NASA’s Perseverance Rover Scientists Find Intriguing Mars Rock - NASA
▻https://www.nasa.gov/missions/mars-2020-perseverance/perseverance-rover/nasas-perseverance-rover-scientists-find-intriguing-mars-rock
NASA’s Perseverance Rover Scientists Find Intriguing Mars Rock - NASA
▻https://www.nasa.gov/missions/mars-2020-perseverance/perseverance-rover/nasas-perseverance-rover-scientists-find-intriguing-mars-rock
La Nasa a perdu sa sonde légendaire Voyager 2, et c’est de sa faute - Numerama
▻https://www.numerama.com/sciences/1462498-la-nasa-a-perdu-sa-sonde-legendaire-voyager-2-et-cest-de-sa-faute.
La Nasa a rompu le contact avec sa sonde interstellaire Voyager 2, qui se trouve à plus de 19,9 milliards de km. Une mauvaise commande envoyée par l’agence spatiale [le 21 juillet] est à l’origine de la perte de contact.
Un espoir de reprise de contact le 15 octobre…
Vu un commentaire qui souligne ceci :
La mission a été conçue pour réinitialiser son orientation plusieurs fois par an, pour orienter son antenne vers la Terre. La prochaine réinitialisation est prévue le 15 octobre. La Nasa mise donc sur le fait que Voyager 2 ne changera pas de trajectoire, par rapport à ce qui était prévu, jusqu’à cette date à laquelle le contact devrait être rétabli.
L’idée serait justement qu’on n’est jamais à l’abri d’une erreur, et que donc en cas d’erreur comme celle qui vient de se produire (envoi d’un mauvais code), la sonde doit se réaligner toute seule, malgré ce mauvais ordre, en faisant toute seule une trigonométrie en fonction des étoiles, et donc permettre de reprendre le contact.
Le genre d’erreur qui a déjà eu lieu selon la fiche Kikipédia :
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Voyager_2
Peu après le lancement, l’ordinateur dédié au contrôle du vol diagnostique à tort un problème d’orientation et entame des manœuvres qui entraînent une coupure de la liaison radio avec la Terre de deux heures. L’informatique embarquée finit par régler de manière autonome le problème qui avait pour origine l’introduction de mauvais paramètres dans le système de contrôle d’orientation.
Et ça dans une sonde expédiée en 1977…
oui, tout cela est clairement expliqué dans l’article :-)
comme il est accessible, je n’ai pas repris
et, oui, c’est engin est une pure merveille
pour une description (assez) détaillée des babasses embarquées (3 CPU, dont le plus récent à une mémoire de 16 ko)
▻https://www.cpushack.com/space-craft-cpu.html
pour la correction du bit qui était resté coincé (en 2010)
▻https://www.nasa.gov/mission_pages/voyager/voyager20100506.html
pour la gestion de la puissance disponible (470 W au lancement dixit WP[fr], diminuant de 4 W/an ( 470 - 4 x 45, reste autour de 290 W actuellement - je ne trouve pas d’estimation à ce sujet)
(source : ▻https://voyager.jpl.nasa.gov/news/details.php?article_id=117 )
et la NASA (le JPL) continue à serrer les boulons pour gratter le plus possible d’énergie (article d’avril 2023…)
NASA’s Voyager Will Do More Science With New Power Strategy
▻https://www.jpl.nasa.gov/news/nasas-voyager-will-do-more-science-with-new-power-strategy
D’ailleurs, c’est bien connu : les sondes Voyager sont tellement bien conçues qu’elles vont finir par développer une conscience et revenir vers nous en quête de leur planète d’origine :
▻https://www.youtube.com/watch?v=2ikHoBKVlCA
Voyager 2, finalement, la Nasa n’a eu besoin d’attendre le recalage automatique et la sonde a répondu au coup de sifflet…
La Nasa a retrouvé sa sonde Voyager 2, qui émet de nouveau - Numerama
▻https://www.numerama.com/sciences/1467232-la-nasa-a-retrouve-sa-sonde-voyager-2-qui-emet-de-nouveau.html
Après avoir perdu tout contact avec sa sonde interstellaire Voyager 2 à la suite d’une erreur de manipulation, la Nasa annonce être parvenue à rétablir la connexion. C’est une bonne nouvelle, alors que certains pensaient Voyager 2 perdue pendant des mois.
Voyager 2 est de retour ! Située à plus de 19,9 milliards de kilomètres de la Terre, la légendaire sonde a fait des frayeurs à la Nasa, après avoir disparu des radars le 1er août. Le pire était que l’agence spatiale américaine était à l’origine de cette perte de contact, après avoir envoyé une commande erronée vers la mission. Cette erreur avait « involontairement fait pointer l’antenne à 2 degrés de la Terre », ce qui a interrompu toutes les télécommunications. Et comme une instruction met 18 heures à parvenir à Voyager 2, tout laissait penser que le signal risquait d’être bloqué longtemps.
