• Linky : la filière grenobloise
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=751

    Linky, c’est ce mouchard électronique qui remplacera votre compteur électrique à partir de 2015, pour contrôler en permanence la consommation de vos appareils, et connaître ainsi votre activité domestique. Il y a des nuisances sanitaires (champs électromagnétiques - des ondes maléfiques), des gens les dénoncent (voir Next Up Organisation, Robin des toits, la journaliste Annie Lobé). Il y a surtout un progrès dans l’emprise techno-totalitaire, avec en ligne de mire l’habitat-machine intégré dans la cité-machine pilotée par la « machine à gouverner ». En y regardant de plus près, nous avons constaté que le « laboratoire grenoblois », cet incubateur du progressisme techno-politique (rose et vert), avait contribué de façon déterminante, dans toutes ses composantes - politiques, scientifiques, universitaires, (...)

    http://www.next-up.org/Newsoftheworld/CPL.php#1
    http://www.robindestoits.org
    http://www.santepublique-editions.fr #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Linky_Grenoble.pdf

    • Ce n’est pas un complot, c’est un rapport de forces : IBM a un projet techno-totalitaire pour la planète ; la technocratie veut des solutions de gestion optimales du troupeau humain ; celui-ci acquiesce au nom du « progrès », de son désir de prise en charge et par l’impuissance propre au troupeau. Palmisano et ses complices ont créé la smart planet suivant leur volonté.

      Donc, en 2015 voici les réseaux « intelligents » (smart grids) et les compteurs Linky. Avec des puces et des capteurs sur les équipements électriques et dans le réseau lui-même, ce système permet l’analyse des données de production, de distribution, de consommation, et la prise de décision en temps réel.

      On connaît le smart principe : tout doit s’hybrider avec l’informatique pour serrer les mailles du filet électronique. Les smart grids croisent deux hyper-technologies : l’électricité et le numérique. Cela semble vague, c’est une révolution de plus dans nos pauvres vies de bipèdes. L’électricité, c’est le power. EDF, c’est l’Etat dans l’Etat, suivant un cliché qui dit vrai. Les hyper-technologies sont un hyper-pouvoir. Leur interconnexion nous laisse, simples humains, sans arme face à un titan automatisé. Les machines parlent aux machines. Le frigo dialogue avec le compteur, qui échange avec le transformateur, qui informe le distributeur. Prière d’exister sans déranger les objets. Prière de se conformer à leurs consignes.

      #IBM #ville_intelligente #smart_city #smart_planet #smart_grids #Linky #électricité #flux #informatisation #réseau #cybernétique #critique_techno

    • Le prétexte ? Sauver la planète. Le but réel ? Permettre au système de production d’électricité d’absorber une demande croissante, et d’injecter des énergies dites renouvelables dans le réseau. Pour quoi faire ? Alimenter les gadgets high tech, les voitures électriques et surtout, les infrastructures de la smart city, la cité-machine qui cyber-pilote l’existence de ses citoyens-fourmis : routes automatiques, capteurs et puces RFID, Internet des objets, domotique, objets communicants, robots et automates, data centers, etc. La ville et la planète « intelligentes » sont d’abord une ville et une planète électriques. Sans courant, pas de connexion. Voilà pourquoi, en 2014 devant le Sénat, l’ex-PDG d’EDF Henri Proglio se déclare « convaincu qu’à l’horizon 2030, compte tenu de l’augmentation de la demande, l’ensemble du parc nucléaire actuel - y compris Flamanville - suffira à peine à couvrir la moitié des besoins ». Compris, les nigauds de l’éco-citoyenneté et de la COP21 ? Il n’est pas question de réduire la consommation d’électricité globale, mais de rationaliser la distribution pour mieux numériser notre passage sur Terre.

      C’est à cela que sert Linky. Il est l’outil de notre incarcération dans le monde-machine. C’est pour ce motif que nous devons le refuser. Certes, le compteur « intelligent » inondera nos maisons de champs électromagnétiques toxiques. Mais obtenir le blindage anti-rayonnement de nos circuits électriques ne nous épargnera ni l’enfer Vert ni la smart planet.

      Et donc même argument que pour les OGM, la téléphonie mobile, etc : oui il y a sûrement des problèmes de santé qui vont avec, mais ce n’est pas l’argument principal (qui d’ailleurs peut parfaitement se retourner contre nous suivant les avancées, les études et contre-études à l’infini). L’argument principal il est politique, il est sur le contrôle de la population, sur la liberté.

      #rationalisation #enfer_vert