Les mêmes qui il y a peu réclamaient la libéralisation, mettaient en avant le culte de la concurrence et critiquaient un « monopole » qui protégeait les revenus des taxis, ces mêmes gens se plaignent aujourd’hui des conséquences de la concurrence avec les taxis. Et oui, la libéralisation c’est bien quand on est en position de force mais ça dure pas longtemps. Et après il suffit pas de dire « perché » pour conserver son maigre avantage.
►http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/10/13/les-chauffeurs-parisiens-uber-creent-un-syndicat_4788221_3234.html