Dans une mise à jour de son communiqué de presse publiée le 4 août, la Nasa annonce la bonne nouvelle : « Les installations du réseau Deep Space Network de l’Agence à Canberra, en Australie, ont envoyé l’équivalent d’un « cri » interstellaire à plus de 19,9 milliards de kilomètres de Voyager 2, lui demandant de se réorienter et de tourner son antenne vers la Terre. Avec un temps de lumière unidirectionnel de 18,5 heures pour que la commande parvienne à Voyager, il a fallu 37 heures aux contrôleurs de la mission pour savoir si la commande avait fonctionné. Le 4 août à 12 h 29 (HAE), la sonde a commencé à renvoyer des données scientifiques et télémétriques, indiquant qu’elle fonctionnait normalement et qu’elle restait sur la trajectoire prévue. »
NASA’s DART Data Validates Kinetic Impact as Planetary Defense Method | NASA
▻https://www.nasa.gov/feature/nasa-s-dart-data-validates-kinetic-impact-as-planetary-defense-method
Since NASA’s Double Asteroid Redirection Test (DART) successfully impacted its target nearly five months ago, on Sept. 26 — altering the orbit of the asteroid moonlet Dimorphos by 33 minutes — the DART team has been hard at work analyzing the data collected from the world’s first planetary defense test mission.
The DART mission employed an asteroid-deflection technique known as a “kinetic impactor,” which in simplest terms means smashing a thing into another thing — in this case, a spacecraft into an asteroid. From the data, the DART investigation team, led by the Johns Hopkins Applied Physics Laboratory (APL) in Laurel, Maryland, found that a kinetic impactor mission like DART can be effective in altering the trajectory of an asteroid, a big step toward the goal of preventing future asteroid strikes on Earth. These findings were published in four papers in the journal Nature.
“I cheered when DART slammed head on into the asteroid for the world’s first planetary defense technology demonstration, and that was just the start,” said Nicola Fox, associate administrator for the Science Mission Directorate at NASA Headquarters in Washington. “These findings add to our fundamental understanding of asteroids and build a foundation for how humanity can defend Earth from a potentially hazardous asteroid by altering its course."
The first paper reports DART’s successful demonstration of kinetic impactor technology in detail: reconstructing the impact itself, reporting the timeline leading up to impact, specifying in detail the location and nature of the impact site, and recording the size and shape of Dimorphos.
The authors, led by Terik Daly, Carolyn Ernst, and Olivier Barnouin of APL, note DART’s successful autonomous targeting of a small asteroid, with limited prior observations, is a critical first step on the path to developing kinetic impactor technology as a viable operational capability for planetary defense.
Their findings show intercepting an asteroid with a diameter of around half a mile, such as Dimorphos, can be achieved without an advance reconnaissance mission, though advance reconnaissance would give valuable information for planning and predicting the outcome. What is necessary is sufficient warning time — several years at a minimum, but preferably decades. “Nevertheless,” the authors state in the paper, DART’s success “builds optimism about humanity’s capacity to protect the Earth from an asteroid threat.”
The second paper uses two independent approaches based on Earth-based lightcurve and radar observations. The investigation team, led by Cristina Thomas of Northern Arizona University, arrived at two consistent measurements of the period change from the kinetic impact: 33 minutes, plus or minus one minute. This large change indicates the recoil from material excavated from the asteroid and ejected into space by the impact (known as ejecta) contributed significant momentum change to the asteroid, beyond that of the DART spacecraft itself.
J’avais du mal à comprendre l’intérêt d’une expérience pour démontrer la loi de conservation du mouvement, mais “ejecta (...) contributed significant momentum change”, alors bon pourquoi pas. Pour la prochaine expérience essayons de voir ce que ça donnerait une bombe atomique sur l’Everest ?
J’imagine que l’expérience fournit aussi une estimation (ou une confirmation) du coefficient de restitution (élasticité). Il me semble que c’est un matériau relativement peu dense (2-3 g/cm-3) et à faible cohésion. À voir la trace de l’impact, c’est difficile de l’imaginer faible, de même qu’on ne perçoit pas vraiment de cratère laissé par les éjectas.
sinon, le billard, il serait plutôt interplanétaire …
ah oui ! ça parait logique ; suis-je bête !
Pour protéger l’humanité | La #NASA va tenter de dévier la trajectoire d’un astéroïde | La Presse - 2021-11-27
via ►https://seenthis.net/messages/938012
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Hera planetary defence mission : solving asteroid mysteries
#ESA 2024-09-23
Nous sommes des poussières d’étoiles et des restes du Big Bang.
Tous les atomes dans notre corps ont été formés soit il y a plus de 4,5 milliards d’années dans une étoile, soit juste après le Big Bang il y a 13,8 milliards d’années.
