• Propos de Mélenchon sur la BRAV-M : une enquête ouverte pour « injure publique »
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/03/31/propos-de-melenchon-sur-la-brav-m-une-enquete-ouverte-pour-injure-publique_6

    Une enquête a été ouverte pour « injure publique envers personne dépositaire de l’autorité publique » après des propos de Jean-Luc Mélenchon sur la Brigade de répression de l’action violente motocycliste (BRAV-M) signalés par le préfet de police, Laurent Nunez, a rapporté vendredi 31 mars à l’AFP le parquet de Paris, confirmant une information du Parisien.
    Cette enquête, ouverte depuis mercredi et confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes, vise le chef de file de La France insoumise (LFI) après des propos tenus dimanche sur la BRAV-M, une unité mise en cause récemment dans plusieurs affaires de violences policières dans le cadre des manifestations contre la réforme des retraites.
    Sur LCI, Jean-Luc Mélenchon avait déclaré au sujet des membres de cette unité : « Nous enverrons ces jeunes gens se faire soigner ». « Vous imaginez ce que c’est que de dire je suis volontaire pour monter sur une moto et tabasser des gens en passant ? C’est manifester un état d’esprit qui ne me convient pas et que je trouve anormal », avait poursuivi le dirigeant « insoumis », ajoutant : « Pour moi, ce n’est pas une activité normale ». « Il y a toutes sortes de violences pour lesquelles ont fait des soins, des auditions, on réfléchit », avait-il encore dit.

    [...]
    Le parquet de Paris a confirmé que son enquête visait également l’avocat Arié Alimi, qui fait l’objet d’un signalement distinct du préfet de police. Sur RMC, le 22 mars, il avait déclaré que les BRAV-M « sont un certain type de policiers engagés volontaires, qui recherchent la violence, c’est comme ça qu’on les sélectionne, qui sont lancés dans les rues de Paris avec des matraques et des armes, qui brisent les os et qui font des chasses à l’homme comme on le voit sur les images à longueur de journée en ce moment ».
    Arié Alimi défend régulièrement des personnes victimes de violences policières, comme la famille de Cédric Chouviat, un livreur mort à Paris à la suite d’une interpellation début 2020.

    (...) Laurent Nunez avait prévenu que « désormais, quelle que soit la personne qui tient ces propos – un responsable politique, un avocat – », il saisirait « systématiquement la justice de ces insultes ».

    • large spectre, comme les antibiotiques :-)

      Ceci dit, là, ça vise quand même des bactéries islamo-gauchistes ; et même assez spécifiques celles qui sont médiatiques.

      Le Laurent Bigot, ex sous-préfet sur la vidéo ci dessous citée, il insulte aussi la BRAV-M, et même toute la police ; il y traite les nouvelles recrues de « teubé » et les fonctionnaires de la BRAV-M de « voyous » de dernière zone. En public sur utube. Il a été inquiété par l’antibiotique ?

      https://seenthis.net/messages/996505#message996892
      https://www.youtube.com/watch?v=8H2SQUrSROs

    • Ferjou qui se fait remettre en place par un avocat pourtant bien à droite Carbon de Seze qui souligne la pertinence de la question posée par Melenchon !

      https://video.twimg.com/ext_tw_video/1641916882876788737/pu/vid/688x370/DCWrsRNXWh8b8hHZ.mp4?tag=12

      « le vrai sujet c’est de savoir s’il y a une violence favorisée par le fait qu’on leur donne des ordres ; la question que pose Melenchon c’est de savoir si on apprendra plus tard que la #BRAV-M s’est transformé en garde prétorienne du gouvernement »

      https://twitter.com/achabus/status/1641917289099304962?cxt=HHwWhICx9efEocktAAAA

    • En fait, Laurent Bigot a déjà été puni, il y a longtemps.
      https://lemondeencommun.info/laurent-bigot-avoir-la-connaissance-dune-zone-geographique-signifi

      Arnaud Le Gall : on ne peut commencer sans évoquer le limogeage que vous avez subi en 2013, car il apporte un éclairage sur les conditions d’élaboration de l’action internationale de la France notamment en Afrique. Le traitement que vous avez subi signifie-t-il qu’il n’y a plus de lieu d’élaboration de l’action internationale confrontant les points de vue ?

      Laurent Bigot : Précisons d’abord qu’un seul propos critique de ma part a été rendu public, malgré moi. Il s’agissait d’une conférence sur le Mali tenue à l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI) en juin 2012, à l’occasion de laquelle j’ai fait une petite incise sur le Burkina Faso. J’annonçais qu’il allait être le prochain pays à s’effondrer et cela est arrivé en octobre 2014 avec la chute de Blaise Compaoré, et aujourd’hui la situation sécuritaire de ce pays est dramatique. Cette conférence été diffusée publiquement alors qu’elle ne devait pas l’être puisqu’elle se déroulait selon les règles de Chatham House [NDLR : règles spécifiant que les participants à une rencontre sont libres d’utiliser les informations collectées à cette occasion, mais ils ne doivent révéler ni l’identité, ni l’affiliation des personnes à l’origine de ces informations, de même qu’ils ne doivent pas révéler l’identité des autres participants].

