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  • #Avant (c’était mieux, mais) on a #oublié.
    Avant, il y avait des logements dans les villages des Corbières qu’en 1997 les vieux de 90 ans que j’avais interrogé disaient être « La maison du #pauvre ». Faites en pierres avec un toit de tuiles en terre (moulées sur les cuisses des femmes) ces maisons n’étaient pas bien grandes mais permettaient d’accueillir ceux qui passaient par là. La plupart on été détruites, l’usage de l’#hospitalité s’étant perdu. J’ai eu la chance d’en voir une, belle comme tout, et comme m’a dit ma vieille voisine Marcelle en me montrant le prêt-à-crever construit à sa place : « ils l’ont détruite pour construire des bunkers ».

    #logement #habitat #voyageur

    http://www.charentelibre.fr/2015/10/07/la-marcheuse-au-grand-coeur-cherche-l-hospitalite-en-charente,2020901.

    A chaque étape prévue sur son parcours, elle envoie un courrier aux municipalités pour solliciter le gîte pour la nuit. « Au début de mon parcours je ne prenais aucun contact préalable. Au fil de mon périple, j’ai reçu de nombreux refus, alors maintenant je préfère assurer mon couchage », explique Marie-José Husset, qui avoue avoir été obligée de dormir dans des arrêts de bus ou d’autres endroits peu confortables.

    • #merci @monolecte, c’est important d’avoir des #témoignages sur ces organisations #solidaires anciennes : logement, nourriture, point d’eau ouvert à tou·tes.

      J’ai trouvé ce site sur les refuges et cabanes, très sympa, mais incomplet car c’est de la montagne, mais chaque lieu est répertorié avec photos !
      http://www.refuges.info/nav

      Les copains qui voyageaient en roulotte, caravane ou autres avaient des #cartes des lieux où séjourner avec leur chevaux.

    • L’assiette du mendiant me fait penser aux fameux cafés suspendus : on commande un café dans un bar et on en paie deux. Si une personne vient et ne peut pas s’offrir un café, il en a un qui l’attend. Il me semble que c’est (re ?)revenu assez courant, non ?

    • @oblomov, c’est surtout sympa pour le cafetier, et pour soigner la culpabilité des clients, il me semble. D’autant qu’il me souvient que ces mêmes cafetiers ont tout fait pour que le verre d’eau qu’il était d’usage d’offrir à toute personne qui le demandait au comptoir puisse être refusé. J’avais ainsi fait ma blackliste des cafés autour de chez moi en les pourrissant avec des mots d’amour perdu et en agitant mes dollars devant leurs yeux avant de les remettre dans ma poche si ils refusaient de servir un verre d’eau. (#guerre_aux_pauvres)