#vieux
Sans compter tous les métaux, dont l’or, en fait on est tous très vieux et très riches =)
@fil Je vous raconterai comment ça fait de se faire tokamakiser, j’habite pas loin.
Mais de savoir qu’on est constitués à 73% de résidus d’explosion d’étoiles massives, ça met la patate !
▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2023/webb-unveils-dark-side-of-pre-stellar-ice-chemistry
En détectant le sulfure de carbonyle, une glace contenant du soufre, les chercheurs ont pu estimer pour la première fois la quantité de soufre contenue dans les grains de poussière pré-stellaire glacée. Bien que la quantité mesurée soit plus importante que celle observée précédemment, elle reste inférieure à la quantité totale attendue dans ce nuage, sur la base de sa densité. C’est également le cas pour les autres éléments CHONS*. L’un des principaux défis pour les astronomes est de comprendre où se cachent ces éléments : dans les glaces, les matériaux semblables à la suie ou les roches. La quantité de CHONS dans chaque type de matériau détermine la quantité de ces éléments qui se retrouve dans l’atmosphère des exoplanètes et celle qui se trouve à l’intérieur.
« Le fait que nous n’ayons pas vu tous les CHONS que nous attendions peut indiquer qu’ils sont enfermés dans des matériaux plus rocheux ou fuligineux que nous ne pouvons pas mesurer », a expliqué McClure. « Cela pourrait permettre une plus grande diversité dans la composition globale des planètes terrestres ».
La caractérisation chimique des glaces a été réalisée en étudiant comment la lumière des étoiles provenant d’au-delà du nuage moléculaire a été absorbée par les molécules de glace au sein du nuage à des longueurs d’onde infrarouges spécifiques visibles par Webb. Ce processus laisse des empreintes chimiques, appelées lignes d’absorption, qui peuvent être comparées aux données de laboratoire pour identifier les glaces (molécules gelées) présentes dans le nuage moléculaire. Dans cette étude, l’équipe a ciblé les glaces enfouies dans une région particulièrement froide, dense et difficile à étudier du nuage moléculaire Chamaeleon I, une région située à environ 500 années-lumière de la Terre qui est actuellement en train de former des dizaines de jeunes étoiles.
« Nous n’aurions tout simplement pas pu observer ces glaces sans Webb », a expliqué Klaus Pontoppidan, scientifique du projet Webb au Space Telescope Science Institute de Baltimore, dans le Maryland, qui a participé à cette recherche. « Les glaces apparaissent comme des creux dans un continuum de lumière stellaire. Dans les régions aussi froides et denses, une grande partie de la lumière de l’étoile de fond est bloquée, et la sensibilité exceptionnelle de Webb était nécessaire pour détecter la lumière de l’étoile et donc identifier les glaces dans le nuage moléculaire. »
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
L’acronyme CHONS désigne les éléments Carbone, Hydrogène, Oxygène Azote (Nitrogen), et Souffre.
(Source : ▻https://twitter.com/EricLagadec/status/1617597075847516161)
A colossal meteorite struck Mars. Then NASA made an even bigger discovery. | Mashable
▻https://mashable-com.translate.goog/article/mars-meteorite-crater-ice-water?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_
Une météorite colossale a frappé Mars. Puis la NASA a fait une découverte encore plus grande.
Des blocs de glace d’eau de la taille d’un rocher peuvent être vus autour du bord d’un cratère d’impact sur Mars. Crédit : NASA / JPL-Caltech / Université d’Arizona
> Sciences > EspaceCe n’était pas le tremblement de terre moyen que l’atterrisseur Insight Mars a entendu rugir à travers le sol de la planète rouge la veille de Noël dernier.
L’orbiteur de reconnaissance de Mars de la NASA a apparemment trouvé la source du grondement quelques mois plus tard depuis son point de vue dans l’espace : un impact météorique spectaculaire à plus de 2 000 milles près de l’équateur de Mars, estimé être l’un des impacts les plus importants observés sur le voisin planète.
Mais ce qui ravit les scientifiques peut-être autant ou plus que l’activité sismique enregistrée, c’est ce que le météore a découvert lorsqu’il a percuté Mars – d’énormes morceaux de glace de la taille d’un rocher projetés hors du cratère. Jusqu’à présent, aucune glace souterraine n’avait été trouvée dans cette région, la partie la plus chaude de la planète.
« C’est vraiment un résultat excitant », a déclaré Lori Glaze, directrice des sciences planétaires de la NASA, lors d’une conférence de presse jeudi. "Nous savons, bien sûr, qu’il y a de la glace d’eau près des pôles sur Mars. Mais dans la planification de la future exploration humaine de Mars, nous voudrions faire atterrir les astronautes aussi près que possible de l’équateur, et avoir accès à la glace à ces pôles. des latitudes plus basses, que la glace peut être convertie en eau, en oxygène ou en hydrogène. Cela pourrait être vraiment utile.