      Mes propos ont été diffusés par l’IFRI alors que ce n’était pas ce qu’on avait convenu au départ. Ce sont les seuls propos rendus publics que j’ai tenus. Toutes les réflexions que j’ai par ailleurs eu sur le Mali étaient exprimées dans le cadre de notes internes. Je ne faisais là que mon travail, c’est-à-dire que j’élaborais des notes en interne, je faisais des analyses avec mes collaborateurs, et on faisait des propositions.

      J’ai tout de suite dit, quand l’opération Serval a été déclenché, en janvier 2013, qu’on était dans une impasse stratégique car on ne pensait pas la suite de l’opération militaire et qu’on allait probablement s’embourber.

      Malheureusement, les faits m’ont donné raison. Ces critiques en interne ont beaucoup dérangé au Quai d’Orsay. A ce moment Laurent Fabius était ministre des affaires étrangères. La directrice Afrique qui était là depuis seulement neuf mois a été renvoyée sans aucune explication, ensuite c’est ma tête qui a été coupée, puis celle de Christian Rouyer, notre ambassadeur au Mali. Une voix très libre qui n’écrivait pas pour faire plaisir au ministre. Il était très loyal, obéissait aux ordres, mais dans la phase amont de la décision il n’hésitait pas à tenir un propos très libre. Cela a dérangé Laurent Fabius, qui l’a démis de ses fonctions en pleine opération militaire alors que c’était un ambassadeur très apprécié de la communauté française et des autorités maliennes. C’est un grand professionnel, qui a, peu après, connu de graves problèmes de santé, liés pour moi au choc qu’il avait subi en étant renvoyé comme un malpropre de son poste.

      Ce refus de tout débat au sein du Quai d’Orsay s’est poursuivi au-delà de Laurent Fabius. Cela dépasse d’ailleurs le cadre du Quai d’Orsay. Sur un sujet qui n’a rien à avoir avec l’Afrique, à savoir la gestion de la crise Covid, on voit que le gouvernement ne souhaite pas qu’il y ait de débat au Parlement. C’est devenu une façon de fonctionner très binaire. Soit vous êtes avec moi, soit vous êtes contre moi. Toute voix qui permettrait de questionner ou d’envisager d’autres politiques possibles, est forcément celle d’un adversaire. Ce qu’on voit dans l’espace public, parlementaire, correspond exactement à ce qui se passe dans l’administration.

      Je n’arrive pas à déterminer son bord.

    • Je n’arrive pas à déterminer son bord.

      C’est un haut fonctionnaire serviteur de l’état à qui il a fait allégeance et (n’en doutons pas) il restera fidèle. Il s’était bien adapté au biotope de la « france-à-fric » et de ses éminences grises diplomatiques. De plus, il a occupé des postes à responsabilité au sein de de l’institution policière.
      Ex dir-cab de la préfecture de police, sous-préfet, consultant à « géométrie variable » au vu de toutes les pages que j’ai trouvées, j’éprouve un certain sentiment de confusion par rapport à son parcours comme s’il pratiquait un certain art à se dissimuler derrière de multiples facettes. Et il n’a pas encore sa « fiche » ...

      https://fr.wikipedia.org/w/index.php?search=Laurent+Bigot&title=Sp%C3%A9cial:Recherche&profile=ad

      Ceci dit, ses révélations sont « précieuses » en ces temps troublés ...

  • Rififi à la CGT | Mediapart | 26.03.23

    https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/260323/la-cgt-tourne-la-page-philippe-martinez-dans-l-incertitude

    Le choix de Marie Buisson ou de Céline Verzeletti ne réglera de toute manière pas les problèmes de la CGT d’un coup de baguette magique. Quatre ans après le précédent congrès, les incertitudes sur son avenir ne sont pas levées. Forte de plus de 600 000 adhérents, et avec des nouvelles adhésions en nombre depuis le début du mouvement contre la réforme des retraites, la CGT n’en est pas moins en déclin de ce point de vue.

    Surtout, c’est sous la direction de Philippe Martinez que la CGT a été dépassée par la CFDT en nombre d’électeurs, rétrogradant en deuxième position. « Elle perd des centaines de milliers de voix aux élections professionnelles, rappelle Karel Yon. Les autres syndicats aussi, mais à une vitesse moins forte. Et ce problème-là, personne ne veut en parler dans le syndicat. »

    • Congrès confédéral de la CGT cette semaine, le 53ème ; Buisson - de la fédé Éducation et préférée de Martinez - est donnée gagnante - mais. L’article et l’intéressée indiquent aussi que, pour ce que ça veut dire de gagner le vote de la tête de la direction à la CGT, pas sûr que le résultat soit si important.

