• « Rotte kers op rotte taart, Vlaamse melkkoe kan omvallen » - Wetstraat - De Morgen
    http://www.demorgen.be/dm/nl/5036/Wetstraat/article/detail/1354135/2011/11/27/Rotte-kers-op-rotte-taart-Vlaamse-melkkoe-kan-omvallen.dhtml

    Titre pouvant signifier : « Cerise pourrie sur une tarte pourrie, la vache à lait flamande peut tomber/s’étaler (se vider). »

    Bart De Wever est le sympathique président de la Nieuw-Vlaamse Alliantie, Il n’est pas pour rien dans la durée du blocage : son populisme a fait merveille lors des élections de juin 2010 et disons que cela ne l’a pas encouragé à avoir envie de négocier cool. Résultat, il a fallu se passer de lui et de son parti (27 députés sur 150, 1er groupe du parlement) pour arriver à « quelque chose » au niveau institutionnel. Son avis à propos de l’accord budgétaire :

    „Men heeft het gewoon zo laten doorrotten dat men met alles tevreden is”, oordeelt hij. „Men zegt merci, maar kijkt niet meer na wat er precies instaat. De politieke crisis is een rotte kers op een rotte taart. Het feit dat men een regering heeft, gaat alleen aan die kers iets doen, die rotte taart daaronder blijft gewoon staan. België is al een belastingkoning in de Oeso en nu gaan we als enige in Europa meer belasten dan besparen. Dit zal ons investeringsklimaat schaden in plaats van dat de nieuwe belastingen een terugverdieneffect zullen creëren. Dat verhaal is op drijfzand gebouwd. De Vlamingen worden verder uitgemolken, maar de koe kan op een bepaald moment omvallen. Onze Vlaamse bedrijven gaan het moeilijk krijgen.”

    Ce qui pourrait se traduire :

    « On a simplement tellement laisser les choses pourrir qu’on est désormais content avec tout », juge-t-il. « On dit merci (en fr. dans le texte), mais on n’analyse plus ce qu’il y a vraiment là-dedans. La crise politique est une cerise pourrie sur une tarte pourrie. Le fait qu’on ait un gouvernement va seulement faire quelque chose pour la cerise, la tarte pourrie la-dessous, elle va simplement rester là. La Belgique est déjà le roi des impôts de l’OCDE et voilà qu’on va être les seuls en Europe à taxer plus qu’à épargner. Cela va faire du tord à notre climat d’investissement au lieu de faire en sorte que les nouveaux impôts ne créent un effet de gain de retour. Cette histoire est bâtie sur des sables mouvants. Les flamands sont traits davantage, mais à un moment donné la vache peut tomber/s’étaler. Nos entreprises flamandes vont au devant de difficultés. »