Le blog de bernard cambon

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Avec signalement ( par @julien1 ) de l’adieu de Christian Prigent sur le site de POL : ►http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=editions-pol-blog&numpage=5&numrub=4&numcateg=&numsscate

L’adieu de Christian Prigent :

►http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=editions-pol-blog&numpage=5&numrub=4&numcateg=&numsscate

Denis Roche est vivant parce que sa langue est vivante.

(Dommage que les articles lus ici ou là, exception faite des deux ci-dessus, n’évoquent que son travail d’éditeur et de photographe et n’invitent pas à la découverte des livres magnifiques que sont Louve basse, Dans la maison du Sphinx, Eros énergumène, Dépôts de savoir & de technique, etc.)

@julien1 Ouais, mais enfin à POL ils pourraient relire un peu les textes avant de les mettre en ligne, il y a bien une ou deux coquilles de ce texte qui le rendent très difficile à comprendre à ces deux endroits.

Quant à :

Ou alors on salue Roche le photographe. La photo, en effet, c’est plus sexy et moins fatigant que les chichis de l’opaque poésie qu’on dit, pour la renvoyer à ses labos, « expérimentale ».

Suis pas très sensible à l’argument que la photo c’est moins bien que la peinture qu’est moins bien que la sculpture qui est moins bien que la poésie. Ca franchement. Il se trouve par ailleurs que la démarche photographique de Denis Roche était foncièrement orginale, foncièrement poétique et foncièrement photographique.

L’adieu de Claro : Denis Roche pour mémoire (et avant la boucherie)

▻http://towardgrace.blogspot.fr/2015/10/denis-roche-pour-memoire-et-avant-la.html

@julien1 Quel hommage!