La découverte, récemment publiée dans deux études connexes dans la revue Science , est en quelque sorte une grande finale pour l’atterrisseur Insight de la NASA, qui perd rapidement de la puissance. Les scientifiques ont estimé qu’il leur restait environ quatre à huit semaines avant de perdre le contact avec l’atterrisseur. À ce moment-là, la mission se terminera.
Au cours des quatre dernières années, Insight a étudié plus de 1 000 tremblements de mars et recueilli des bulletins météorologiques quotidiens. Il a détecté le grand noyau liquide de la planète et a aidé à cartographier la géologie interne de Mars.
Les responsables du programme préparent le public à ce résultat depuis un certain temps. Alors que le vaisseau spatial s’est assis à la surface de Mars, de la poussière s’est accumulée sur ses panneaux solaires. Les couches de sable de la planète rouge du désert ont bloqué les rayons dont elle a besoin pour se convertir en énergie. L’équipe a réduit les opérations d’Insight pour extraire autant de science que possible avant que le matériel ne soit détruit.
Alors que l’atterrisseur Insight s’est posé à la surface de Mars, de la poussière s’est accumulée sur ses panneaux solaires Crédit : NASAEnsuite, l’équipe a reçu un peu plus de mauvaises nouvelles le mois dernier. Une violente tempête de poussière a balayé une grande partie de l’hémisphère sud de Mar. Insight est passé d’environ 400 wattheures par jour martien à moins de 300.
« Malheureusement, comme il s’agit d’ une tempête de poussière d’une telle ampleur, elle a en fait mis beaucoup de poussière dans l’atmosphère et réduit considérablement la quantité de lumière solaire atteignant les panneaux solaires », a déclaré Bruce Banerdt, chercheur principal d’Insight. au Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie du Sud.
Mais la NASA pense que les scientifiques continueront d’en apprendre beaucoup sur les conditions climatiques passées sur Mars et sur le moment et la manière dont la glace y a été enterrée depuis le cratère frais , qui s’étend sur 500 pieds de large et un peu moins de 70 pieds de profondeur.
Ils sont convaincus que la glace vient de Mars et non du météore, a déclaré Ingrid Daubar, planétologue à l’Université Brown qui dirige le groupe de travail sur la science de l’impact d’InSight.
« Un impact de cette taille détruirait en fait la météorite qui est venue frapper la surface », a-t-elle déclaré. « Nous n’attendrions pas grand-chose, voire aucun, de l’impacteur d’origine pour survivre à cette explosion à haute énergie. »
LA NASA diffuse le son d’un impact géant de météorite sur mars :
▻https://twitter.com/NASA/status/1585694085867765769?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E15
Our @NASAInSight
Mars lander “heard” seismic signals while our Mars Reconnaissance Orbiter captured images of the impact crater made by this Martian meteorite. To make the sounds audible, the data was sped up 100 times. Listen:
▻https://soundcloud.com/nasa/nasas-insight-records-the-sound-of-a-martian-impact?si=3f03139837c749759
L’article complet sur ▻https://www.nasa.gov/feature/jpl/nasa-s-insight-lander-detects-stunning-meteoroid-impact-on-mars
C’est aujourd’hui par ailleurs que les premières images de James Webb sont révélées.
▻https://www.nasa.gov/webbfirstimages
Une toute première à cette heure ci : «Webb’s image covers a patch of sky approximately the size of a grain of sand held at arm’s length by someone on the ground – and reveals thousands of galaxies in a tiny sliver of vast universe»
Hubble à gauche, JWST à droite
L’image de la nébuleuse de la Carène est pfiou ! tout de même
Operations Underway to Restore Payload Computer on NASA’s Hubble | NASA
▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2021/operations-underway-to-restore-payload-computer-on-nasas-hubble-space-telescop
NASA Completes Additional Tests to Diagnose Computer Problem on Hubble Space Telescope
#nasa #états-unis #science #technologie #hubble #téléscope_hubble #panne #ordinateur #informatique #électronique #espace #hubble_space_telescope #panne #défaillance #défaut #problème #ordinateur_secondaire
Ce calcul nous apporte une preuve directe que les activités humaines modifient le budget énergétique de la Terre
Whoaaa, c’est du lourd.
L’impact en temps réel (oui, bon, à 4 ans) de l’activité humaine sur la hausse d’absorption d’énergie de la Terre (ce qui est très mal).
▻https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-nasa-ce-calcul-nous-apporte-preuve-directe
Article :
▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2021/direct-observations-confirm-that-humans-are-throwing-earth-s-energy-budget-off
Nasa to make major announcement of ‘exciting news’ about the moon
▻https://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/nasa-moon-announcement-when-watch-mission-b1209506.html
Nasa will hold a major event to announce an “exciting new discovery” about the Moon, it has said.
The space agency did not reveal details about the discovery, but said that it “contributes to Nasa’s efforts to learn about the Moon in support of deep space exploration”.
