« Pendant qu’on regarde ses magouilles avec Uber, Macron fait des selfies avec le PDG de Binance, chouette entreprise de crypto accusée de blanchiment d’argent.
Ce n’est pas un Président, c’est une association de malfaiteurs…
#UberFiles #MacronDegage »
Ce n’est pas une petite affaire, Binance.
On parle en milliards…
▻https://www.reuters.com/legal/government/how-crypto-giant-binance-became-hub-hackers-fraudsters-drug-traffickers-202
▻https://twitter.com/realmarcel1/status/1547300665386586113?cxt=HHwWgsC-kbvwjvkqAAAA
Halluciné, hallucinant...
« Il ressort des Uber Files que Macron aurait peser sur la fabrique de la loi »
Des amendements livrés clé en main aux députés, des économistes payés par la célèbre plateforme, un ministre de l’époque à la manoeuvre en coulisses, à savoir Macron : c’est tout un système de lobbying opaque, aux frontières de l’inavouable, que les Uber Files viennent de révéler. L’économiste Laurence Scialom, membre du conseil d’administration de l’Observatoire de l’Éthique Publique, livre à QG les réflexions que lui inspire cette affaire grave, impliquant l’actuel président de la République
▻https://qg.media/2022/07/23/lexecutif-a-une-approche-tres-verticale-de-la-prise-de-decision-publique-qui-l