L’étrange destin du modeste soldat tchétchène devenu le chef de guerre le plus redouté de l’Etat islamique

“Soigneusement sélectionné” lui aussi ?
▻http://www.atlantico.fr/pepites/etrange-destin-modeste-soldat-tchetchene-devenu-chef-guerre-plus-redoute-e

Né dans un village de la communauté tchétchène, dans un pays à grande majorité orthodoxe, Tarkhan Batirashvilin s’est très vite tourné vers le métier de soldat. Formé par l’armée géorgienne, il a rapidement démontré des capacités extraordinaires. « Nous l’avons bien entraîné, et nous avons eu beaucoup d’aide de la part des Américains », a confié un responsable militaire géorgien. « Les forces spéciales américaines nous ont entraînées de la meilleure façon possible et lui était déjà une star », renchérit un de ses anciens camarades.

U.S. training helped mold top Islamic State military commander
▻http://www.mcclatchydc.com/news/nation-world/world/middle-east/article35322882.html

Un revers pour la stratégie américaine déployée en Syrie
euronews (en français) | Ajoutée le 16 sept. 2015
▻https://www.youtube.com/watch?t=86&v=EVgBXgslTmc

En fait,
►http://fair.org/home/down-the-memory-hole-nyt-erases-cias-efforts-to-overthrow-syrias-government

Notice the sleight-of-hand. There may only be “four or five American-trained fighters… fighting” expressly against ISIS, but there is no doubt thousands more American-trained fighters are fighting in Syria. The DoD’s statement is manifestly false, but because the New York Times is simply quoting “the military”—which, again, cannot not legally acknowledge the CIA program—it is left entirely unchallenged. This is the worst type of “officials say” journalism. The premise, while ostensibly critical of US foreign policy, is actually helping advance its larger goal of rewriting US involvement in the Syrian civil war. A four-year-long deliberate strategy of backing anti-Assad forces–which has helped fuel the bloody civil war and paved the way for the rise of ISIS–is reduced to a cheesy “bumbling bureaucrat” narrative.