(...) nous devons trouver un chemin raisonnable de transition, sans invoquer à tout bout de champ « la fin du monde » que constituerait une planète à +3 ou +4 °C. Etre rationnel. (...)
Un type de plus qui te dit que +3 ou +4°C, c’est en quelque sorte acté, et que ça va bien se passer. (Le précédent dans ma liste, c’était Béchu, le type qui touchait un salaire payé sur nos impôts avec le titre de ministre de l’écologie)
C’est oublier que ces degrés de plus, ils ont pour conséquence très concrète ce qu’on voit ces jours-ci, à savoir des inondations centenales tous les 3 ans, avec comme conséquence suivante, l’abandon de ces zones par les assureurs, avec comme conséquence suivante de la précarisation à venir de zones géographiques entières...
Mais apparemment, ces gens, en même temps qu’ils te disent que ça va bien se passer, ils te disent qu’il ne faut pas les matraquer d’impôts, et qu’il ne faut pas leur demander de participer à atténuer les effets de ces 3 ou 4 degrés, parce que eux, ils bossent à l’avenir, le vrai, celui qui apparemment n’a aucun rapport avec ces degrés supplémentaires.
Ces gens sont d’une prétention consternante (je me répète, je sais...).