Le dehors est toujours dedans
Il est difficile de parler d’un ouvrage inachevé, non seulement à cause des manques mais aussi de possibles réaménagements induits par l’écriture et l’exposition des idées. Mon attention s’est plutôt fixée sur quelques parties, sans préjuger de leur importance dans l’économie générale probable de l’ouvrage. Une lecture au fil de l’eau.
Le début du livre me semble très important. Daniel Bensaïd y critique la transposition anachronique de la servitude (La Boétie) à l’analyse des comportements dans le système capitaliste car « Dans l’État moderne, au contraire, la domination impersonnelle – et non plus la servitude – s’enracine dans l’objectivation des rapports sociaux chosifiés. ».
note sur : Daniel Bensaïd : Le spectacle , stade ultime du fétichisme de la marchandise
Marx, Marcuse, Debord, Lefebvre, Braudillard
▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2011/05/09/le-dehors-est-toujours-dedans