      « Même si les grosses fédés préfèrent Céline Verzeletti, les UD sont légitimistes et suivront Philippe Martinez, même en bougonnant », avance l’un. « C’est du 50-50, incertitude totale », prévient un autre.

      Un scénario revient souvent dans les pronostics : Marie Buisson pourrait être élue, en échange d’une entrée massive au comité exécutif, voire au bureau confédéral, des tenants d’une ligne plus « dure » ou « identitaire » que celle qu’elle porte. « Elle a pour l’instant du mal à constituer son équipe », relève un bon connaisseur.

    • aujourd’hui, le rapport d’activité de la direction confédérale est rejeté par 50.32% des congressistes.

      vidéos du congrès

      « Camarade Martinez, qui t’a donné mandat, pour parler de médiation, alors que les camarades sont dans la rue » Murielle Morand.
      #CongresCGT #CGT #Manif28Mars
      #greve28mars

      https://twitter.com/KadoKero/status/1640744778290671616

      « Nous ne voulons pas devenir un syndicat de concertation et d’accompagnement, à la remorque de la CFDT ».

      https://twitter.com/KadoKero/status/1640746507342151682

      « L’arme des travailleurs, c’est la grève, et il faut de toutes nos forces, construire la grève générale » Murielle Morand

      https://twitter.com/KadoKero/status/1640747944818212864

    • Surprise ! La direction de la CGT essuie un revers majeur lors de son 53e Congrès
      https://www.francetvinfo.fr/economie/syndicats/la-direction-de-la-cgt-essuie-un-revers-majeur-lors-de-son-53e-congres_

      Les délégués de la centrale syndicale ont rejeté le rapport d’activité de la direction sortante, une première dans l’histoire récente.


      [le premier, désavoué par la majorité des présents regarde le plafond, le second est catastrophé] Le numéro un sortant de la CGT, Philippe Martinez, et son prédécesseur, Bernard Thibault, le 27 mars 2023 à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). (JEFF PACHOUD / AFP)

      Mauvaise surprise pour Philippe Martinez. Le 53e Congrès de la CGT, qui s’était ouvert lundi dans une atmosphère très tendue, a été mardi 28 mars le théâtre d’un vote de défiance inattendu vis-à-vis de la direction sortante. Un vote qui accroit le suspense sur la succession du numéro un de la centrale syndicale.

    • une version gauchiste proposent une critique interne (les minorités disposent d’une marge de liberté d’analyse et d’expression qui peut autoriser une pertinence introuvable ailleurs)
      53e Congrès de la CGT : Remettre la question de la structuration au cœur du débat
      https://revolutionproletarienne.wordpress.com/2023/02/06/53e-congres-de-la-cgt-remettre-la-question-de-la-

      (...) alors que le démantèlement des collectifs de travail se poursuit, sous la férule toujours aussi impitoyable des besoins de l’accumulation du capital, la principale organisation syndicale de lutte en France va tenir un congrès dans un état de divisions qui s’est amplifié ces deux dernières années. Encore une fois les grandes difficultés de la CGT se traduisent dans la personnalisation.

      (...) la part des « isolé.es », directement rattaché.es dans une Union locale. Au niveau national elle passe de 11,6 % en 2016 à 15 % en 2020 (91 514).

    • pour part, rapido, je dirais cogestion (actuellement, c’est en pleine lutte ouverte, pas facile à tenir ! être à la remorque de la CFDT pour la remplacer) vs lutte de classe (avec stals, campistes, mascus, etc, incorporated, mais pas seulement), sur fond d’#autonomie_ouvrière qui fait USAGE du syndicat (remember la grève Ratp 2019 qui contraignit la confédé à suivre, les grévistes de divers endroits : commerce, logistique)

    • 10 QUESTIONS SUR LE SYNDICALISME Guillaume Goutte [Note de lecture]
      https://antiopees.noblogs.org/post/2023/03/25/10-questions-sur-le-syndicalisme-mars-2023

      On peut se montrer quelque peu sceptique quant au potentiel révolutionnaire des syndicats (j’avoue que c’est mon cas). Mais on aurait tort de les mépriser (à l’instar du monarque républicain suscité). C’est pourquoi je recommande la lecture de cet abrégé du #syndicalisme.

