• Tour de France 2022 : arrosage de la route, bidons pour les spectateurs… La canicule oblige les organisateurs à prendre des mesures lors de la 15e étape

    https://www.francetvinfo.fr/tour-de-france/tour-de-france-2022-la-canicule-oblige-les-organisateurs-a-prendre-des-

    https://www.francetvinfo.fr/pictures/-9RxRRyKD0TOU3pjABlALLQ675Y/1500x843/2022/07/17/phpYaCnhx.jpg

    Il va faire chaud, très chaud, sur les routes du Tour de France. En Occitanie, entre Rodez et Carcassonne pour la quinzième étape, dimanche 17 juillet, plus de 40 degrés sont prévus au plus fort de l’après-midi. Des températures qui ont poussé l’organisation, en accord avec l’UCI, le médecin en chef et les équipes en lice, à prendre des dispositions « pour protéger la santé des coureurs ».

    Alimentons la polémique… Donc le Tour de France va arroser les routes surchauffées pour « pour protéger la santé des coureurs »… à quel moment tu te dis que c’est plus efficace pour les protéger… de ne pas les faire rouler sous 40°C au soleil ??

    L’organisation va aussi, avant le passage des coureurs sur les routes, arroser le bitume occitan afin d’en faire baisser la température. Celle-ci dépassant parfois les 70 degrés au sol (un record), l’organisation a prévu un stock de 10 000 litres d’eau afin de refroidir l’asphalte.

    #gorafi_encore_plagié #tour_de_france #climat

    • https://www.charentelibre.fr/sport/cyclisme/tour-de-france/video-le-tour-de-france-arrose-t-il-vraiment-les-routes-pour-rafraichi

      Tout est normal en fait.

      Face au tollé en pleine vague d’incendies en Gironde ou dans Sud-Est, l’organisateur du Tour a rapidement pris la parole. Pierre-Yves Thouault, le directeur adjoint du Tour de France, de clarifier, dans Le Parisien. « Il est évidemment hors de question d’arroser le parcours pour le confort des coureurs, explique-t-il. La réalité est bien différente et concerne uniquement la sécurité des coureurs. Avec le camion patrouilleur qui passe juste devant la caravane, nous avons identifié des zones qui, bout à bout, feraient entre 150 et 200 mètres de ce qu’on appelle des zones de ressuage.

      À cause de la chaleur, le goudron fond et fait des coulées glissantes sur la route.

      C’est-à-dire où, à cause de la chaleur, le goudron fond et fait des coulées glissantes sur la route. Là, elles seront arrosées pour les refroidir. Sinon les coureurs pourraient glisser dessus et se faire très mal. Ce qu’on nous reprocherait. Le chiffre de 10 000 litres déversés est fantaisiste. Nous sommes parfaitement respectueux de l’environnement et ne faisons pas n’importe quoi. »