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  • Tombé il y a quelques jours sur cet article de Ouest-France qui relate le déroulement d’un stage effectué par les #PSIG (peletons de sécurité et d’intervention de la gendarmerie) lequel stage aurait eu (officiellement) pour mission de ramener à la raison (d’état) d’éventuels forcenés ou des « survivalistes qui connaissent bien le terrain ».
    https://www.ouest-france.fr/politique/defense/gendarmerie/pres-d-angers-un-stage-de-combat-en-foret-pour-les-gendarmes-f604c84c-b

    Quelques sources plus tard :

    Comment les PSIG se préparent-ils à intervenir en forêt ?
    https://www.gendinfo.fr/sur-le-terrain/immersion/2022/comment-les-psig-se-preparent-ils-a-intervenir-en-foret

    Pour les PSIG de la région des Pays de la Loire, à l’exception de ceux du Groupement de gendarmerie départementale (GGD) de la Sarthe, comme pour les militaires, ce type d’entraînement est une première. Du 29 au 30 mars, pas moins de 38 gendarmes ont ainsi suivi cette instruction, essentiellement tournée vers le combat en milieu ouvert. Pour les unités comme celle de l’adjudant-chef Christophe, c’est presque une découverte : « Nous sommes plus habitués à travailler en milieu urbain », admet le commandant du PSIG de Château-Gontier-sur-Mayenne.
    Pourtant, de Saint-Just, dans le Puy-de-Dôme, à la Dordogne, en passant par les Cévennes et les Hautes-Alpes, « on se rend compte que dorénavant, nous sommes de plus en plus amenés à intervenir en forêt », constate le chef d’escadron Sébastien. C’est grâce à sa casquette d’OIP (Officier Intervention Professionnelle) régional que ce stage a pu se monter. Pour lui, par habitude de travailler dans des milieux urbains et fermés, les PSIG « ont perdu l’essence même de leur notion de combattant et ce travail en milieu rural. »

    Vous la sentez la grosse reprise en main de la cambrousse par les "partis de l’ordre" ?