ’sans laisser de traces’. Pour l’attentat prévu, un Serbe aurait introduit des armes en Suisse dans le courant du mois de décembre 2020. Afin de profiter de l’attention de la presse liée à l’inculpation de Hashim Thaci, le meurtre devrait être présenté comme étant imputable au gouvernement kosovar/albanais (ex-UCK) afin de le discréditer au niveau international. »
    Discréditer le Kosovo

    Dans son pays, Hashim Thaci, 54 ans, est perçu comme un héros de la guerre d’indépendance contre la Serbie. Chef politique de l’Armée de libération du Kosovo (UCK), puis président du Kosovo, il a démissionné de son poste en novembre 2020 après avoir été inculpé de crimes de guerre et de crime contre l’humanité par un tribunal spécial (KSC) à La Haye. Il est actuellement incarcéré dans l’attente de son procès.

    En 2010, pour le Conseil de l’Europe, Dick Marty a rédigé un rapport dénonçant des crimes présumés commis par l’UCK, dont un trafic d’organes, rapport sur la base duquel l’enquête contre Hashim Thaci a été ouverte.

    Les nationalistes serbes n’ont jamais accepté l’indépendance du Kosovo, obtenue suite à l’intervention de l’Otan en 1999.

    « Apparemment, un service étatique veut m’éliminer pour discréditer son adversaire, c’est absolument inacceptable », déclare Dick Marty à Mise au Point. « Nos autorités judiciaires devraient réagir durement et rapidement. »
    Réactions des autorités

    Depuis 2020, le MPC et Fedpol ont tout mis en œuvre pour protéger physiquement Dick Marty. « Je suis très reconnaissant à toutes ces personnes, hommes et femmes, qui assurent ma protection, mais c’est clair que ça ne peut pas continuer indéfiniment de cette façon », souligne-t-il.

    Comme il s’agit d’un crime politique, le MPC a dû demander l’autorisation du Conseil fédéral pour ouvrir une enquête pénale, enquête qui a été ouverte en août 2021.

    Mais le MPC n’a pas encore lancé de commission rogatoire et le Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) n’aurait pas agi par la voie diplomatique pour réduire la menace. Début février, Dick Marty a écrit à FedPol avec copie au MPC : « Je leur dis qu’on ne peut pas continuer à se limiter à la seule protection de la cible, sans avoir une stratégie de neutralisation de la menace. Il ne s’agit pas uniquement de ma personne. Tous ceux qui s’engagent dans la recherche de la vérité méritent non seulement la protection mais aussi la justice. Ils méritent que ceux qui essayent d’attenter à leur vie soient poursuivis. On ne peut pas tolérer ça et moi il me semble qu’on est en train de le faire. »

    Suite à son courrier, les autorités judiciaires auraient décidé « d’envoyer fin avril des policiers à Belgrade pour s’entretenir avec leurs collègues serbes », une mesure que l’ancien procureur tessinois juge insuffisante.

    « Cela signifie que le Procureur de le Confédération ne se rendra pas en Serbie et qu’il ne déposera pas une demande d’assistance judiciaire et que Berne renonce à une action diplomatique. Tout cela malgré l’existence d’indices concrets d’un projet d’assassinat d’un ancien rapporteur du Conseil de l’Europe et sénateur suisse par les services de renseignement d’un pays étranger et des tueurs professionnels ! », s’insurge-t-il.

    Dominique de Buman, ancien conseiller national et ex-vice-président du PDC, estime qu’il y a un risque que la situation s’enlise. « Une personne comme Dick Marty ne peut pas être laissée en plan. On est dans un système suisse d’Etat de droit, où l’État protège ses citoyens contre des menaces injustifiées. Je pense et j’espère que la Confédération n’oubliera pas un de ses serviteurs quand même les plus éminents. »
    Crainte d’une crise internationale ?

    La Suisse craint-t-elle d’envenimer ses relations avec la Serbie alors que Berne est candidate à un siège au Conseil de sécurité de l’ONU ? Le DFAE craint-il de provoquer une crise entre Pristina et Belgrade ? Mise au Point a demandé au DFAE si des considérations politiques expliquaient l’absence d’action diplomatique. Sans répondre clairement à cette question, Pierre-Alain Eltschinger, le porte-parole du DFAE, a répondu : « Le DFAE est en contact avec les autorités partenaires, en premier lieu le Ministère public de la Confédération et Fedpol. En ce qui concerne les procédures pénales en cours, vous devez vous adresser au MPC, et en ce qui concerne les mesures de sécurité, à Fedpol. »

    Mise au Point a demandé au MPC pourquoi une commission rogatoire n’avait pas encore été lancée. La réponse du MPC est la suivante : « Outre les aspects pénaux, le cas implique notamment la garantie de la sécurité des personnes et présente également des composantes politiques en raison du contexte transnational présumé. C’est pourquoi divers services fédéraux et cantonaux sont impliqués dans le cadre de leurs compétences respectives. Dans ce contexte, le Ministère public de la Confédération, Fedpol et les autres autorités partenaires ont mis en place un vaste dispositif de mesures. »

    https://www.rts.ch/info/suisse/13007228-menace-de-mort-dick-marty-vit-sous-haute-protection-depuis-seize-mois.h

    #manace_de_mort #protection_policière #pègre

    • Dick Marty serait traqué par la pègre serbe

      L’ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) vit sous très haute protection policière depuis décembre 2020 en raison d’une menace jugée « sérieuse ». Le Ministère public de la Confédération (MPC) parle d’un « vaste dispositif de mesures ».

      Cet arsenal de mesures comprend notamment la sécurisation de l’environnement immédiat de l’ancien rapporteur du Conseil de l’Europe, a indiqué samedi soir le MPC à Keystone-ATS, confirmant des informations de la RTS et du TagesAnzeiger. Il s’agit notamment de la protection rapprochée lors d’apparitions dans l’espace public ou de mesures techniques de protection au domicile.

      Les mesures de sécurité et de protection sont toujours en place, précise le MPC qui ne donne pas de détails, pour éviter de nuire inutilement à leur efficacité.

      Selon Dick Marty, interviewé par « Mise au Point », « la menace vient apparemment de certains milieux des services de renseignement serbes qui ont demandé à la pègre, à des tueurs professionnels, de me liquider tout simplement pour faire retomber la faute sur les Kosovars. » Les tueurs feraient partie « de la pègre ». « Il y a d’anciens combattants qui se sont spécialisés dans des meurtres sur mandat, sur commission, et donc il ne faut pas énormément d’argent pour faire liquider quelqu’un. »

      https://www.blick.ch/fr/news/suisse/sous-tres-haute-protection-dick-marty-serait-traque-par-la-pegre-serbe-id17393