Elisabeth Borne vue par Pascal Auzannet
▻https://www.lejournaldugrandparis.fr/elisabeth-borne-vue-par-pascal-auzannet
Elisabeth Borne vue par Pascal Auzannet
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Élisabeth Borne à Matignon : en marche pour une guerre sociale sans borne :p
▻https://linsoumission.fr/2022/05/16/elisabeth-borne-premiere-ministre/?v=8
1, Ses conflits d’intérêts
2, Des contrats en or pr les concessionnaires d’autoroute
3, La fin du statut de cheminot
4, Le rail ouvert à la concurrence
5, Les attaques contre les chômeurs
6, Un cadeau fiscal à l’huile de palme
7, La gestion lamentable de l’après Lubrizol
L’alignement néo-libéral parfait...
#LaDRHenKalachnikov
Aurélien Rousseau, directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. De gauche ? L’ex-communiste est passé par le cabinet de Valls avant de gérer la crise sanitaire à l’ARS. Il est marié à Marguerite Cazeneuve, ex-McKinsey, chargée de la réforme des retraites...
▻https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/05/17/aurelien-rousseau-un-ex-communiste-nomme-directeur-du-cabinet-d-elisabeth-bo
On comprend pourquoi il fallait changer le nom de La République en marche (arrière). Après le retour du sortant, le choix d’une 1e ministre issue du précédent gvt confirme l’absence de renouvellement d’un pouvoir crépusculaire.
▻https://twitter.com/gunthert/status/1526246562791313408?cxt=HHwWgMCy7bLKqK4qAAAA
Et tout le monde oublie de porter à son crédit 10 ans de démolition programmée du droit de l’environnement et des politiques publiques du secteur...
En voilà un qui ne fera pas parti du futur gouvernement Macron 2. Il avait déjà anticipé sa reconversion dans... le luxe, comme tout bon macroniste qui se respecte.
Un thread de Salomé Saqué sur Twitter.
▻https://twitter.com/salomesaque/status/1526184420998361091
Pourquoi la reconversion du ministre des transports dans le secteur des voitures de luxe fait scandale. Thread.
Borne à Matignon : la techno parade
▻http://noslendemains.fr/borne-a-matignon-la-techno-parade
Dans ce décor médiatico-politique confus qui fait l’impasse sur l’essentiel, le joker Élisabeth Borne a donc obtenu le poste. Certains éditorialistes zélés, qui chouchoutent l’Élysée en boucle contre vents et marées populaires, ont cru voir dans cette nomination un « marqueur à gauche ». La bonne blague. L’ancienne ministre du Transport, puis de la Transition écologique et enfin du Travail, est certes une femme, archi bosseuse et méritante. Mais extrême macroniste. Super technocrate. Jamais élue jusque-là, toujours nommée. Capable d’imposer la réforme de l’Assurance chômage contre l’avis de l’ensemble des syndicats, dont la CFDT de Laurent Berger, pourtant réputée constructive.
Lundi soir, la nouvelle Première ministre, « catéchumène du néo-libéralisme » et « parmi les figures les plus dures de la maltraitance sociale » selon Jean-Luc Mélenchon qui se verrait bien lui succéder, a fait pleurer la télé connivente. Élisabeth Borne a dédié sa promo à toutes les petites filles, les conviant à aller au bout de leurs rêves, comme elle, comme d’autres femmes au parcours techno-ascensionnel remarquable. Il ne faudrait pas qu’à force les petits garçons se sentent lésés. Il ne faudrait pas non plus que l’accession au pouvoir par le travail devienne LE schéma onirique imposé aux enfants, au détriment d’options qui promeuvent la fantaisie et le bien-être improductif. Loin de la start-up nation et de sa novlangue, qui creusent le fossé entre la caste des hors sol et le reste du monde.