• La nouvelle façon de traiter le sujet est trop mignonne : on n’en est plus trop (à part le ministre de la santé) à se demander si ça « repart à la hausse », on en est à te faire des « infographies » pour savoir où ça repart le plus à la hausse :
    https://www.ladepeche.fr/2022/09/19/infographies-covid-19-en-france-dans-quels-departements-lepidemie-repart-e

    INFOGRAPHIES. Covid-19 : en France, dans quels départements l’épidémie repart-elle le plus à la hausse ?

    • Ah ba, voilà  : c’est bas à Paris, donc RAS.
      Comme la canicule  : à la seconde où il fait bon à Paris, pouf, on en parle plus  !

      Et toujours la bêtise abyssale sur l’inertie pandémique  : non, les gens ne courent pas aux urgences à la première goutte au nez.
      D’abord, ils sont pas bien et incriminent les courants d’air et les clims, puis, ils partent en couilles et vont consulter la semaine suivante pour quand leur MG (ceux qui en ont encore un, hein  !) a de la place. Là, on leur donne une fois sur deux des antibios… autant dire que ceux qui arrivent à la case PCR, ils sont soit super paranos, soit au bout de leur vie en mode superspreader depuis au moins 15 jours.

      S’ils se sont dégradés + vite, ils auront éventuellement été admis aux urgences pour maladie mystérieuse et il peut éventuellement arriver qu’un interne parano prescrive un PCR (il se fera engueuler par le patron parce que la pandémie est finie, même Biden, il est d’accord  !) et qu’on finisse par trouver une trace du truc qui a eu 200 fois le temps de buter son vecteur bien discrétos ou de se faire laminer par les AC.

      Alors oui, les montées en hospi, c’est pas pour tout de suite, ducon, et l’explosion des décès, ce sera comme d’hab’ juste avant les putains de vacances  !

      (comment ça, je suis énervée  ?)