Là j’en suis certain : ils ont trouvé des artefacts extraterrestres. Ou une grande dalle noire. Ou un temple égyptien. Ou ils vont annoncer qu’ils y ont une base habitée dirigée par Martin Landau depuis les années 70. Ou qu’elle n’existe pas et qu’en fait c’est juste une image projetée sur l’immense écran LCD qui nous sert de ciel. Ou qu’ils y ont retrouvé les lunettes de Stanley Kubrick. Ou, évidemment, qu’elle est constituée de Wensleydale ou de Stilton.
Arg, c’t’angoisse…
Sont pas foutus de mettre un lien vers la source les journalistes, c’est tout de même dingue ?
The event will take place at noon eastern time, or 5pm in the UK, on Monday, 26 October, Nasa said. Audio will be streamed live on its website.
▻https://www.nasa.gov/press-release/nasa-to-announce-new-science-results-about-moon
Et donc, une découverte faite semble t’il depuis Sofia, l’avion télescope...
On pourra admirer, une fois de plus, la maîtrise de l’art de la communication par la NASA. Ce teasing de dingue sur le thème « On a découvert un truc super-important, mais on ne vous le dira que lundi », c’est tout de même quelque chose (de pas totalement scientifique)…
On se croirait à un lancement d’iPhone chez Apple. Je serais pas surpris qu’ils annoncent leur découverte avec une vidéo remplie de gros plans sur des trucs qui tournent au ralenti, avec Jony Ive qui fait la voix off.
La Nasa ne fait pas mystère que parmi les experts invités pour présenter sa découverte ce lundi, il y aura Casey Honniball, postdoctorante au Goddard Space Flight Center de la Nasa (Greenbelt, Maryland).
Google et la toile mondiale fournissent rapidement à son sujet des informations qui laissent peu de doutes à avoir. Casey Honniball a en effet passé sa thèse de doctorat sur la possibilité de détecter de l’eau sur la Lune grâce aux observations dans l’infrarouge possibles avec Sofia. Un des articles que l’astronome a publié est très révélateur également.
▻https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/lune-nasa-va-t-elle-annoncer-decouverte-monolithe-noir-lune-83811
NASA Names Headquarters After ‘Hidden Figure’ Mary W. Jackson
▻https://www.nasa.gov/press-release/nasa-names-headquarters-after-hidden-figure-mary-w-jackson
NASA Administrator Jim Bridenstine announced Wednesday the agency’s headquarters building in Washington, D.C., will be named after Mary W. Jackson, the first African American female engineer at NASA.
Jackson started her NASA career in the segregated West Area Computing Unit of the agency’s Langley Research Center in Hampton, Virginia. Jackson, a mathematician and aerospace engineer, went on to lead programs influencing the hiring and promotion of women in NASA’s science, technology, engineering, and mathematics careers. In 2019, she was posthumously awarded the Congressional Gold Medal.
Data Shows 30 Percent Drop In #Air #Pollution Over Northeast U.S. | NASA
▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2020/drop-in-air-pollution-over-northeast
Nitrogen dioxide, primarily emitted from burning fossil fuels for transportation and electricity generation, can be used as an indicator of changes in human activity. The images below show average concentrations of atmospheric nitrogen dioxide as measured by the Ozone Monitoring Instrument (OMI) on NASA’s Aura satellite, as processed by a team at NASA’s Goddard Space Flight Center, Greenbelt, Maryland. The left image in the slider shows the average concentration in March of 2015-19, while the right image in the slider shows the average concentration measured in March of this year.
Though variations in weather from year to year cause variations in the monthly means for individual years, March 2020 shows the lowest monthly atmospheric nitrogen dioxide levels of any March during the OMI data record, which spans 2005 to the present. In fact, the data indicate that the nitrogen dioxide levels in March 2020 are about 30% lower on average across the region of the I-95 corridor from Washington, DC to Boston than when compared to the March mean of 2015-19. Further analysis will be required to rigorously quantify the amount of the change in nitrogen dioxide levels associated with changes in emissions versus natural variations in weather.
Où va tomber le satellite à la dérive de la NASA ?
▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/23/le-point-d-impact-du-satellite-de-la-nasa-reste-inconnu_1576560_3244.html
La NASA ne pourra donner de précisions sur le point d’impact du satellite que vingt minutes avant son entrée dans l’atmosphère. Les autorités italiennes ont demandé aux habitants du nord du pays de rester chez eux cette nuit.
Un satellite américain hors d’usage de la taille d’un petit bus doit retomber sur terre en 26 morceaux, vendredi 23 septembre, entre 18 heures et minuit, heure française.L’orientation du satellite américain de 6,3 tonnes ayant changé, ses débris pourraient tomber aux Etats-Unis, a indiqué la NASA, tout en jugeant cette probabilité très faible. Le lieu de chute le plus probable, puisque le plus vaste, reste l’océan Pacifique.
