Le vote métropolitain et ses fractures : l’exemple de Montpellier

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  • Le vote métropolitain et ses fractures : l’exemple de #Montpellier
    https://theconversation.com/le-vote-metropolitain-et-ses-fractures-lexemple-de-montpellier-1811

    Notre double focale sociale et politique permet donc d’invalider deux thèses complaisamment entretenues à propos du vote urbain : les populismes de gauche et de droite se renverraient dos-à-dos auprès d’un même électorat ; le vote périphérique serait géographiquement homogène.

    Si l’on voit que le vote Mélenchon n’occupe pas les mêmes zones de force que le vote Le Pen, c’est parce qu’ils sont sociologiquement et politiquement distincts.

    L’autre enseignement, valable à Montpellier comme dans les autres métropoles, est le décalage abyssal entre la politique nationale et la politique territoriale, pour l’essentiel gouvernée par des partis en déroute.

    • y a pas assez d’électeurs de l’extrême droite

      alors la Rem qui sert de marchepied au RN en rajoute :

      Les mirobolantes notes de frais de la députée Coralie Dubost
      https://www.mediapart.fr/journal/france/290422/les-mirobolantes-notes-de-frais-de-la-deputee-coralie-dubost

      Étoile montante de la majorité, Coralie Dubost a été épinglée, dans un rapport confidentiel remis au déontologue de l’Assemblée nationale, pour la gestion de ses collaborateurs et de ses frais de mandat. Après-midi à la plage, lingerie, garde-robe : la députée LREM explique avoir remboursé les dépenses problématiques.

      Passer des après-midi sur une plage privée au bord de la Méditerranée aux frais du contribuable est tout à fait légitime. C’est en tout cas l’avis de la députée Coralie Dubost, qui explique à Mediapart qu’il s’agissait de simples réunions de travail avec son équipe. Mais ce n’est pas tout : l’élue de la troisième circonscription de l’Hérault, étoile montante de La République en marche (LREM) et présidente déléguée du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale, a multiplié les usages inappropriés de ses frais de mandat, selon des informations de Mediapart.
      En plus de ses escapades à la plage ou au bord de la piscine d’un célèbre domaine de la région de Montpellier, la députée a également effectué des achats astronomiques (jusqu’à 3 000 euros par mois) en vêtements et lingerie.
      À tel point que l’enveloppe de frais mensuels de 5 373 euros allouée par l’Assemblée ne lui a pas suffi : début 2019, face à un découvert dépassant les 7 000 euros, elle a contracté un prêt auprès de La Banque postale, qui gère les comptes AFM (avance de frais de mandat) de chaque parlementaire, prétextant des travaux (en réalité inexistants) qu’elle aurait eu à faire dans sa permanence.
      Sollicitée par Mediapart, la députée explique avoir désormais tout remis en ordre, en procédant à des remboursements de frais indus, après avoir fait l’objet, pour les années 2018 et 2019, d’un contrôle opéré par la déontologue de l’Assemblée nationale.