Cost of Tianjin Explosions Could Reach $3.3 Billion : Guy Carpenter
▻http://www.insurancejournal.com/news/international/2015/09/04/380787.htm
The two massive explosions which hit China’s Port of Tianjin last month could generate insurance losses of up $3.3 billion, according to a report published by Guy Carpenter.
The report estimates damages between $1.6 billion and $3.3 billion, which could more than double early estimates released by Credit Suisse of $1 billion to $1.5 billion.
“The explosions that occurred in Tianjin, China are likely to constitute one of the largest insured man-made losses to date in Asia and will certainly be considered one of the most complex insurance and reinsurance losses in recent history,” said James Nash, CEO of Asia Pacific Operations for Guy Carpenter.
Le communiqué de presse de Guy Carpenter
▻http://www.guycarp.com/content/dam/guycarp/en/documents/PressRelease/2015/Port%20of%20Tianjin%20Explosions%20set%20to%20become%20One%20of%20Asia's%20
The Tianjin crater
▻http://imgday.com/2015/09/the-tianjin-crater-15
D’après Mathieu Daubin, directeur souscription marine du groupe Axa, cité par Le Marin ▻http://www.lemarin.fr/secteurs-activites/shipping/22919-assurances-marine-probable-hausse-des-tarifs-apres-tianjin derrière #paywall, le coût serait supérieur à celui du Costa Concordia (2Mds USD) mais derrière le coût de l’ouragan Sandy aux É.-U. en 2012, précédents records de l’assurance marine.
18000 véhicules neufs détruits (300-400 M USD)
18000 conteneurs complètement détruits avec leur marchandise.
Impact probable sur les tarifs d’assurance : le montant annuel des primes « marine » est de 32 Mds USD.
La catastrophe de Tianjin met une nouvelle fois en lumière l’accumulation croissante de risques liée au gigantisme des ports et des navires. Un seul événement suffit à causer un sinistre exceptionnel. Ce qui est vrai de l’accident de Tianjin le serait aussi en cas de perte totale d’un porte-conteneurs géant. « Un navire de 20 000 EVP représente 2 milliards de dollars de valeurs accumulées, constate Mathieu Daubin. La question de pose de savoir comment gérer ce risque. Le gigantisme constitue un frein à l’assurabilité. »