• The rising costs of water: dire consequences for Afghans in battle with Iranians | World news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/world/iran-blog/2015/oct/15/afghanistan-iran-herat-water-battle

    Where the Hari Rud river bends north to form a natural border between Iran and Afghanistan, a patch of thick forest allows Iranian border police to remain unseen as they observe the activities of the villagers on the other side.

    Residents of Kohsan district in Afghanistan’s Herat province say that when they try to collect precious potable water on the barren eastern bank, the Iranian guards open fire. While the provincial government in Herat denied these allegations to Tehran Bureau, Kohsan authorities said that at least ten villagers have been shot dead at this spot on the Hari Rud, which lies at the centre of a simmering conflict over water rights. Repeated efforts to reach Iranian officials in Kabul, Tehran and New York were unsuccessful.

    Flowing westwards into Iran before turning north and disappearing in Turkmenistan’s Karakum desert, the Hari Rud is prone to severe seasonal droughts with dire consequences for both Afghans and Iranians. The last time the 1,000-km river completely dried up, in 2000, the second-largest Iranian city of Mashhad suffered severe water shortages and agricultural sector in Iran’s Razavi Khorasan province reported losses of 129bn rials ($4.3m).

    #eau #sécheresse #Iran #Afghanistan

  • Un point de vue intéressant, à montrer aux « islamistes féministes » si vous en croisez. Parce qu’un exemple concret vaut mieux que le martelage de grands principes abstraits. Les « soeurs » voilées ont peut-être raison (peut-être) quand elles affirment que elles personnellement, à titre individuel, on les emmerde moins quand elles sont voilées (auquel cas elles participeraient indirectement à une augmentation de la pression sur les non-voilées, en compensation), mais dès que c’est généralisé on entre dans une Red Queen race : plus on cache aux hommes plus on devient omnubilés par la moindre petite courbe qui se laisse vaguement deviner. Et le fait que la culpabilité repose sur les femmes, qui ne se seraient pas assez cachées, plutôt que sur les hommes auxquels on reconnaît des « pulsions naturelles » contre lesquelles on ne peut rien faire, c’est pas ça qui va aider les femmes à prendre de l’avance dans cette Red Queen race.
    Sans même aller jusqu’en Iran, on retrouve un peu la même chose chez nos voisins de l’autre côté de la Mare Nostrum (vallait sans doute mieux être une femme du temps de Ben Bella que du temps de Bouteflika), ou un peu plus loin on a vu le nombre impressionnant d’agressions en Egypte.
    http://www.theguardian.com/world/iran-blog/2015/sep/15/iran-hijab-backfired-sexual-harassment