      Son auteur, Guillaume Goutte, se présente comme « militant syndicaliste, adhérent de la Confédération générale du travail (CGT), actif et en responsabilité au sein du Syndicat général du Livre et de la communication écrite ». Un peu plus loin, il ajoute : « Le livre part du postulat que le syndicalisme est non seulement nécessaire, mais qu’il doit aussi être indépendant et se donner les moyens d’incarner une pratique autonome de la lutte de classe. »

      #lutte_de_classe

    • trois fils twitter pour une cégétologie amateure : le cas Mateu

      recul sur les discriminations (objet d’un gros taff féministe dans la CGT) et soutien aux violeurs de la cgt

      Depuis 1999, la CGT a choisi la parité comme mode de fonctionnement. Ce que ne dit pas ce tweet c´est que la modification en question concerne justement cette règle : Mateu n´a pas de colistière.

      https://twitter.com/angry_prof39/status/1640607968063258624

      raciste, il a rallié sa fédération syndicale a la FSMondiale, groupement de syndicats lié aux dictatures, son internationalisme c’est Bachar Al Assad, Poutine et que les migrants crèvent en mer ou chez eux surtout.

      Mateu qui refuse de signer un appel à manifester contre la loi Darmanin et qui ose nous dire comment lutter ... Et si vous connaissiez les arguments de son refus on croit lire du PS ..

      https://twitter.com/ChriLeblanc/status/1640608925811703814

      Mateu s’en sortira pas seul, il propose une alliance à l’ex-matonne opposée à la dauphine de Martinez...

      La Cgt vit un congrès historique et les travailleurs nous regardent. On doit ressortir unis pour aller à la victoire. J’ai proposé à @celineverzeletti co-sec générale de
      @UFSE_CGT
      de mener ce combat chacun comme co-secrétaire général. Avec une Cgt rassemblée, nous gagnerons. #cgt

      https://twitter.com/OlivierMateu/status/1640962091451314177

      ces histoires de direction fleurent bon de part et d’autre les... contradictions au sein du peuple

    • Sophie Binet succède à Philippe Martinez à la tête de la CGT
      https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/03/31/sophie-binet-succede-a-philippe-martinez-a-la-tete-de-la-cgt_6167702_823448.

      Après le rejet de la candidature de Marie Buisson, que poussait l’équipe sortante, la commission exécutive confédérale a élu la secrétaire générale de l’Ugict, le syndicat des cadres de la CGT, à la tête de la centrale syndicale.

      formée dans la lutte contre le CPE, comme membre du BN de l’Unef (orga dont les manipulations en milieu étudiant ont discrédité à l’époque et jusqu’à aujourd’hui la modalité de l’assemblée générale...) en charge de l’égalité F/H. à venir, la réponse de la bergère au berger ?

      #cégétologie

      edit du côté de l’aire Mateu ou « courant révolutionnaire »
      @Matchou75
      https://twitter.com/Matchou75/status/1641706576946798592

      La CGT devient officiellement une CFDT bis.
      L’UGICT est complètement tournée vers les cadres (et techniciens).
      Dans la Fonction Publique ils ignorent les agents de catégories C et B qui se font pourtant rattraper par la précarité et dont les salaires sont dépassés par le SMIC.

      Sophie Binet en presse en janvier dernier (retraites et cause des #femmes)
      https://seenthis.net/messages/987684

      son élection, dans L’Humanité
      https://seenthis.net/messages/996949

    • version AFP 10h48 - notez le titre « la puissante CGT » :-)

      France : Sophie Binet prend la tête de la puissante CGT en plein conflit sur les retraites

      Agence France-Presse

      31 mars 2023 à 10h48

      La CGT, le puissant syndicat opposé à la réforme des retraites en France, a désigné à la surprise générale vendredi Sophie Binet à sa tête, première femme à diriger l’organisation depuis sa création en 1895, ont indiqué des membres de la direction à l’AFP.

      Ce coup de théâtre survient après une semaine de congrès houleux, en pleine bataille contre la réforme des retraite et à quelques jours d’une réunion de l’intersyndicale à Matignon, une invitation proposée par la Première ministre.

      Candidate « par défaut » selon certains, Sophie Binet aura la lourde tâche de recoller les morceaux d’une CGT profondément divisée, à un moment où la centrale est en première ligne dans la lutte contre la réforme des retraites.

      Cette élection survient au terme d’une nuit de tractations au cours de laquelle aucune des deux candidates jusqu’alors pressenties, Marie Buisson, la dauphine du secrétaire général sortant Philippe Martinez, et Céline Verzeletti, ne sont parvenues à faire consensus sur leur nom.

      Sophie Binet, née en 1982, est une ancienne membre du syndicat étudiant Unef et ancienne CPE (Conseillère principale d’orientation). Elle était à la tête de la Fédération des cadres (Ugict) depuis 2018.

      Issue de la Commission exécutive confédérale, la direction élargie de la CGT, elle était référente du collectif femmes mixité, et engagée sur les questions environnementales et l’égalité hommes-femmes.