Le réchauffement climatique, un enjeu majeur pour la paix dans le monde, selon des responsables réunis à Paris
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Il devient « indispensable d’anticiper les impacts du réchauffement climatique sur le plan sécuritaire », ont souligné plusieurs participants, dont M. Fabius, même si des pays comme la France ont déjà intégré le climat dans leur politique de défense.
Je découvre le concept de #défense_verte.
Le chef d’état-major des armées françaises, le général de Pierre de Villiers, a assuré que l’armée partageait ce « même attachement à la planète », assurant que des efforts étaient aussi faits sur les matériels, la consommation d’énergie, pour rendre les armées plus propres.
Militaires et écologistes fraternisent contre le dérèglement climatique
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Entre le général cinq étoiles et l’éternel insoumis, le rendez-vous aurait pu tourner court. Il s’est révélé plus que cordial. Le chef d’état-major des armées (CEMA), le général Pierre de Villiers et le militant altermondialiste - et député européen - José Bové ont souligné leur intérêt commun pour la cause du climat, mardi au Sénat, à la veille de la rencontre international des ministres de la Défense qui s’est tenue jeudi à l’Ecole militaire et à l’approche de la COP21.
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Côté écolos, Jean-Vincent Placé et l’ancienne ministre Dominique Voynet avaient aussi répondu présents.
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Face au défi global du déréglement climatique, ces partenaires improbables ont décidé d’amorcer un dialogue. Une première rencontre avait eu lieu l’an dernier entre Daniel Cohn-Bendit et le général Bertrand Ract-Madoux, alors chef d’état-major de l’Armée de terre.
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« Les Français ont toujours su se retrouver dans les moments difficiles », a conclu le général de Villiers, évoquant un « pays de Gaulois » et se tournant vers son voisin moustachu en déclenchant des sourires. José Bové lui a fait écho. Le porte-flambeau du mouvement du Larzac, dans les années soixante-dix, ne s’émeut même pas de l’arrivée prochaine de Légionnaires sur le Causse.