Pour Manuel Valls, les sujets identitaires [doivent prendre] le pas sur le social
▻http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/03/pour-manuel-valls-les-sujets-identitaires-ont-pris-le-pas-sur-le-social_4668
Pour Manuel Valls, les sujets identitaires [doivent prendre] le pas sur le social
▻http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/03/pour-manuel-valls-les-sujets-identitaires-ont-pris-le-pas-sur-le-social_4668
Grèce : où Alexis Tsipras veut-il en venir ?
Par Romaric Godin | 10/07/2015, 9:50
▻http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-ou-alexis-tsipras-veut-il-en-venir-491234.html
1. Faire repartir l’économie
2. Gagner du temps pour les « vraies » réformes
3. Mettre les créanciers face à leurs responsabilités
En reprenant les mesures des créanciers, Alexis Tsipras les contraint en réalité à accepter sa proposition de restructuration de la dette à long terme. Si les créanciers refusent, leur intransigeance éclatera au grand jour et il sera difficile de tenir le discours habituel fustigeant des Grecs pas sérieux. Dès lors, la sortie de la zone euro, si elle a lieu, sera une expulsion politique et sa gestion sera justifiée face aux Grecs.
heu... c’est juste de la com, parceque tout le monde sait déja que les créanciers sont comme ça.
Grèce : comment la France assiste les négociateurs grecs en coulisse
▻http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/10/grece-l-assistance-de-la-france-en-coulisse_4678503_823448.html#1iB1THRJ27TZ
Selon plusieurs médias étrangers, dont The Guardian ou Politico, la France a participé à la préparation des propositions qu’Athènes a remises jeudi soir, avant leur examen, samedi, par les ministres des finances de l’Eurogroupe et le nouveau Conseil européen prévu à Bruxelles, dimanche 12 juillet. Ce que l’exécutif se refuse à confirmer.
Selon nos informations, des hauts fonctionnaires de la direction du Trésor et de la délégation française à Bruxelles ont planché discrètement aux côtés des négociateurs grecs, sous haute surveillance de l’Elysée. « Des fonctionnaires se sont mis à disposition de la Grèce pour donner un coup de main, dès le début de la phase aiguë de la crise, concède un conseiller ministériel. Ce sont les Grecs qui tiennent la plume, mais ils se servent de nous comme d’un sparring-partner. »
« L’idée n’est pas de dicter aux Grecs ce qu’ils doivent écrire, mais de leur donner des conseils pour faire des propositions de #réformes qui soient acceptables par le Fonds monétaire international (FMI) et la Commission européenne, confirme un autre responsable proche du dossier. Cela revient à leur dire par exemple : attention, telle proposition sur la TVA ou les retraites ne pourra pas passer, telle autre oui. » Avec un objectif : que le plan présenté par M. Tsipras ne soit pas rejeté comme précédemment.
La dette hellène, au cœur des débats
►http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/08/la-dette-hellene-au-c-ur-des-debats_4675174_3234.html
La question empoisonne les relations entre Athènes et ses partenaires européens depuis des mois. Pour le gouvernement d’Alexis Tsipras, alléger la dette publique, qui culmine à 177 % du produit intérieur brut (PIB), doit être au cœur des négociations. Aux yeux de la chancelière Angela Merkel, qui a promis aux contribuables allemands que l’aide à la Grèce ne leur coûterait pas un euro, le sujet est tabou. Et pourtant : la dette publique hellène est insoutenable et n’échappera pas à un nouvel allégement, jugent la majorité des économistes. Un point de vue partagé par le Fonds monétaire international (FMI).
[…]
Un « Grexit » coûterait-il plus cher qu’une restructuration rapide ?
C’est certain. Selon les économistes de RBS, une sortie grecque de l’union monétaire accompagnée d’un défaut souverain coûterait au minimum 227 milliards à la zone euro. Un chiffre qui ne prend pas en compte les coûts indirects, tels que ceux d’une contagion aux pays périphériques, de la baisse des investissements, des troubles géopolitiques induits… De son côté, la France pourrait perdre une quarantaine de milliards d’euros (2 % du PIB), correspondant au prêt de 11 milliards accordé à la Grèce et aux garanties apportées au FESF.
Un nouvel allégement de la dette, lui, coûterait 140 milliards d’euros si son ratio était ramené de 177 % à 100 % du PIB dès aujourd’hui, estime RBS. Une option radicale, et pourtant moins coûteuse qu’un « Grexit ».
Bon, c’est toujours la majorité des économistes, le FMI et maintenant la RBS (Royal Bank of Scotland) ¡
Sur la Grèce, Sarkozy modifie sa position pour rallier Hollande, prétendant qu’il faut « tout faire » (et la dette ?) pour éviter un grexit
▻http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/09/le-revirement-de-nicolas-sarkozy-sur-la-grece_4676839_823448.html