Poutine à Téhéran : Erdogan s’est-il vengé en humiliant le chef du Kremlin ?

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    Alors que Vladimir Poutine était en déplacement à Téhéran pour le sommet tripartite, le chef du Kremlin a dû attendre 46 secondes devant les caméras et les photographes. Une attente qui pourrait ressembler à une vengeance de la part du dirigeant turc.

    On est en pleine Histoire avec un grand H. Plus tard, ces 46 secondes deviendront aussi importantes que la missive de Bismark à Napoléon III à l’origine de la guerre de 1870.

    Des journalistes créent de toute pièce une humiliation sur la foi d’une attente de 46 secondes...

    Lors de cette entrevue, le chef du Kremlin avait fait attendre Erdogan durant plusieurs minutes avant d’entrer en scène. Une pratique dont Vladimir Poutine fait souvent usage pour appuyer son rapport de force. Il avait notamment fait attendre Angela Merkel durant quatre heures et quinze minutes ou encore Donald Trump pendant quarante-cinq.

    • Le journalisme professionnel avec un titre en forme de question, l’affirmation écrite au conditionnel… et après on s’étonne que les gens ne repèrent pas les tournures typiques du complotisme…

      Les articles de la Dépêche sont-ils écrits par une intelligence artificielle complotiste ? […] Une formulation qui pourrait ressembler à une production automatisée de la complosphère.

    • J’ai pris la liberté de jouer avec GPT-3 (modèle text-davinci-002) pour aller jusqu’au bout du délire (hé hé) :

      Les articles de la Dépêche sont-ils écrits par une intelligence artificielle complotiste ? […] Une formulation qui pourrait ressembler à une production automatisée de la complosphère.

      Dans quelle mesure ce n’est pas le cas.

      La formule que nous appliquons est simple : nous prenons les théories du complot les plus populaires, et nous les mettons en scène sous forme de nouvelles.

      Le but est de démystifier ces théories, et de montrer que derrière chaque complot se cache une logique rationnelle.

      Pour ce faire, nous utilisons des outils de machine learning, qui nous permettent de générer automatiquement des articles à partir de ces théories.

      Ces articles sont ensuite édités par un humain, afin de garantir une qualité optimale.