Sa trajectoire précise n’est toujours pas connue, la NASA ne pouvant donner davantage de précisions sur l’heure et le lieu de l’impact.Tout juste sait-on que cette pluie de débris métalliques se produira quelque part entre 57 degrés de latitude nord et 57 degrés de latitude sud, une surface couvrant la majeur partie de la planète.
[…]
Principe de précaution ou paranoïa méditéranéenne ? Les autorités italiennes ont demandé aux habitants du nord du pays de rester chez eux dans la nuit entre vendredi et samedi, estimant que la possibilité d’impact est de 1,5 %. Les régions potentiellement à risque sont celles du nord du pays, le Piémont, la Lombardie, le Val d’Aoste, la Ligurie, le Trentin-Haut Adige, la Vénétie et la partie ouest de l’Emilie-Romagne, selon la protection civile. Dans les régions concernées, les habitants sont appelés à rester dans les étages les moins élevés et de préférence près des murs porteurs.
La plus grande partie du satellite, nommé Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), devrait brûler en rentrant à grande vitesse dans les couches denses de l’atmosphère terrestre. En 2002, l’agence spatiale américaine avait mené un audit sur les risques induits par la retombée du satellite. Il en découle que sur les 5 668 kg du mastodonte, 532 kg seulement pourraient survivre à l’entrée dans l’atmosphère. Soit 26 objets — dont le poids varie de 1 kg à 158 kg — parmi lesquels on compte des roues et des batteries et des réservoirs à carburant en titane totalement vide.
L’UARS est le plus gros satellite de la NASA à retomber dans l’atmosphère depuis trois décennies et la chute de Skylab dans l’ouest de l’Australie en 1979. Mais le plus gros engin spatial à être retombé sur terre était la station spatiale soviétique Salyut 7 dont les débris ont arrosé une ville d’Argentine en 1991, sans faire de victime. Selon les experts des débris orbitaux, des objets d’une taille comparable à ceux de l’UARS retombent vers la Terre environ une fois par an. Aucun accident n’a encore été déploré.
23 septembre 2011 ! Et finalement il est bien tombé dans le Pacifique :
▻https://www.nasa.gov/mission_pages/uars/index.html
Ah oui ! 2011 !!!
Je ne sais pas pourquoi il a subitement réémergé…
Les astéroïdes Bénou et Ryugu, deux amas de gravats sombres dans l’espace
▻https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/03/19/les-asteroides-benou-et-ryugu-deux-amas-de-gravats-sombres-dans-l-espace_543
Les sondes japonaise Hayabusa-2 et américaine Osiris-Rex ont permis de collecter des données qui font l’objet de dix publications simultanées, mardi 19 mars, dans les revues scientifiques « Science » et « Nature ».
Cela s’appelle une rafale éditoriale. Mardi 19 mars, les équipes de deux missions spatiales – la japonaise #Hayabusa-2, qui ausculte l’astéroïde #Ryugu depuis juin 2018, et l’américaine #Osiris-Rex, qui en fait autant avec l’astéroïde #Bénou (#Bennu) depuis décembre 2018 – ont publié les premiers résultats sur ces deux petits corps dans un total de dix études. Trois sont consacrées à Ryugu et paraissent dans Science et les sept autres décrivent Bénou dans Nature et trois de ses revues filles, Nature Astronomy, Nature Geoscience et Nature Communications.
Indices sur la naissance et l’évolution du Système solaire
Dix études simultanées dans quelques-uns des plus grands journaux scientifiques mondiaux, l’affaire n’est pas si courante. Pour Patrick Michel, directeur de recherches CNRS à l’Observatoire de la Côte d’Azur, et qui a le privilège d’appartenir aux équipes des deux missions, cette rafale se justifie : « Ce sont les premiers résultats jamais obtenus in situ sur des astéroïdes carbonés », explique-t-il. Les astronomes font la cour à ces objets parce qu’ils sont les restants des matériaux qui ont composé les planètes il y a un peu plus de 4,5 milliards d’années. Les auteurs de l’étude de Science consacrée à la surface de Bénou soulignent par ailleurs que ces astéroïdes sont représentatifs des objets qui ont pu apporter à la Terre primitive de l’eau et des molécules favorables à l’apparition de la vie. Les informations que l’on peut en tirer constituent donc autant d’indices sur la naissance et l’évolution du Système solaire.
