A #Venise, « on avait l’inquiétude que la ville puisse être sous l’#eau, maintenant il y a le risque qu’il n’y en ait plus » s’inquiète Laura Ferrara, eurodéputée italienne | Public Senat
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Car « nettoyer » l’eau polluée a un coût pour les #collectivités, qui n’est pas négligeable. « Je prends toujours l’exemple de la ville de #Munich où il y a 25 ans, ils avaient une pollution de leur périmètre de #captage qui était important. Ils ont décidé d’accompagner tous les agriculteurs pour qu’ils pratiquent une agriculture biologique, et aujourd’hui le mètre cube qui sort du périmètre de captage coûte 1 centime d’euros. Alors qu’en #Bretagne par exemple pour dépolluer l’eau qui est souillée avec des #pesticides et des #nitrates, ça coûte 27 centimes. Le rapport, c’est 27 fois plus cher de porter des solutions curatives avec l’argent public de nos impôts que de s’attaquer aux causes ! » Bruxelles tente de faire passer des directives pour garantir un droit à l’#eau_potable, sachant que 14 % des Européens sont déjà en situation de #stress_hydraulique.