Photographies de (101955) Bénou prises par la sonde OSIRIS-REx. - Wikipédia
NASA/Goddard/University of Arizona — ▻https://www.asteroidmission.org/?attachment_id=12182 ; see also ▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2018/osiris-rex-approach
OSIRIS-REx Arrives at Bennu After traveling through space for more than two years and over two billion miles, NASA’s Origins, Spectral Interpretation, Resource Identification, Security-Regolith Explorer (OSIRIS-REx) spacecraft arrived at its destination, asteroid Bennu, on Monday, Dec. 3, 2018. The spacecraft will spend almost a year surveying the asteroid with five scientific instruments with the goal of selecting a location that is safe and scientifically interesting to collect the sample. OSIRIS-REx will return the sample to Earth in September 2023. This series of images taken by the OSIRIS-REx spacecraft shows Bennu in one full rotation from a distance of around 50 miles (80 km). The spacecraft’s PolyCam camera obtained the thirty-six 2.2-millisecond frames over a period of four hours and 18 minutes.
2 Rectangular Icebergs Spotted on NASA IceBridge Flight | NASA
▻https://www.nasa.gov/image-feature/goddard/2018/2-rectangular-icebergs-spotted-on-nasa-icebridge-flight
“I thought it was pretty interesting; I often see icebergs with relatively straight edges, but I’ve not really seen one before with two corners at such right angles like this one had,” Harbeck said. The rectangular iceberg appeared to be freshly calved from Larsen C, which in July 2017 released the massive A68 iceberg, a chunk of ice about the size of the state of Delaware.
S’exposer : La #NASA crée un #site pour montrer l’impact de ses #recherches sur le quotidien - #Home_&_City.
▻https://www.journaldugeek.com/2018/10/02/nasa-cree-site-montrer-limpact-de-recherches-quotidien
▻https://www.nasa.gov/homeandcity
Mentionné dans la #Revue_de_blogs : Vue nocturne = ▻https://oxymoron-fractal.blogspot.com/2018/10/vue-nocturne.html
Once in a Blue Dune
▻https://www.nasa.gov/image-feature/jpl/once-in-a-blue-dune
Sand dunes often accumulate in the floors of craters. In this region of Lyot Crater, NASA’s Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) shows a field of classic barchan dunes on Jan. 24, 2018.
Just to the south of the group of barchan dunes is one large dune with a more complex structure. This particular dune, appearing like turquoise blue in enhanced color, is made of finer material and/or has a different composition than the surrounding.
Giant methane penitentes on Pluto
▻https://apod.nasa.gov/apod/ap171005.html
Casting dramatic shadows, the tall, knife-like ridges seem to have been formed by sublimation. By that process, condensed methane ice turns directly to methane gas without passing through a liquid phase during Pluto’s warmer geological periods.
Listen here:
▻https://www.nasa.gov/ames/nisv-podcast-Solving-Mystery-Pluto-Giant-Blades-Ice (5mn)
Où sont les extraterrestres qui nous observent ?
▻http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/09/18/ou-sont-les-extraterrestres-qui-nous-observent_5187048_1650684.html
Une équipe internationale a identifié les exoplanètes depuis lesquelles les astres de notre Système solaire seraient visibles.
A l’heure où ces lignes sont écrites, Exoplanet.eu, le site officiel qui recense les planètes extrasolaires, compte près de 3 700 références dans son catalogue. La majeure partie de ces autres mondes ont été découverts par le télescope spatial Kepler de la NASA grâce à la méthode dite des transits : l’instrument surveille un grand nombre d’étoiles et détecte les faibles baisses de luminosité qui se produisent lorsqu’une exoplanète passe devant le disque stellaire.
Cette technique donne aux astronomes des renseignements sur les planètes repérées, comme leur diamètre, la durée de leur révolution et la distance qui les sépare de leurs soleils.
Point de vue inversé
Dans une étude acceptée pour publication par les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, une équipe internationale a inversé le point de vue : si des extraterrestres disposaient d’un instrument analogue à Kepler, depuis quelles exoplanètes pourraient-ils détecter les corps du Système solaire ? En effet, pour fonctionner, la méthode des transits nécessite une configuration astrale particulière : l’instrument, l’étoile visée et ses exoplanètes doivent se trouver dans le même plan. Ces chercheurs ont donc fait un peu de géométrie dans l’espace – à tous les sens du terme – pour définir la petite portion du firmament où le transit des huit compagnons du Soleil est visible.
Une fois cette région – la zone de transit – dessinée, ces astronomes l’ont superposée au catalogue d’Exoplanet.eu afin de déterminer combien de planètes extrasolaires elle contenait. La liste se révèle courte : seulement 68 astres référencés peuvent observer le transit d’au moins une planète du Système solaire. La Terre n’est détectable que depuis neuf d’entre eux. Et, a priori, aucune de ces neuf exoplanètes n’est habitable, soit parce qu’il s’agit d’une géante gazeuse, soit parce qu’il y fait trop chaud ou encore trop froid.
Modélisation du voisinage
Mais les auteurs de l’étude ne se sont pas découragés. Ils se sont dit : « Ce n’est pas parce qu’on n’a pas encore détecté de planète habitable de type terrestre dans la zone de transit qu’il n’y en a aucune. » Après une modélisation de notre voisinage, ils estiment que dix exo-terres pourraient se promener dans cette zone de transit. Ne reste plus qu’à les trouver…
Pour Jean Schneider, chercheur à l’Observatoire de Paris et créateur d’Exoplanet.eu, « même si l’idée n’est pas nouvelle, cette étude est intéressante car elle quantifie la probabilité d’être dans la bonne configuration pour détecter la Terre ». Cependant, l’astronome reste un peu gêné. « C’est toujours très anthropomorphique comme discussion : cela suppose que les extraterrestres ont les mêmes concepts scientifiques que nous. Or, Kant explique que les concepts ne résultent pas des observations mais de notre esprit. Avec notre esprit, nous avons construit un monde, mais qui sait ce que d’autres civilisations ont imaginé ? »
Et, même si E.T. pense comme nous, il est possible, dit Jean Schneider, s’appuyant sur une étude facétieuse de 2016, qu’il nous cache le transit de sa planète, en émettant une grande quantité de lumière pour compenser la baisse de luminosité de son étoile. Comme une cape d’invisibilité à l’échelle d’une planète !
Pour ajouter un peu d’optimisme :
dans un podcast récent, Chris McKay faisait la remarque que la vie peut peut-être se trouver aussi dans les lunes de grosses planètes, comme Enceladus autour de Saturne. Et là, plus besoin pour une planète d’être dans la zone ni trop près ni trop loin du soleil, vu que l’énergie nécessaire à la géologie vient de la déformation de la lune due à l’attraction et non de l’étoile avoisinante.
We discovered oceans on Europa, oceans on Enceladus. And we struggled at first to understand how could there be oceans out there so far, so cold? And the answer turns out to be tidal heating. As those small moons go around these giant planets, they get squeezed by the gravity of these giant worlds, and that squeezing generates heat.
So their oceans are warmed not by sunlight, like the Earth, but by gravitational heating. And that has enabled large oceans on many moons. And, in fact, it may be that the oceans in the universe, there’s more oceans in the universe driven by tidal heating, than driven by sunlight. So our ocean may actually be the oddball, rather than the typical case.
Robert Simmon – An Introduction to #GDAL
▻https://medium.com/@robsimmon
▻https://www.youtube.com/watch?v=N_dmiQI1s24
#cartographie #tutoriel par l’auteur de “Blue Marble”
▻https://www.nasa.gov/centers/goddard/about/people/RSimmon.html
La sonde Cassini a rencontré un grand vide entre Saturne et ses anneaux
▻http://www.lemonde.fr/cosmos/article/2017/05/06/la-sonde-cassini-a-rencontre-un-grand-vide-entre-saturne-et-ses-anneaux_5123
▻https://www.youtube.com/watch?v=9LBLCgCYy0I
La sonde américaine Cassini, qui a plongé à deux reprises depuis le 27 avril sous les anneaux de Saturne, n’a rencontré qu’un grand vide dans cette zone jusqu’ici inexplorée, ont constaté les chercheurs, surpris par l’absence quasi totale de poussière.
[…]
Les chercheurs sont parvenus à cette conclusion après le premier plongeon de Cassini, le 26 avril, dans cette région de 3 000 kilomètres entre les anneaux et la couche nuageuse la plus haute de l’atmosphère de Saturne. La sonde, qui est dotée de douze instruments, avait réémergé au terme d’une période de vingt-quatre heures durant laquelle tout contact radio avec la Terre avait été interrompu. Elle avait répété cette manœuvre le 2 mai.
Bruits d’impacts
En s’appuyant sur les images prises précédemment par Cassini et des modèles mathématiques sur la densité des particules de cette région entre Saturne et ses anneaux, les scientifiques avaient estimé qu’il ne devait pas y avoir de particules d’une taille suffisante pour présenter un danger pour la sonde.
Mais ils s’attendaient à entendre de nombreux bruits d’impacts de poussières en traversant cette zone, Cassini avançant à près de 113 000 km/h. « J’ai écouté l’enregistrement du premier plongeon à plusieurs reprises et je pouvais probablement compter sur les doigts de la main le nombre d’impacts de particules que j’entendais », a rapporté William Kurth, membre de l’équipe scientifique.
Et pour le bruit…
Cassini Finds ’The Big Empty’ Close to Saturn | NASA
▻https://www.nasa.gov/feature/cassini-finds-the-big-empty-close-to-saturn
▻https://www.youtube.com/watch?v=XITah0sxFFQ
This video represents data collected by the Radio and Plasma Wave Science instrument on NASA’s Cassini spacecraft, as it crossed through the gap between Saturn and its rings on April 26, 2017, during the first dive of the mission’s Grand Finale. The instrument is able to record ring particles striking the spacecraft in its data. In the data from this dive, there is virtually no detectable peak in pops and cracks that represent ring particles striking the spacecraft. The lack of discernible pops and cracks indicates the region is largely free of small particles.
Credits: NASA/JPL-Caltech/University of Iowa